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Annales du Musée et de l'école moderne des beaux-arts. Salon de 1817. Recueil de morceaux choisis parmi les ouvrages de peinture et de sculpture exposés au Musée du Louvre ... La maison d'un artiste. Tome 2 / par Edmond d... - Gallica mobile website. Rappel de votre demande: Format de téléchargement: : Texte Vues 4 à 4 sur 392 Nombre de pages: 1 Notice complète: Titre : La maison d'un artiste. Tome 2 / par Edmond de Goncourt Auteur : Goncourt, Edmond de (1822-1896) Éditeur : G. Date d'édition : 1881 Type : monographie imprimée Langue : Français Format : 2 vol. ; in-18 Format : application/pdf Description : Appartient à l’ensemble documentaire : FranceJp0 Droits : domaine public Identifiant : ark:/12148/bpt6k5433968d Source : Bibliothèque nationale de France, département Sciences et techniques, 8-V-4184 (2) Relation : Provenance : Bibliothèque nationale de France.

Inventaire du fonds français, graveurs du XVI... - Gallica mobile website. Art et décoration : revue mensuelle d'art moderne... Gazette des beaux-arts : courrier européen de l'art et de la curiosité. De quelques chemins qui mènent à l’art contemporain. 1Dans L’origine de l’œuvre d’art, Heidegger pose la question de l’essence de l’art, en tentant de différencier la chose de l’œuvre et en lui assignant finalement la fonction de dévoiler la vérité. En cela, il ne se démarque pas de la tradition de la philosophie esthétique, dont la question typiquement philosophique consiste à demander qu’est-ce qui fait d’un objet une œuvre d’art — question qui prendra davantage sens au regard de certaines productions contemporaines où précisément l’objet d’art tend à se dissoudre dans l’objet.

Néanmoins, la manière dont il traite la question (en phénoménologue), ainsi que le dévoilement de certaines notions, telles que la distinction de la chose et de l’œuvre, la notion de produit et plus encore l’idée d’installation, inscrivent Heidegger dans des problématiques qui relèvent pleinement de l’art contemporain. 2La première question, à savoir « qu’est-ce qui fait l’être-œuvre de l’œuvre d’art ? 1 Arthur Danto. L’assujettissement philosophique de l’art. LA FORME, PEINTURE ET PHILOSOPHIE. 1 E. Hanslick, Du beau musical, trad. et présentation par A. Lissner, Hermann, 2012. 1La relation entre l’art et la philosophie est à la fois ancienne et toujours en attente de sa véritable détermination.

Rigoureusement, elle n’a pas encore eu lieu. Sait-on vraiment ce qu’est Art, sait-on ce qu’est Philosophie ? D’où le sait-on ? 2Comment donc les philosophes réfléchissaient-ils l’art ? 3Ce refus de l’art enveloppe cependant une importante distinction, du moins sous l’aspect historique. 4Détermine-t-il toute possibilité d’une relation à l’art ? 5Le néoaristotélisme ne peut voir l’œuvre qui cesse de se nier dans et par la production d’une image. 6La peinture apparaît cependant. 7Avec cette tâche la production picturale libre rompt. 8L’interrogation proprement philosophique s’ouvre ici. 9À cette restriction, le désir de la puissance nous fait dorénavant renoncer. 10Ce désir immensifiant œuvre pareillement dans la pensée. La géopoétique ou la question des frontières de l’art.

1Les arts contemporains se caractérisent pour une grande part par une subversion des canons académiques, une expérimentation avant‑gardiste, souvent une débauche théorique, qui sont autant de signes de ce que l’on a pris l’habitude de nommer une « crise ». Ce bouleversement ne serait‑il pas propice pour mettre à découvert un certain nombre de problèmes fondamentaux posés par l’art en général ? Tant que des arts s’imposent massivement aux goûts d’une société, ils s’accompagnent d’un discours et d’une représentation de soi lisses, consensuels, qui ne facilitent guère un regard critique ou au moins interrogatif. Quand par contre l’art est contesté, décrié, ou inversement sacralisé ou fétichisé, comme de nos jours, il est pour ainsi dire mis à nu et autorise des confrontations à vif.

