Israel Attacks Gaza, Silence from Mainstream Media about Israeli Violations of International Law. Un Demorand peut-il en chasser un autre ? Mais d’abord, quel est, non pas l’individu, mais le personnage, socialement et médiatiquement construit, dont Edouard de Rotschild vient de se porter acquéreur pour co-diriger Libération ? Pour en avoir un aperçu, il suffit de s’arrêter sur quelques étapes de son ascension sur les sentiers de la gloire. Prompt à entériner, voire à favoriser les évictions de certains de ses partenaires d’antenne – Miguel Benasayag sur France Culture, Didier Porte et Stéphane Guillon sur France Inter [1] – Nicolas Demorand sait cultiver avec soin, en passant d’un média à l’autre, ses fidélités mondaines et médiatiques. Journaliste fougueux et lettré, il sait jouer de divers registres de « l’impertinence » : de l’irrévérence bouffonne et grossière, quand il interroge Jean-Louis Debré, à la désinvolture ludique, quand il anime un âpre « débat » sur les churros.
I. « Comment je suis (re)devenu journaliste (ou presque) », par Mister Demorandini Sur Europe 1, le 5 janvier : Sur France 5, le 23 janvier : « Bonus » Bakchich dépose le bilan. «Bakchich arrête», «Voilà c’est fini»… Cinq à six choix de unes sont affichées dans les locaux à Charonne, Paris XIe, de l’hebdomadaire satirique qui boucle son dernier numéro. Le der des der sort en kiosque vendredi. Après, le site internet et le journal papier déposent le bilan. Cette aventure là, qui aura duré quatre ans et demi, semble bel et bien finie. Même si des repreneurs peuvent reprendre la marque et une partie de l’équipe des quinze salariés après la liquidation, qui pourrait intervenir dans une dizaine de jours. Bakchich.info avait été lancé par trois jeunes amis en mai 2006 dont Xavier Monnier, 29 ans, actuel directeur de la publication. Plusieurs fois, le groupe a frôlé la liquidation. Cet été, une nouvelle manne d’argent frais, 550 000 euros, avait permis de tenir encore. Le sarkozygate? C’est la faute à Mitterrand. | Le souffle divin.
Spam. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Boîte de réception infestée Le spam, courriel indésirable ou pourriel (terme recommandé au Québec par l'OQLF[1]) est une communication électronique non sollicitée, en premier lieu via le courrier électronique. Il s'agit en général d'envois en grande quantité effectués à des fins publicitaires. Le premier spam a été envoyé le 3 mai 1978 par Gary Thuerk[2],[3], marketeur travaillant chez DEC. En France, 95 % des messages échangés courant décembre 2006 étaient des spams[6]. Terminologie[modifier | modifier le code] Origine du terme « spam »[modifier | modifier le code] SPAM est une marque créée et déposée par Hormel Foods en 1937[9],[10], l'origine du nom étant « Spiced Ham » (« jambon épicé », le produit ayant été nommé Hormel Spiced Ham à ses débuts[11]).
Le verbe « spammer » est souvent utilisé dans le langage familier pour qualifier l'action d'envoyer des messages indésirables. . « Pourriel » et autres[modifier | modifier le code] Le PS lance la Coopol, son réseau social en ligne. Le PS inaugure son site communautaire Lacoopol.fr. 01net le 13/01/10 à 16h37 Nous vous parlions à la fin du mois d'octobre 2009 du projet de site communautaire du Parti socialiste, Lacoopol.fr. (prononcez co-o-pol). La plate-forme est désormais en ligne. Cette « coopérative politique est le réseau social de toutes celles et de tous ceux qui veulent débattre et agir à gauche ! », annonce la page d'accueil. Le site veut permettre aux sympathisants et militants du PS de s'organiser, d'échanger, de débattre, de mobiliser en ligne, d'organiser l'action sur le terrain, etc. . « Le but (...) c'est d'outiller les 4 000 sections du PS. Lacoopol.fr n'affiche ni lien avec le dernier site du PS, qui vient aussi d'être mis en ligne, ni le nouveau logo de la formation politique d'opposition.
