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Contributif

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Depliant_fr.pdf. Partage, P2P… bienvenue dans l’économie collaborative! Boostés par les outils web et la crise, la consommation collaborative émerge comme une véritable alternative à une société propriétaire. De la voiture partagée au booksurfing, Antonin Léonard dissèque les nouvelles tendances.

Un jour, nous regarderons le XXe siècle et nous nous demanderons pourquoi nous possédions autant de choses affirmait récemment Bryan Walsh dans TIME Magazine qui consacrait la Consommation Collaborative comme l’une des dix idées amenées à changer le monde. L’économie du partage se propage : du transport aux voyages en passant par l’alimentation, le financement de projets et la distribution, tous les secteurs ou presque voient cette nouvelle économie émerger. Alors que plus de 3 millions de personnes dans 235 pays ont déjà « couchsurfé », ce sont plus de 2,2 millions de trajets en vélo libre-service (tels que le Velib’ à Paris) qui sont effectués chaque mois dans le monde. On se rend compte que ce mouvement n’est pas qu’une tendance passagère.

Du bien au lien. ISARA LYON - 2013 - Mémoire en ligne : La contribution de l'agriculture biologique au développement local. Société contributive... territoires contributifs ? Coordination : Michel Briand (Membre du Conseil National du Numérique) Cette session est articulée autour de trois temps : Personnes et associations, acteurs locaux de cette émergence d'une société contributive Territoires et gouvernance contributive : émergence de réseaux, de projets, de nouvelles modalités de gouvernance Chemins et possibles qui favorisent le croisement de société et de territoires contributifs Pour cette séquence autour de dynamiques en émergence, nous proposons une animation collaborative pour donner à voir, confronter, nommer, et imaginer nos perceptions des approches contributives sur nos territoires dont voici les grandes lignes prévues.

L'économie contributive, de quoi parle t on ? Vous pouvez consulter l'espace de prise de notes partagées pour les 3 sessions : Retrouvez également la carte mentale produite par notre chantier collectif : En retour la suite à co-construire... Comprendre l'économie contributive en 9 minutes. Banque du temps - Belgiki - Wiki for Belgium. Une banque du temps a pour but de faciliter l'entraide gratuite entre les bénévoles de tout âge d'une même commune (et éventuellement ses associations) dans le domaine de la vie quotidienne. Son fonctionnement est calqué sur celui d'une banque réelle. Après avoir accepté la charte d'adhésion, un bénévole peut ouvrir un "compte", en précisant le nombre d'heures disponibles et le service qu'il souhaite rendre: achat pour le ménage, transport en voiture, arrosage de plantes, conseil informatique, ... ou même: gestion de la banque du temps.

Il reçoit en échange un "chèquier" qui lui permet de consommer d'autres services offerts bénévolement. Il peut alors consulter la liste des services offerts par d'autres bénévoles, soit au siège de la banque, soit par téléphone. Cette liste est maintenue par la banque du temps. Lorsqu'il utilise un service, il donne un "chèque de temps" au prestataire. Ce chèque est semblable à un vrai chèque, si ce n'est qu'il est libellé en heure plutôt qu'en devise.

Habitants, Lieux et Mémoires (HLM) : Le portrait d'un territoire par ses habitants. Dans le cadre de la phase d'études du projet PINS - menée par le GIP GPV Rive Droite entre 2009 et 2011 et portant sur l'introduction d'usages numériques et sociaux innovants sur le territoire des communes de Bassens, Lormont, Cenon et Floirac, en Gironde - un certain nombre d'ateliers thématiques de co-construction ont été conduits par la FING (Fédération Internet Nouvelle Génération). Ces ateliers ont tous mis en évidence la nécessité pour les usagers d'un territoire de disposer d'un outil, permettant à la fois de documenter les richesses patrimoniales (passées , présentes et futures) de leur territoire et d'en chronique la vie quotidienne.

En deux mots, d'être tout à la fois les historiens et les journalistes de leur lieu de vie. Construite sous une forme encyclopédique, Habitants, Mieux et Mémoires permettra dans un premier temps de recueillir la trace des opérations de collecte de la mémoire des habitants menées dans le cadre de la rénovation urbaine. Habitants, Lieux et Mémoires, le portrait de la Rive Droite par ses habitants. | Blog Rive Droite.

HLM (Habitants, Lieux et Mémoire), un projet de récit collectif du territoire par ses habitants, bientôt en ligne (on croise les doigts) ! Le calendrier a de curieux hasards qui parfois nous forcent à sortir du bois. Cette semaine, en effet, François Lamy, le ministre délégué chargé de la Ville a annoncé la mise en place d’un comité d’experts chargé de plancher sur la mémoire des quartiers populaires. Dans le même temps, paraissait une étude produite par des étudiants de Sciences-po Paris dans laquelle il est question du projet PINS (Plateforme d’Innovation Numérique et Sociale), projet conduit par le Grand Projet des Villes de la Rive Droite (nous) depuis 2010, qui consiste en la création d’une plateforme de services publics innovants.