Aussi le travail philosophique sur l’art peut-il trouver dans les mutations de l’art contemporain un terrain fécond pour poser et renouveler ses questions. 6 Voir Ph. 14 Voir les thèses de D. La dimension affective du sentir dans l’expérience esthétique. 1 Voir « L’invention de l’esthétique », présentation de l’Esthétique de Baumgarten par J. -Y. Pranchèr (...) 2 Critique de la faculté de juger, Première partie, livre I, §1, Vrin 1979, p. 49. 1Par son étymologie et le moment historique de son invention, l’esthétique a pour coeur l’aisthésis.Elle s’est en effet constituée en discipline nouvelle lorsque le sensible a pu acquérir une légitimité et une autonomie théorique par rapport à l’intelligible, c’est-à-dire ne plus être de l’intelligible confus, mais une réalité ontique spécifique, supposant un type d’appréhension particulier. 3 Voir tout particulièrement : L’oeuvre de l’art II, La relation esthétique, Seuil, 1997. 4 Voir tout particulièrement : L’art de l’âge moderne, Gallimard 1992, et Les célibataires de l’art. (...) 5 Voir tout particulièrement : Grenzgänge der Ästhetik, Reclam, 1996. 6 Selon l’expression de Harold Rosenberg in La dé-dédinition de l’art, 1972, trad. franç., Nîmes J.

C (...) 7 Selon l’expression de G. 18 G. 23 G. L’art déborde le concept. 1 Histoire de l’art. p 153. 2 Esthétique. Tome I, p 152. 3 Cometti (J.P.) Le travail en architecture. in Magazine Littéraire consacré à Wittgenstein. 1Si l’on peut dire qu’il n’y a pas aujourd’hui de philosophie de l’art, le constat s’appuie sur ce qui serait crise. Crise de l’art, crise de sa réception en théorie. De la crise de l’art on peut dire qu’elle est celle des supports. 4 Bruno Queysanne. 2Cependant c’est par une autre voie que nous voudrions aborder Schopenhauer. 7 Ibid. 3Partons de cela, adhésion donc et distance. 4En effet, l’éclairage de Schopenhauer par l’esthétique ouvre une perspective intéressante en ce qu’elle permet d’adapter le concept de volonté. 5Elle est définie comme la volonté pensée en termes esthétiques. 8 Ibid. p. 72. 9 Ibid. p. 73. 10 Ibid. p. 49. 11 Ibid. p. 45. 12 Ibid. p. 45. 13 Ibid. p. 45. 14 Ibid. p. 45. 15 Ibid. p. 74. 16 Ibid. p. 79. 7 L’enjeu de telles assimilations est de préciser le rapport entre la matière et la forme.

FORMES DE L’ART CONTEMPORAINJOSEPH BEUYS, ANDY WARHOL : LA RENCONTRE (1979) « La forme est sans doute quelque chose de la réalité, mais quelque chose qui se transmet à la faveur d’une relation causale qui met en rapport l’intelligible et le sensible : le premier est la cause du second, qu’il déter­mine comme tel, au moyen de la forme. ». Jean-François Pradeau : « Platon : les formes intelligibles ». Presses Universitaires de France, 2001. P. 53. 1Transmission, relation causale et mise en rapport qu'il faudrait compléter par dialogue et participation pour planter le décor platonicien concernant les formes, intelligibles et sensibles, et enfin rajouter ici Joseph Beuys et Andy Warhol comme acteurs. 2Pendant la seconde guerre mondiale, Joseph Beuys, pilote dans la Luftwaffe, s'écrase en Crimée.

