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Entre réel et virtuel

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L'Homme "augmenté" selon Google...vers une transhumanité diminuée ? "Ce que nous essayons de faire c'est de construire une humanité augmentée, nous construisons des machines pour aider les gens à faire mieux les choses qu'ils n'arrivent pas à faire bien"...On ne pourra pas dire que nous n'avons pas été prévenus.

L'Homme "augmenté" selon Google...vers une transhumanité diminuée ?

Mais, étrangement, cette déclaration programmatique d'Eric Schmidt est pratiquement passée inaperçue en dehors des cercles technophiles concernés. Vous ne pourrez plus vous passer de Google, sauf à être un homme "diminué". C'est en tout cas le projet assumé des dirigeants de "La" Firme. Sergei Brin, le fondateur de Google, a récemment dit qu’il voulait faire de sa création «le troisième hémisphère de notre cerveau ». Eric Schmidt a multiplié les déclarations provocatrices en ce sens à l’IFA, la grand messe païenne de l'électronique qui s'est tenue début septembre à Berlin : « Nous pouvons vous suggérer quoi faire après, ce qui vous intéresse. Achtung encore un qui a trop lu Orwell...Souvenez-vous "1984": "Big Brother vous regarde.

La virtualité d’Internet Sens Public. En 1985 un informaticien du nom de Jaron Lanier emploie pour la première fois le mot « virtuel » - terme chargé d'une longue histoire et de profondes implications philosophiques - pour qualifier le champ des nouvelles technologies.

La virtualité d’Internet Sens Public

Plus précisément Lanier utilisait ce concept pour désigner la réalité en jeu dans les expériences sensorielles complètes - c'est à dire les expériences où tous les sens sont impliqués - à l'aide d'un médium électronique. Cette réalité - puisqu'il s'agit bien d'une réalité dont on fait l'expérience - se différencie évidemment de celle à laquelle on se rapporte habituellement. C'est pourquoi on sentait le besoin d'employer un adjectif pour la caractériser : il s'agit d'une « quasi-réalité », d'une « réalité virtuelle ». Autrement dit, il convient de se demander si les nouvelles technologies sont vraiment virtuelles ou, plus précisément, il convient de s'interroger sur la teneur virtuelle des nouvelles technologies. 1. 2. 3. 4.

L’autore-cyborg. Mon petit essai, La stratégie du Cyborg édité par Fortykey à Milan, est sorti en Italie et le sociologue Giovanni Boccia Artieri m’a interviewé pour La Stampa.

L’autore-cyborg

Plutôt que de traduire le texte, ce que je ne ferais guère mieux qu’un traducteur automatique, je remets en forme nos échanges par mail effectués en français. — Thierry, ta vision du cyborg me semble une tentative de surmonter la métaphore de Donna Haraway fondée sur l’exaltation des différences biopolitique et sur l’hybridation homme/machine. Tu embrasses une vision écologique de la symbiose entre réseau humain et machines. Peux-tu expliquer ce que signifie pour toi être cyborg aujourd’hui ? — Un jour, j’ai découvert que j’étais un cyborg. C’est ainsi que j’ai imaginé que nous devenions des cyborgs, des nœuds d’un immense réseau d’interdépendance avec nos amis, nos relations virtuelles, des objets et d’une certaine façon tout ce qui existe dans la biosphère. — D’un côté, je ne crois plus à la possibilité de créateurs solitaires.

Qu'est-ce que le virtuel? Pierre Lévy Table des matières Retour Un mouvement général de virtualisation affecte aujourd'hui non seulement l'information et la communication mais aussi bien les corps, le fonctionnement économique, les cadres collectifs de la sensibilité ou l'exercice de l'intelligence.

Qu'est-ce que le virtuel?

La virtualisation atteint même les modalités de l'être ensemble, la constitution du "nous" : communautés virtuelles, entreprises virtuelles, démocratie virtuelle... Quoique la numérisation des messages et l'extension du cyberespace jouent un rôle capital dans la mutation en cours, il s'agit d'une vague de fond qui déborde amplement l'informatisation. Faut-il craindre une déréalisation générale ? Jamais, sans doute, le changement des techniques, de l'économie et des moeurs n'ont été si rapides et déstabilisants. Second Life : infidélités virtuelles et vie réelle... Publié le 24 mars 2010 par Aurore Un reportage belge (ci-dessous) sur l’importance du jeu Second Life dans la vie des gens fait un carton sur Internet.

Second Life : infidélités virtuelles et vie réelle...

On y voit la vie de « cas » (qui sont non sans rappeler l’émission « Striptease ») : deux couples et un homme. Au milieu de détails qui choquent les internautes comme un verrou dans la chambre des enfants et une mère qui explique que non non, ses enfants ne la réclament pas, se dessine l’histoire d’amour d’un couple dont on pêne à croire qu’ils soient ensemble.

Pourquoi ? Situation originale qui pourrait bien passer si elle avait été totalement assumée par les deux. Pour Jean-Mich-mich (ou quelque chose du genre de « petit loup ») dont la femme est partie avec un homme rencontré sur le jeu, l’infidélité virtuelle s’est rapidement concrétisée. « Tromper » sur Internet peut donc réellement aboutir à une crise du couple. Mais nous pouvons « tomber amoureux », où nous attacher à une personnalité dans un jeu. Source photo : Second Life. 2. Réel et virtuel. C'est quoi le pitch du livre ?