Le développement de Lacoopol.fr a commencé en juin dernier. En fin de semaine dernière, c'est l'UMP qui a mis en ligne, dans la plus grande discrétion, son propre site communautaire, baptisé « Les créateurs de possible ». Politique : PS, UMP : le match des réseaux sociaux. Les socialistes et la majorité présidentielle disposent chacun de leur réseau social, la Coopol et les Créateurs du possible. Deux sites communautaires, deux stratégies différentes. Cette fois, c'est parti. Une semaine après les Créateurs de Possibles de l'UMP, le PS vient d'autoriser l'accès à son réseau social, la Coopol (pour «coopérative politique»), au grand public. Un signe que la bataille des régionales qui s'annonce se déroulera aussi sur le Net, devenu un enjeu stratégique. Aucun des deux partis n'est un précurseur en la matière : le Modem, le Nouveau Centre et même Dominique de Villepin ont déjà mis en place leurs réseaux sociaux - pour faire branché, mieux vaut dire «SocNet», pour «Social Networks» - tandis que les Verts planchent sur leur site.
Ces plateformes sont devenues l'alpha et l'oméga de l'action politique sur Internet en France, depuis que Barack Obama en a prouvé l'efficacité lors de sa campagne. Coopol, la «boite à outils militante» du PS. La Coopol: un Facebook politique? Jeudi dernier, c’était l’UMP qui lançait les Créateurs de possibles, son réseau social. Ce mardi, c’est au tour du PS de mettre en ligne Coopol. Un lancement un peu différé puisque le projet, débuté en février dernier, est déjà accessible à certains militants depuis 1 mois et demi. Selon le PS, il y aurait ainsi 5.000 inscrits dont 2.500 actifs. Du coup, forcément, de prime abord, le site donne l’impression d’être assez riche et de déjà «vivre». Ce qui incite plutôt à rejoindre la communauté. Dès l’inscription, on est catalogué.
En revanche, on parle de coopains et non de camarades, «car le site est ouvert à tous, pas seulement aux adhérents» explique Valerio Motta, responsable du site web. Chaque coopain dispose de sa page personnelle, un peu comme sur Facebook, avec un profil qui recense aussi ses mandats, ses responsabilités au sein du PS, ses centres d’intérêts, mais aussi des liens vers ses sites et comptes Twitter et Facebook. Oriane Raffin. Coopol, pour se faire plein de ”coopains” au PS - Internet / pol. La Coopol, le "Facebook" socialiste - Actualité France - Politiq. Avec Coopol, le PS veut "transposer la campagne dObama" - Publi. Parti socialiste 12/01/2010 à 16h55 - mis à jour le 20/04/2010 à 10h06 | vues | réactions Après l’UMP et ses Créateurs de possibles la semaine dernière, c’est au tour du Parti socialiste de rendre public son réseau social, Coopol.
Evidemment, « ça n’a rien à voir avec les Créateurs de Possibles », selon Benoît Thieulin, qui a développé avec la Netscouade « ce Facebook de gauche ». La différence ? « Là on est dans un vrai réseau social », assure celui qui était à l’origine du Désirs d’Avenir première génération, avec Ségolène Royal. Martine Aubry, qui quelques minutes avant présentait ses vœux, est venue tâter de la souris pour les caméras. « Coopol, comme coopérative, tous ensemble », lance la première secrétaire. Plus à l’aise, Benoît Thieulin détaille le bébé de l’équipe Web du PS. 250 000 euros et 5000 inscrits Ces derniers mois, le réseau s’est ouvert progressivement à l’ensemble des militants et aujourd’hui à tous sympathisants. Une information, un témoignage sur cette histoire ?
Après l'UMP, le PS lance sa plate-forme communautaire - Journal. Le PS lance son site participatif: est-il meilleur que celui de. Parti socialiste 12/01/2010 à 16h33 - mis à jour le 12/01/2010 à 17h01 | vues | réactions Depuis une semaine, l'UMP a son site participatif (Créateurs de Possibles). Pas de jaloux, le PS a aussi le sien depuis ce mardi matin, avec le lancement de LaCoopol.fr. Le site, qui était jusqu'alors réservé à des testeurs, est désormais ouvert à tous. Les internautes se sont empressés de livrer leurs premières impressions, mais force est de constater que LaCoopol a suscité beaucoup moins de réactions que Créateurs de Possibles ou Désirs d'Avenir en son temps. 1.
La première chose qui interpelle les internautes, c'est le tutoiement de rigueur sur le site. Et une internaute de répondre : "Parce que ca fait cool / ça fait club med.. les bronzés!! Ensuite, faites attention à l'adresse mail que vous indiquez car vous recevrez irrémédiablement des newsletters, comme le fait remarquer Petites Phrases : En effet, comme le montre la capture d'écran ci-dessous, vous êtes obligé de vous abonner. 2. 3. Le PS lance son nouveau site et son réseau communautaire - Tenda. UMP, PS : deux réseaux sociaux, deux philosophies différentes -