Rastier : Onze questions sur le fonctionnalisme. François RASTIER C.N.R.S. (Texte paru dans Intellectica, 1996, n° 21, numéro spécial Fonctionnalismes, p. 268-275.) SOMMAIRE 1. Etats mentaux 2. Fonctions 3. Même après avoir lu la limpide introduction d'Elisabeth Pacherie (1995), il n'est pas facile d'entrer dans le débat entre fonctionnalistes. Le fonctionnalisme connaît mille nuances. Etats mentaux Qu'est-ce qu'un état mental, et qu'est-ce qui distingue un état A d'un état B ? Sans base empirique, la notion d'état mental ne serait-elle pas tout simplement une réification parmi d'autres du positivisme logique, fondement idéologique de la philosophie de l'esprit ? Fonctions Le concept de fonctionnalisme est ambigu, dans la mesure où il réfère tantôt aux fonctions des états mentaux, tantôt au fonctionnement de l'esprit-cerveau.
A quelle condition un état mental peut-il être dit revêtir une fonction, ou un rôle fonctionnel, dit aussi rôle causal ? Causes Pourquoi au demeurant l'effet se connaîtrait-il tout entier dans sa cause ? George Berkeley. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. George Berkeley Philosophe irlandais Époque moderne Biographie[modifier | modifier le code] Sa première publication, L'arithmétique démontrée sans le secours de l'algèbre et de la géométrie, probablement écrite pour soutenir sa candidature au poste de chargé de cours, concerne les mathématiques. . « Les maîtres ont intérêt à avoir des esclaves, qui obéissent en toutes choses à leurs maîtres selon la chair, non pas seulement sous leurs yeux, comme pour plaire aux hommes, mais avec simplicité de cœur, dans la crainte du Seigneur[2]. Pendant son séjour à Saville Street à Londres, il prend part aux efforts visant à créer un asile pour les enfants abandonnés.
Il demeure à Cloyne jusqu'à sa retraite en 1752, année où il se retire à Oxford chez son fils. Précision terminologique : l'« idéalisme »[modifier | modifier le code] Berkeley contre l'idéalisme transcendantal[modifier | modifier le code] Théorie de la connaissance[modifier | modifier le code] Gilles DELEUZE / Qu'est-ce que l'acte de création ? - Qu’est-ce que l’acte de création ? Extrait : Eh bien, je me dis, vous voyez bien, avoir une idée, ce n’est pas de l’ordre de la communication, en tout cas. Et c’est à ca que je voudrais en venir, parce que cela fait partie des questions qui m’ont été très gentiment posées.
Je veux dire à quel point tout ce dont on parle est irréductible à toute communication. Ce n’est pas grave. Ca veut dire quoi ? Cela veut dire, il me semble que, en un premier sens, on pourrait dire que la communication, c’est la transmission et la propagation d’une information. Qu’est-ce que l’art peut avoir à faire avec ça ? Malraux... Aucun, l’œuvre d’art n’est pas un instrument de communication. Et quel rapport y a-t-il entre la lutte des hommes et l’œuvre d’art ? Edge 233. To mathematicians, 32 is an interesting number: it's 2 raised to the fifth power, 2 times 2 times 2 times 2 times 2. To economists, 32 is even more special, because it measures the difference in lifestyles between the first world and the developing world. The average rates at which people consume resources like oil and metals, and produce wastes like plastics and greenhouse gases, are about 32 times higher in North America, Western Europe, Japan and Australia than they are in the developing world.
That factor of 32 has big consequences. To understand them, consider our concern with world population. If most of the world's 6.5 billion people were in cold storage and not metabolizing or consuming, they would create no resource problem. The population especially of the developing world is growing, and some people remain fixated on this.
People in the third world are aware of this difference in per capita consumption, although most of them couldn't specify that it's by a factor of 32. Why life is good. Progressive ideology relies on the capacity of human beings to live fulfilled lives in a just and co-operative society. That people whose beliefs imply optimism seem to spend most of their time wallowing in pessimism is one reason that leftists sometimes lack personal credibility (another reason being that egalitarians so clearly enjoy being very well-off). But miserable idealists need to make a New Year resolution to look on the bright side. Pessimism is becoming an impediment to progressive politics. It is 50 years since J K Galbraith coined the phrase "private affluence and public squalor"; today, the dichotomy is between private hubris and public pessimism.
It is pessimism of a particular and pernicious kind. People are not generally negative about their own lives. In fact, we systematically exaggerate the control we have as individuals. In contrast, we are unduly negative about the wider world. The media seem to be the most obvious cause of this phenomenon. Unstoppable force. The World Question Center 2008.