L’intelligence artificielle au service du social media. En Juin dernier, Facebook annonçait l’ouverture à Paris d’un nouveau laboratoire de développement consacré à l’intelligence artificielle. Dirigé par le chercheur Français Yann LeCun, la mission de cette nouvelle entité est d’appliquer les techniques du « Deep Learning » à la compréhension automatique de nos comportements, de nos émotions… voire à leur prédiction. Les enjeux sont énormes et Mark Zuckerberg imagine que l’AI changera le monde dans les 10 prochaines années. Qu’est-ce que le Deep Learning ? La plupart des systèmes « intelligents » actuels utilisent des bases de données très spécialisées qui sont programmées afin de reconnaître des scénarios pré-définies. Le problème, c’est que chaque scénario nécessite d’être programmé, ce qui demande évidemment des ressources gigantesques. Le Deep Learning consiste à contourner ce problème par une autre approche qui se base sur le « modèle connexionniste ».
Quelles applications pour les réseaux sociaux ? Twitter n’est pas en reste. Cette entreprise belge implante une puce sous la peau de ses employés. Restez curieux. Suivez nous ! Elle fait la taille d’un grain de riz et coûte environ 100 € : telle est la puce que 8 employés de l’entreprise de technologie et de marketing digital belge New Fusion ont accepté de se faire implanter sous la peau, entre le pouce et l’index. Mais pour quoi faire ? Vincent Nys, porte-parole de l’entreprise belge New Fusion installée à Malines, détaille les avantages qu’apporte l’implantation de la puce : ouvrir les portes sans clé ni badge, stocker des cartes de visite grâce à la mémoire interne, transmettre instantanément des données à un Smartphone…Comment un tel projet aussi pointu a-t-il bien pu naître ? Tout simplement, comme l’explique Vincent Nys : « l’idée provient d’un collaborateur qui oubliait souvent son badge ».
"Maman, y'a un hacker dans ma poupée" : ces jouets connectés accusés d'espionnage. "Mon amie Cayla" est une poupée connectée qui suscite l'inquiétude. (Crédit : Genesis Toys) Si vous êtes allergique aux poupées blondes vêtues de rose, cet article ne vous fera pas changer d’avis. Déjà accusée de véhiculer des stéréotypes, la dernière génération de personnages en plastique prête le flanc à un nouveau reproche : derrière leurs visages poupins, ces jouets sont accusés par plusieurs associations de consommateurs dans le monde d’être un cheval de Troie de l’espionnage. Cayla est équipée d’un microphone, d’un haut-parleur et surtout d'une connexion à Internet, qui s'active via une application mobile. Poupée dernier cri, elle sait répondre aux questions qui lui sont posées. Mais Cayla pâtit d’une faille de sécurité révélée par un étudiant allemand : aucun mot de passe ne protège sa connexion, permettant à un individu situé à moins de 15 mètres d'infiltrer son logiciel.
Le piratage de VTech, une raison de s’inquiéter Hello Barbie pour les uns, Barbie Stasi pour les autres. Objets connectés : connaissance, intention d'achat et adoption par les français. En 2014, l’IFOP lançait son Observatoire des Objets Connectés pour ainsi aider les marques à mieux comprendre les attentes des consommateurs et identifier les opportunités de développement de produits ou services connectés. Grâce à la méthodologie mise en place, cette étude permet d’analyser 3 marchés stratégiques : la France, les Etats-Unis et la Corée du Sud et d’apporter un complet permettant ainsi de couvrir les principales questions que peuvent se poser les marques désireuses de se lancer sur ce nouveau marché.
Publiée début octobre 2015, la 2ème vague met en exergue l’intérêt prononcé des français pour les objets connectés. L’IFOP présente quelques chiffres de son étude au travers d’une infographie. Ce qu’il faut retenir : L’étude nous apprend que 96% des français ont déjà entendu parler des objets connectés et 66% déclarent savoir précisément de quoi il s’agit. IA - Amazon, Google, Facebook, IBM et Microsoft veulent évangéliser - ZDNet. Amazon, Google, Facebook, IBM, et Microsoft ont annoncé la création d'une organisation à but non lucratif pour éduquer le public au sujet des technologies d'intelligence artificielle, ainsi que pour atténuer les inquiétudes autour de son application.
Le collectif, qui inclut la filiale IA de Google, DeepMind, prévoit également de développer des bonnes pratiques autour des défis et des opportunités du domaine de l'IA. L'organisation, appelée "Partenariat sur l'intelligence artificielle au bénéfice des personnes et de la société" (Partnership on Artificial Intelligence to Benefit People and Society), s'attèlera aux défis juridiques et éthiques que l'IA présente, encouragera le débat public, et identifiera les possibilités d'utiliser l'IA afin d'apporter des améliorations à la société. L'IA dans le respect des valeurs humaines Lire aussi : Intelligence artificielle - La France a peur.