Il est sauvé par des tatars et se réveille enveloppé dans des couvertures de feutre et couvert de graisse. 31979 : La rencontre. 4Ainsi, à la question qui se pose l’année même de la série des portraits de Beuys « Y a-t-il un pilote dans l'avion ? DE LA FORME AU CONFORME(QUAND LES AVANT-GARDES DEVIENNENT NORMES)(POUR UN AXE SCHOPENHAUER-DELEUZE) Voir par exemple les développements de Dany-Robert Dufour, L’individu qui vient ; Paris, Denoël, 2011, p. 248s pour le domaine de la santé mentale, mais aussi le désormais classique Jaime Semprun, De la Récupération, Paris, Champ libre, 1976. Voir par exemple, Stéphane Haber, L’action en philosophie contemporaine, Paris, Ellipses, 2004, où sont abordées les difficultés qui s’ouvrent quand on s’aventure dans l’analyse philo­so­phique de l’action.

Celles qu’énonce notamment Bruno Gnassounou (p. 25) quand il conteste que « les règles ont besoin d’un fondement », mais qui, suivant le conseil de Gadamer, fait détour par Kant. Dans cet ouvrage il montre, suivons le résumé de Stéphane Haber : « comment les conceptions traditionnelles de l’agir (comme événement s’originant dans la liberté humaine, comme mise en œuvre de l’intention individuelle ou bien comme application d’une règle en fonction d’un jugement) se heurtent à la facticité toujours donnée de pratiques socialement en usage. » (14). JEAN MESSAGIER, LA PEINTURE « A CAPELLA » 1 Jean Messagier, Météores quotidiens, Fata Morgana, Saint Clément de rivière, 1992, p. 57, « En 1981 (...) 3 Bertrand Lavier, depuis 1969, du 25 septembre 2012 au 7 janvier 2013. 1Lors de la récente « rétrospective » de l’œuvre de Bertrand Lavier au Centre Georges Pompidou à Paris3, on pouvait voir, dans une des dernières salles de l’exposition, comme une « sorte » de peinture gestuelle, une toile ou un panneau, présentant de longs gestes enroulés, blancs, comme dans les plus « belles » des peintures de l’abstraction lyrique.

La relation entre le support et la matière laisse à peine entrevoir qu’il ne s’agit pas tout à fait d’une peinture à proprement parler. En examinant le titre, on peut voir qu’il fait référence à une situation géographique, une vitrine, apparemment, dans une rue ou une avenue de Paris. 2Il s’agit donc, d’une « peinture gestuelle ready-made », tirée d’une série que Bertrand Lavier a initiée il y a une quinzaine d’année, en 1998. 5Sans doute y a-t-il un peu des deux.

COMMENT L’ART VIENT À POUSSERCOMME DES ONGLES DE PIED. 1 Paul Klee, « De l'Art moderne », conférence donnée à Iena en 1924. Reproduite et traduite par Pierr (...) 1Lors d’une conférence à l’université de Iéna, Paul Klee construit une ana­lo­gie entre la création artistique et la morphologie de l'arbre. Dans cette para­bole, qui a depuis connu une fortune critique internationale, il associe les racines au flux des apparences et des expériences et l'artiste au tronc, celui-ci ordonnant et acheminant dans l’œuvre ce courant qui l'assaille. Cette démons­tra­tion, qui a pour intention de justifier les développements abstraits de l'art moderne, réserve à l'artiste « […] une place bien modeste. Il ne revendique pas la beauté de la ramure, elle a seulement passé par lui »1. 2 « Après des discussions longues et passionnées, les règles prirent naissance selon lesquelles notre (...) 2Ce retrait du créateur s'est imposé comme une nécessité chez quelques artistes du mouvement Dada et notamment chez Hans Arp. 3 Hans Richter, Dada. 10 . 11 . 13 . 15 . 16 .

