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Séminaire et mémoire de recherche

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L'élève français, ce cancre en langues étrangères. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Mattea Battaglia Dans les enquêtes internationales, les élèves français ne sont guère habitués à briller.

L'élève français, ce cancre en langues étrangères

Une étude européenne sur les compétences linguistiques - la première d'une telle ampleur - menée à l'initiative de la Commission européenne auprès de 54 000 lycéens, dans 14 pays, force encore le trait : les Français se classent derniers... ou presque. Selon les résultats rendus publics le 21 juin, ils sont seulement 14 % à obtenir un bon niveau dans leur première langue étrangère, l'anglais "LV1", et 11 % dans la deuxième langue étudiée, l'espagnol "LV2". Seuls 40 % ont un "niveau de base" leur permettant de saisir le sens d'expressions courantes et de phrases isolées. Autrement dit, de se faire comprendre. Grilles de références du palier 2 pour l'évalluation et la validation des compétences du socle commun. Rolland.pdf (Objet application/pdf) "Explication de textes et perspective actionnelle : la littérature entre le dire scolaire et le faire social", par Christian PUREN.

Christian PURENUniversité de Tallinn (Estonie),christian.puren@tlu.eeUniversité Jean Monnet de Saint-Étienne (France),christian.puren@univ-st-etienne.frCELEC-CEDICLEC, www.dlc.sup.fr Télécharger l’article au format doc Télécharger l’article au format PDF Introduction Cet article s’inscrit dans le prolongement de ceux que j’ai précédemment publiés sur la question de la littérature dans la revue Les Langues modernes en 1989, 1990, 2000 et 2002. [1] Il reprend par ailleurs presque textuellement les pages 29-33 d’une conférence de 2006 publiée sur ce même site de l’APLV.

"Explication de textes et perspective actionnelle : la littérature entre le dire scolaire et le faire social", par Christian PUREN

On se reportera à la bibliographie finale. Je tiens d’emblée à mettre en garde, en ce qui concerne les idées que j’expose dans ce texte, contre leur instrumentalisation possible au service d’un combat d’arrière-garde qui n’est pas le mien, tout au contraire. 1. 2. En définitive, c’est toute l’approche communicative qui se révèle inadaptée à la situation scolaire (tout autant que l’inverse !...)

1. La Perspective Actionnelle. Mettre l'accent sur l'utilisation de la langue :- Apprendre à agir- Agir pour apprendre Tout acte de parole répond à un objectif et remplit une tâche.

La Perspective Actionnelle

On ne parle pas pour ne rien dire (enfin, en général...). Adopter une approche actionnelle dans notre enseignement, c'est entraîner nos élèves à accomplir des tâches à l'aide de l'outil linguistique, de la plus élémentaire, faire passer son message dans un énoncé unique, jusqu'à la réalisation en groupe d'un projet complexe à long terme. Loin de la vision pragmatique anglo-saxonne d'une langue utilitaire où un acte de parole répond à un besoin (les petits anglais iront faire du tourisme en France? Page d'accueil.

Site de didactique des langues-cultures. Pour des langues plus vivantes à l'école INRP. Langue vivante - Enseigner les langues à l'école. Langues étrangères Les programmes, publiés en 2007, fixent les objectifs à atteindre pour chaque cycle, pour les compétences de communication et pour la connaissance de la culture des pays où la langue est parlée.

Langue vivante - Enseigner les langues à l'école

Ils concernent 8 langues : allemand, anglais, arabe, chinois, espagnol, italien, portugais et russe. À l'issue de l'école primaire, les élèves doivent avoir atteint le premier niveau du CECRL, le niveau "A1". Ils sont alors capables de communiquer de façon simple, si l'interlocuteur parle lentement et distinctement. Pour les cycles 2 et 3, l'enseignement des langues se déroule sur 54 heures annualisées. Langues régionales Il existe deux modalités d'organisation de l'enseignement des langues régionales à l'école primaire : inclus dans le cadre général des horaires de l'école, le plus répandu ;dans des classes bilingues français-langue régionale.

Rapport "Apprendre les langues - Apprendre le monde" La chronique de Lyonel Kaufmann : Piéger les élèves ou les former avec les médias sociaux ? Pendant que certains préfèrent pourrir le web et piéger leurs élèves, il reste des allumeurs de réverbères qui cherchent heureusement à élever leur élèves à la culture et au savoir historique en se saisissant des médias sociaux.

La chronique de Lyonel Kaufmann : Piéger les élèves ou les former avec les médias sociaux ?

L’affaire de l’enseignant pourrisseur du web [1] et de ses élèves en fournissant, via le web, et en particulier Wikipedia, des fausses informations au nom de la défense de la culture, avec un grand C, et de la nécessité pour les élèves d’apprendre à penser avant d’aller sur le web en dit long sur la perception d’un grand nombre d’enseignants à vivre l’école comme une citadelle assiégée et leur peur d’enseigner avec les médias sociaux, voire d’enseigner tout court. [2] Nul doute qu’enseignant au moment de l’arrivée de cette nouvelle technologie qu’a été en son temps le livre, cet enseignant et ses congénères prôneraient également que leurs élèves doivent apprendre à réfléchir par eux-mêmes avant de lire leur premier livre!

Le principe est simple. Notes.