Pollution. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Fumées industrielles généralement chargées de résidus de combustion. La pollution est la dégradation d'un écosystème par l'introduction, généralement humaine, de substances ou de radiations altérant de manière plus ou moins importante le fonctionnement de cet écosystème[1]. Par extension, le mot désigne aussi parfois les conséquences de phénomènes géologiques comme une éruption volcanique[2]. C'est après la Seconde Guerre mondiale qu'une prise de conscience des répercussions des activités humaines sur l'environnement voit le jour, parallèlement à la naissance de l'écologisme et de l'écologie.
Les préoccupations environnementales conduisent les gouvernements à prendre des mesures pour limiter l'empreinte écologique des populations humaines et pour contrer des activités humaines contaminantes. Tri sélectif. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Bornes de tri des déchets, en Suisse. L'expression tri sélectif doit être proscrite car elle constitue un pléonasme. La notion de sélection (des déchets) dans la collecte, embrasse celle de tri (des déchets). Préhistoire[modifier | modifier le code] Les hommes préhistoriques semblent avoir valorisé une partie de leurs déchets alimentaires (os et ivoire utilisés pour faire des armes, des propulseurs, des aiguilles...) Effet de serre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'expression effet de serre résulte d'une analogie entre l'atmosphère et les parois d'une serre. Son usage s'est étendu dans le cadre de la vulgarisation du réchauffement climatique causé par les gaz à effet de serre qui bloquent et réfléchissent une partie du rayonnement thermique [1]. Or le bilan thermique d'une serre s'explique essentiellement par une analyse de la convection et non du rayonnement : la chaleur s'accumule à l'intérieur de la serre car les parois bloquent les échanges convectifs entre l'intérieur et l'extérieur. Des combats, des victoires, un espoir. Réchauffement climatique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
En 1988, l'ONU crée le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) chargé de faire une synthèse des études scientifiques sur cette question. Dans son dernier et quatrième rapport, auquel ont participé plus de 2 500 scientifiques de 130 pays[1], le GIEC affirme que le réchauffement climatique depuis 1950 est très probablement[c 1] dû à l'augmentation des gaz à effet de serre d'origine anthropique.