Mais de quoi au juste ? Ralf Herbrich, directeur du Machine Learning pour Amazon, y siègera lui aussi. Branché jusqu'au bout du poignet : Notre sélection des bracelets connectés Android MT. Vous avez pris la bonne résolution de faire plus d’activités sportives dans votre quotidien. Finie la voiture pour faire 500 mètres ou l’ascenseur pour monter 2 étages ! Pour garder une trace de tous vos efforts sans avoir à y penser, les bracelets connectés ont le vent en poupe. Mais que les autres se rassurent : nous allons aussi parler smartwatch. # Fitbit Flex Un petit appareil pour mesurer le nombre de pas effectués dans la journée, mais aussi vérifier si vous dormez bien, surveiller votre alimentation, etc.
Inséré dans le bracelet en caoutchouc, le Fitbit Flex sait se faire oublier en se synchronisant automatiquement avec votre PC (si vous êtes à côté) et/ou votre téléphone Android via une application. Plus d’informations sur le Fitbit Flex # Jawbone Up À l’inverse du Fitbit Flex, le Jawbone Up n’est pas le simple réceptacle d’un autre appareil. Plus d’informations sur le Jawbone Up # Nike+ FuelBand Le troisième bracelet connecté du marché actuel. . # Sony SmartWatch # Pebble. La faim du travail : regarder Bernard Stiegler à 4mn20. Projet Titan (Voiture Autonome Apple) - Apple Car. Boston Dynamics. Historique[modifier | modifier le code] Le 13 décembre 2013, la société Google a confirmé avoir racheté la société Boston Dynamics pour un montant non dévoilé.
Il s'agit du huitième rachat d'entreprise du secteur de la robotique faite sur le second semestre 2013 par Google[5],[6],[7]. La transaction serait de 500 millions de dollars[8] et ajoute environ 300 ingénieurs aux équipes de Google[9]. En 2019, Boston Dynamics fait l'acquisition de Kinema Systems, permettant notamment l'optimisation de la vision 3D à ses robots[14],[15]. En 2020, Boston Dynamics et le français Shark Robotics s'associent afin de commercialiser un robot de décontamination dans le cadre de la pandémie de coronavirus[16]. En juin 2021, Hyundai Motor prend une participation de 80 % dans Boston Dynamics pour 1,1 milliard de dollars, SoftBank gardant une participation de 20 %[18]. Produits[modifier | modifier le code] DI-Guy[modifier | modifier le code] BigDog[modifier | modifier le code] RHex[modifier | modifier le code] Les 7 projets les plus incroyables du Google X Lab. Ayant fêté son 15e anniversaire au mois de septembre, le moteur de recherche internet Google n'est plus le même qu'à ses débuts.
En effet, l'un des fondateurs a même créé un Laboratoire pour effectuer des recherches parfois ahurissantes. Découvrons les sept projets les plus fous du Google X Lab. Avec près de 40 milliards de dollars de profit en 2013, Google ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. En pleine évolution, le moteur de recherche aurait créé un laboratoire dédié à la recherche qui se situe dans la baie de San Francisco. Le Google X Lab est une idée de l'un des fondateurs, à savoir Sergeï Brin, qui dirige de nombreux experts en intelligence artificielle, en robotique et en neuroscience. Le but de ce laboratoire est de travailler sur des projets qui pourront peut être être lancés dans le futur. Le Brinbot Les robots sont l'avenir et Google semble assez d'accord.
L'intelligence artificielle La Google Car Vous avez probablement déjà entendu parler de ce projet lancé par Google. Google enterre son projet Ara, adieu le téléphone modulaire. Voilà une information qui va décevoir un grand nombre de personnes qui espéraient voir arriver bientôt le fameux téléphone modulaire de Google, connu sous le nom de Projet Ara. L’entreprise jette l’éponge… Annoncé comme révolutionnaire aussi bien sur le plan technique, qu’économique, le projet Ara semblait être le prochain grand bouleversement dans l’univers de la téléphonie mobile, comme l’iPhone le fut en son temps pour Apple. Pourtant, Google a bel et bien pris la décision d’arrêter ce projet de téléphone modulaire.
Nous en parlions là, là, ici aussi et encore là… bien triste fin pour un projet si intéressant. Google décide de mettre fin au projet Ara La décision a interpellé tous les acteurs du high-tech, car Google avait évoqué le projet Ara au mois de mai, à l’occasion de la conférence annuelle Google I/O. Pour ceux qui ne connaissent pas le projet Ara, il s’agissait d’un téléphone, dont chaque élément était un module ou un block, qu’il était possible de changer. Source. Nanotechnologie : les incroyables applications. Nanoaliments dont le goût change à volonté, matériaux de construction qui s’autoréparent, objets qui se constituent à partir de l’air ambiant, microprocesseurs à l’échelle d’un millième de millimètre, membres du corps qui repoussent… La nanotechnologie ne se contente pas de créer à partir de l’atome, elle nous fait miroiter des applications à faire pâlir la science-fiction.