Entretien avec Pierre Soulages. Pierre Soulages : régulièrement j’élimine des toiles, inabouties ou qui ont “tourné mal ”, banales, sans rien qui m’excite et qui sont d’ailleurs des sortes d’aventures avortées… Alors qu’à un moment, il y avait quelque chose qui était apparu, qui me paraissait intéressant à pousser, à intensifier, et puis ça s’est détourné, ça s’est terminé par quelque chose de morne, pas vraiment inachevé parce que l’inachevé c’est par rapport à un modèle parfait ou… qui n’est pas du tout ce que je poursuivais, mais quelque chose de morne me laissant dans un état médiocre, alors ces toiles-là, je ne les garde pas, je les détruis, je récupère juste le châssis. Ensuite, à la campagne ou à Sète, je brûle ces toiles. J’ai des rouleaux de toiles dans les coins et à Sète un endroit du jardin sert à ça. Maintenant, j’ai un atelier blanc, vide aussi pour ne pas être menacé par les toiles que je pense réussies, beaucoup plus menaçantes que celles ratées, que celles que je n’aime pas.

J. -M. JM. JM. JM. JM. JM. Emil Nolde | « La tempête des couleurs » et le poids de l’obscur. « Nolde est bien plus que lié au sol, il est aussi un démon de ces régions. Où que l'on se trouve se manifeste en permanence ce parent choisi, ce cousin des profondeurs. » (Paul Klee). Si en Allemagne Emil Nolde a une gloire solide et reconnue, jusqu’à faire l’objet d’innombrables calendriers reprenant ses paysages, ses fleurs, il aura fallu attendre en France l’exposition de 2008-2009 au Grand Palais à Paris et au Musée Fabre de Montpellier, la première rétrospective jamais consacrée en France à son œuvre, pour que cette étrange figure de l’expressionnisme allemand resurgisse au-delà des malentendus.

Et il y en a. Et d’ailleurs une seule toile de Nolde est visible en France: Nature morte aux danseuses, au Musée national d'art moderne, centre Georges Pompidou. Emil Nolde semble un moine-soldat de la couleur, un paysan ancré dans ses paysages, un croyant halluciné et illuminé, hanté par le péché originel. Il avait effectué « sa migration intérieure ». haut de la page Gil Pressnitzer. Tardi | Jeux pour mourir. Liverpool sur seine. Plus la gloire caresse Tardi, plus il s'enfonce vers cette période glauque des années céliniennes par excellence, les années 1950.

Plus précisément, du samedi 26 août au mardi 29 août 1950. Dans ces quelques jours, va se jouer d'après un roman de Geo-Charles Veran, la déglingue minable et tragique de quatre gosses plus malheureux que loubards. Après la rencontre avec Céline et Léo Malet, après les aventures extraordinaires d'Adèle Blanc Sec, Tardi va au bout de son "voyage au bout de la nuit" là où toute innocence est saccagée.

Cat, La fouine, Le Hérisson, Mérou, forment une bande perdue dans l'anus du monde, aux confins de la ville entre le canal et la voie ferrée. Mois d'août, sans but, sans vacances, avec des adultes dans leur bain de gros rouge ou de dope, ils vont vieillir en quelques jours jusqu'à rejoindre les pantins dans leurs jeux meurtriers, et pourtant, ils sauront encore mourir comme des gosses, bêtement, pathétiquement. Gil Pressnitzer Adèle et la bête. August Macke | « Monsieur couleur » ou l’expressionnisme de la lumière. Une œuvre d'art est une parabole, c'est la pensée de l'homme, une idée personnelle d'un artiste, une chanson sur la beauté des choses: une œuvre d'art est l'expression noble et particulière de l'homme qui est capable de plus que de dire simplement: «N'est-ce pas magnifique?

». August Macke. Franz Marc appelait son ami August Macke « Monsieur Couleur », tant celui-ci n’était qu’émotions en couleurs. Mais bref, infiniment bref, fut son passage terrestre. Sorte de Rimbaud de l’expressionnisme, il laisse pourtant une peinture certes encore en devenir, mais déjà d’une grande profondeur et totalement unique. Qu’aurait-il exploré comme nouvelles illuminations, s’il n’avait pas été ce peintre visionnaire fauché avant que les blés ne soient mûrs. On est donc sérieux quand on meurt à 27 ans, broyé par la bouche immonde de la guerre, dans un champ d’horreur dans la Marne, lors de la période la plus meurtrière de cette guerre, son début. Inactuel, il reste encore plus présent que les autres.