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Community management

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Pourquoi les fans abandonnent les marques sur les réseaux sociaux. Cet article a été publié il y a 3 ans 2 mois 6 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Une récente étude du site nous donne des informations intéressantes sur le comportement des internautes/consom’acteurs. On le sait tous , il est dur de recruter des fans. Il faut faire preuve d’originalité, de finesse et apporter une véritable valeur ajoutée. Or le fan est quelqu’un de capricieux et d’exigeant. Les principales raisons sont des publications trop régulières/répétitives qui vont venir “polluer” la page des fans. Pour ma part, je m’en rends compte également. Je vous conseille de ne jamais surcharger l’internaute avec des offres promotionnelles. On se rend compte également qu’il y a 26% des personnes qui ne sont venues sur la page que pour une offre spéciale et se sont aussitôt désabonnées.

Pour télécharger l’analyse complète c’est ici que ca se passe. Injures et diffamations sur les réseaux sociaux : attention danger ! Cet article a été publié il y a 3 ans 3 mois 7 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Les réseaux ne sont pas un monde à part comme on voudrait le croire parfois. Le récent jugement du Conseil des Prud’hommes de Boulogne-Billancourt déclarant fondé le licenciement de trois salariés qui avaient dénigré leur employeur sur leur mur Facebook est là pour nous le rappeler.

Certes une liberté fondamentale existe : la liberté d’expression. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen nous indique en effet que “la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme”. Martine Aubriot est-elle une imbécile ? Appelons la Cour de cassation à la rescousse pour définir la diffamation. La loi de 1881 définit les injures comme étant des “expressions outrageantes, termes du mépris ou invectives“. C’est peut-être sur ce plan que le rédacteur doit être le plus prudent. Les révélations sur le bouton « partage » de Facebook. Cet article a été publié il y a 3 ans 1 mois 20 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Voilà une info qui risque d’en étonner plus d’un… N’en déplaise à beaucoup, les chiffres de Facebook, c’est beaucoup plus subtil qu’on ne le pense… Et oui, p renez garde chers amis : le compteur de partage facebook, c’est tout simplement de la poudre aux yeux.

Vous pensez sans doute, et il y a peu, je pensais encore comme vous, que le nombre de “share” représente le nombre de partages réel sur facebook : j’ai en effet réalisé un petit sondage et la plupart des sondés pensent que le chiffre indiqué représente le nombre de fois où l’article a été partagé sur Facebook. Et bien, la réalité est toute autre. . • Le nombre de partages affichés dans le fil d’actualité • Le nombre de likes sur les profils • Le nombre de commentaires sur les partages Voici un exemple sur la page de Kriisiis Heureusement, il est possible de décortiquer ce chiffre.

Savoir parfois ne pas aller sur Facebook. Il faut savoir parfois ne pas aller sur Facebook. Cette proposition de bon sens, qui aurait eu il y a à peine un an l’assentiment de presque tous les annonceurs nous ferait aujourd’hui passer pour des ringards. Si tout le monde crée sa page, pourquoi pas moi, dit l’annonceur ? Mon concurrent a 30000 fans avec qui il partage sans relâche et mon agence me parle tous les jours de superbes opérations de Coca Cola (et de leur superbe budget, mais là-dessus je suis moins à l’écoute).

Alors on y va quand ? Pourtant, il y a beaucoup de cas où aller sur Facebook ne sert à rien. Aller sur Facebook, cela veut dire en respecter les usages, et en premier lieu l’esprit de partage social léger, positif et souvent superficiel qui fait 90% des interactions du site. Au fond il en est de la page Facebook comme des sites internet au début : aller sur le web, c’était avoir un site, point final, et tant pis pour les blogs et les forums qui parlent de ma marque. E-réputation : construire. Oui, mais comment ? Nous l »avons dit dans un billet récemment, et dans une publicité, qui est parue aujourd »hui dans Stratégies : une e-réputation, ça ne se nettoie pas, ça se construit.

On nous objecte : oui, mais comment ? Sous l »air de dire : c »est bien beau de nous dire ce qu »il ne faut pas faire, mais si on avançait ? Avançons. Construire sa e-réputation, ça peut se faire en quelques étapes. Quelle est la synthèse de votre réputation en ligne ? Pouvez-vous la visualiser, au-delà de cette fameuse première page de résultats ?

Quelle est l »expression à laquelle sont confrontés les différents publics qui cherchent de l »information sur vous, ou à former leur jugement à votre égard ? Faire le bilan, c »est donc explorer d »abord la demande, adopter le point de vue de vos publics, et faire ressortir, puis analyser, ce qui est produit par le web à votre égard. Chez Spintank, on appelle cette étape Imagetank (parce qu »on aime bien les noms qui reprennent un bout de notre propre nom). Opinion. A l’époque des discours prophétiques sur le web 2.0, on rêvait de renouveler la démocratie par le web en offrant aux citoyens de nouvelles façons de participer à la décision publique. Ce temps semble aujourd’hui révolu tant désormais la classe politique française parait plus préoccupée par la régulation du web (comme récemment Fleur Pellerin avec Twitter) que par une réelle réflexion sur la démocratie numérique.