Un rêve d'ascenseur spatial, application des nanotechnologies à base de nanotubes de carbone. © DR Si certaines d’entre elles sont bel et bien en train de devenir réalité, peut-on accorder crédit à toutes ces prédictions ? Et quels sont les garde-fous qu’il faudrait mettre en place face à ce plongeon dans une autre dimension ? Transhumanisme : l’Homme du futur sera-t-il amélioré ? Entre craintes et fantasmes, les adeptes du transhumanisme, c'est-à-dire de l'Homme amélioré, se sont réunis à Paris pour débattre de l'avenir de l'humanité. À quoi devons-nous nous attendre ? Et surtout devons-nous le souhaiter ? À lire, notre dossier complet sur les nanotechnologies Quasi-immortalité, avenir de cyborg : l'Homme est-il condamné à intégrer des nanopuces dans son cerveau pour ne pas devenir obsolète ?
Issu d'une frange de la cyberculture californienne, ce mouvement mise sur une évolution rapide des progrès de l'informatique, des bio et nanotechnologies et de la connaissance du cerveau. Grâce à ces techniques, il s'agirait non seulement d'augmenter les capacités de l'Homme (d'où le nom Humanity + choisi par le mouvement à l'échelle internationale), mais aussi de préparer la transition vers des posthumains, sortes de cyborgs (organismes cybernétiques) qui succéderaient à notre espèce.
L’intelligence artificielle en complément Le transhumanisme : paradis ou enfer ? [L'industrie c'est fou] Bienvenue à la Robocup, le championnat du monde de foot des ... robots - L'industrie c'est fou. Ils tombent mais ne simulent pas ! Des Australiens ont affrontés des Américains au football avec … des robots. Le RoboCup Challenge a lieu tous les ans depuis le milieu des années 90. Lors de cette compétition, des équipes de robots de 58 centimètres de hauteur développés par la compagnie française Aldebaran Robotics s’affrontent.
Les robots sont programmés à l’avance ils "se disent entre eux où ils pensent que le ballon se situe, où ils sont sur le terrain, s’ils vont tomber ou pas, et ils décident qui récupère le ballon", explique Josiah Hanna, un étudiant de l’Université de Texas, au Guardian. L’Université du Texas (Etats-Unis) a finalement battu l’Université de Nouvelle-Galles du sud (Australie) 3 à 0 lors d’une séance de tir au but. Le score de la finale de l’année dernière était plus sévère, puisque les Américains l’avaient emporté 7 à 3 en raison de (trop) nombreuses chutes des petits humanoïdes australiens. Caffe2Go : Facebook dévoile une étonnante plateforme d'intelligence artificielle. Lors du Web Summit de Lisbonne, Facebook a présenté les capacités mobiles de sa plateforme d’intelligence artificielle dénommée Caffe2Go. Basé sur le deep learning (réseaux neuronaux), elle ouvre de nouvelles perspectives sur terminaux mobiles (sur iOS et Android). « Nous pouvons créer des contrôles gestuels, où l’ordinateur peut voir où vous pointez et activer différents styles ou des commandes.
Nous pouvons reconnaître les expressions faciales et effectuer des actions connexes, comme mettre un filtre ‘yay’ sur votre selfie quand vous souriez« , explique Mike Schroepfer, Chief Technology Officer de Facebook, dans un billet de blog. Mais, Facebook a également fait la démonstration bluffante d’un traitement en temps réel sur une vidéo. En effet, de manière similaire à l’application d’origine russe Prisma, Caffe2Go permet de transférer différents styles d’artistes tels que Van Gogh ou Claude Monet sur une image en mouvement. La technique est appelée « transfert de style ». Intelligence artificielle, robots et société. Une intelligence artificielle apprend à parler. Le deep learning, la technique d’apprentissage par l’expérience pour les IA, semble avoir de beaux jours devant elle. Après avoir permis à une IA de découvrir Mario ou d’apprendre à lire, cette technique a maintenant été utilisée pour initier un robot aux subtilités du langage.
Une étude, publiée cette semaine lors de la conférence internationale conjointe sur les intelligences artificielles, décrit l’expérimentation menée par une équipe de chercheurs de l’université d’Austin au Texas. Cette étude, intitulée “Apprendre à interpréter les ordres du langage naturel par le dialogue humain-robot”, avait pour but de créer un agent de discussion implémentable sur un robot traditionnel pour lui permettre de comprendre le langage de base. Pour les chercheurs, les dernières approches sur le sujet n’étaient pas satisfaisantes, puisque ne prenant pas en compte certaines variations linguistiques. L’agent de conversation conçu pour cette étude possède un système inédit.