Quels liens entre ces deux nouvelles, demanderez-vous ? La mémoire des habitants, vous répondrai-je. Un peu d’histoire. Mais revenons un peu en arrière. C’est là qu’est née l’idée d’HLM (pour Habitants, Lieux et Mémoires). Un outil d’animation… Qui pilote ? Manifeste citoyen pour une ville coopérative - Forum Éco Cité. Michel Bauwens : « Uber et Airbnb n’ont rien à voir avec l’économie de partage » Ancien chef d’entreprise, Michel Bauwens étudie depuis une dizaine d’années l’économie collaborative et ses réseaux qui s’organisent pour créer des outils partagés et mutualiser les savoirs et le travail. Auteur de « Sauver le monde, vers une société post-capitaliste avec le peer-to-peer » (Les Liens qui libèrent), il est l’un des théoriciens des « communs », un modèle économique et politique d’avenir selon lui, et une réponse à la crise écologique et de civilisation liée à la raréfaction des ressources. A condition que l’Etat joue pleinement son rôle de régulateur.

Comment analysez-vous la crise que provoque en France l’installation de plateformes telles qu’Uber ? Il faut faire attention au vocabulaire qu’on emploie. L’« économie de partage » que j’appelle « pair-à-pair », où les individus s’auto-organisent pour créer un bien commun, a un potentiel émancipatoire important. Mais Uber ne relève pas de cette « économie collaborative » ou « de partage ». Lesquelles par exemple ? SR-1352_Rockefeller_Map_reader.pdf. Let's Talk Community Engagement. Envision Sacramento Asked: How would you rate the overall quality of life in our community? Engage Oakland Asked: Would you favor more fenced dog parks in Oakland? Los Angeles Mobility Element Asked: How would you prefer to travel around in the future? Rendre inaliénables les biens communs, par Ugo Mattei. Lorsqu’un Etat privatise une voie ferrée, une ligne de transport aérien ou un hôpital, qu’il cède la distribution d’eau potable ou vend des universités, il exproprie la communauté d’une partie de ses biens ; une expropriation symétrique à celle qu’il réalise sur la propriété privée lorsqu’il souhaite construire une route ou tout autre ouvrage public.

Dans un processus de privatisation, le gouvernement vend quelque chose qui n’est pas à lui, mais qui appartient proportionnellement à chacun des membres de la communauté, de la même manière que, lorsqu’il saisit un champ pour construire une autoroute, il acquiert par la coercition une propriété qui n’est pas la sienne. Cela revient à dire que toute privatisation décidée par l’autorité publique — représentée par le gouvernement du moment — prive chaque citoyen de sa quote-part du bien commun, comme dans le cas d’une saisine de bien privé. Taille de l’article complet : 2 012 mots. (4) Elinor Ostrom, Gouvernance des biens communs.

. (6) Carlo M. Vivre hors sol - Amis de l’économie du partage, ne vous voilez pas la face : les 3 arguments de la conso collab sont fallacieux. Résilience urbaine. La résilience désigne à l’origine la capacité d’adaptation et de récupération d’une personne à la suite de difficultés. Depuis les années 2000, ce mot s’est peu à peu appliqué à d’autres entités, à tout ce qui est capable de surmonter des épreuves, ou des crises pour atteindre de nouveaux équilibres. Il permet de faire face à l’incertitude des systèmes complexes. Or, la ville est en quelque sorte le summum de la complexité, tout comme l’être vivant. Le concept de résilience urbaine découle directement du concept de résilience écologique, définit par l’écologue canadien Holling. Il considère la résilience comme la quantité des désordres qu’un écosystème peut absorber tout en conservant ses fonctions. Dans sa théorie, les systèmes complexes sont soumis aux changements perpétuels de leurs milieux, hautement imprévisibles, et s’auto-organisent selon des réactions situées à plusieurs échelles d’espace et de temps.

Collaborative Cities | The Documentary. Les boucles locales d’innovation : la démocratie pour reterritorialiser la mondialisation. Depuis plus de vingt ans, les collectivités locales et les petites et moyennes entreprises (PME) étaient noyées dans la mondialisation, subissant de plein fouet les décisions des grands groupes. Les territoires étaient perçus comme de simples réserves de main-d’œuvre se différenciant les uns des autres par leurs salaires, leur productivité ou leur niveau d’infrastructures. De cette période, il reste bien plus que des traces : la création de richesse est toujours contrôlée par des groupes multinationaux qui se jouent des continents. C’est encore pour une bonne part dans les salles de marchés et les directions des achats des grandes entreprises que le travail, les capitaux ainsi que les connaissances et savoir-faire du monde entier sont combinés pour s’inscrire dans des chaînes de valeur globales.

Les politiques industrielles échappent pour une grande part à la maîtrise d’institutions politiques engoncées dans leurs frontières. La mondialisation n’est plus ce qu’elle était Bibliographie.