La participation citoyenne en ligne, l’apanage des médias Pour l’essentiel, la participation en ligne sur les questions de société se joue aujourd’hui dans les espaces de commentaires des médias (et quelques forums d’envergure). Depuis plusieurs années nous étudions ces commentaires pour l’un de nos clients ce qui nous donne un bon point d’observation de leur évolution. Récemment Le Monde s’est fait l’écho d’une étude sur le trolling et ses conséquences qui posait une question très importante : Des réponses techniques et politiques. M?dias Sociaux dans l?entreprise : ??It?s [NOT] the marketing, stupid!?? ? Mais o? est-ce qu'on est ? Entreprises Published on novembre 8th, 2010 | by Anthony Quand elle s’intéresse aux médias sociaux, l’entreprise n’y voit souvent qu’un nouveau canal marketing, un nouveau moyen de toucher et fidéliser sa clientèle.

Les entreprises qui l’entendent de cette oreille passent malheureusement à côté du véritable potentiel des médias sociaux. Car la réelle opportunité « Social Media » dans l’entreprise n’est pas marketing. Le problème aujourd’hui de l’utilisation des médias sociaux dans l’entreprise, c’est qu’elle est souvent accaparée par le département marketing… qui donc les utilise à des fins marketing. Je n’ai plus le monopole de ma communication / Traduction : mes clients peuvent parler de moi avec la même puissance que moiMes clients sont devenus eux-aussi des marques / Traduction : il faut donc traiter dorénavant ses clients comme ses pairsLa communication médiatique se veut dialogue sur les médias sociaux / Traduction : avant de parler, il faut écouter About the Author.

Le community management c'est magique. Aujourd'hui, j'ai été invité à participer à un séminaire organisé par Ideal Connaissances. La question qui m'était posée pour cette intervention : « pouvez-vous faire un retour d'expérience sur la mise en place d'une stratégie de community mnagement ? ». Voici donc mon retour d'expérience pour lequel j'ai choisi de partir de mes « désillusions »... plutôt que de créer d'autres illusions sur le sujet!

Avant de me « lancer » dans le web de manière plus ou moins stratégique (hors de mes plaisirs d'internaute), avec des objectifs organisationnels dirons-nous, j'avais plein d'idées préconçues et d'étoiles dans les yeux... Certains blogueurs/consultants/conférenciers (avec souvent des choses à vendre d'ailleurs) étaient là pour me le rappeler : le web c'est magique, on peut toucher des millions de gens qui se feront un plaisir de relayer votre message ! ==> Le web (2.0) change la communication Ou pas... ==> Communiquer sur le web ne coûte pas cher ! Ou pas... Ou pas... Ou pas...

Ou pas... Médias sociaux > Les médias sociaux : et si on en parlait moins ? … et surtout mieux. Si je devais retenir deux choses de la semaine passée, ce serait d’abord : une semaine riche avec beaucoup de rencontres et de discussions avec des directions communication et web autour de l’intégration et prise en main des médias sociaux par les entreprises. J’ai également été impressionné par la présentation de la stratégie médias sociaux de British Telecom par Bian Salins (@b1an). Fred aura sûrement l’occasion de revenir dans les prochains jours sur ce cas. Peu d’exemples d’entreprises en France vont aussi loin, non faute de compréhension mais de vraie prise en main du sujet par les entreprises et directions.la réalité d’un décalage entre les discours et la réalité opérationnelle et stratégique sur le sujet des médias sociaux.

Parler des médias sociaux est à la portée de tous Et oui, parler des médias sociaux est à la portée de tous puisque c’est un sujet que l’on aborde de plus en plus dans les blogs. Et si les entreprises n’allaient pas voir du côté des experts Social Media ? Profession community manager - Dossiers. 29/01/2010 - Face à l'explosion du Web 2.0, les entreprises s'intéressent de plus en plus à cette nouvelle méthode de gestion de leur clientèle et de leur communication.

Radiographie d'un métier qui a le vent en poupe. Community manager, c'est le «buzzword» du moment qui affole le marché. Tout le monde en parle et en réclame, annonceurs comme agences. Si ces experts ès conversations sur la Toile sont si recherchés, c'est que l'explosion du Web 2.0 et de ses avatars (forums, blogs, réseaux sociaux) modifie en profondeur les relations entre marques et consommateurs. Que les entreprises le veuillent ou non, leurs moindres faits et gestes sont analysés et commentés par des internautes désormais rassemblés en communautés. Les marques ne peuvent rester absentes de ces conversations. «Le community manager, c'est la version 2.0 du webmaster, résume Grégory Pouy, directeur de la stratégie de contacts chez Nurun.

Profil de commercial ou de journaliste Coût humain Le métier chez l'annonceur? Les community managers sont des putes. J’ai lancé cette phrase à Ouessant lors d’une conférence. Comment vais-je la concilier avec le cours et la conférence publique que je donnerai la semaine prochaine à Lausanne dans le cadre d’une nouvelle formation lancée par le Centre suisse d’enseignement du marketing (SAWI). Leur objet sera justement la gestion des communautés. Depuis que je tiens mon blog, je suis un community manager.

J’essaie de répondre aux commentateurs, j’écris parfois des articles pour préciser ou répéter ce que j’ai déjà dit, je dialogue avec mes lecteurs sur Twitter, un peu sur Facebook, j’interagis avec d’autres blogueurs à travers leurs propres articles quand ils croisent mes sujets de réflexions, je suis toujours disponible pour des rencontres IRL chez moi, dans les cafés, lors de débats. Suis-je pour autant une pute ? Qu’est-ce que j’entends pas là ? Comme toute communauté, elle se transforme sans cesse. Maintenant, quand une entreprise embauche un community manager, a-t-elle les mêmes objectifs que moi ?