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"ANECDOTIQUE"

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Loi de Moore. Croissance du nombre de transistors dans les microprocesseurs Intel par rapport à la loi de Moore. En vert, un doublement tous les 18 mois. Les lois de Moore sont des lois empiriques qui ont trait à l'évolution de la puissance de calcul des ordinateurs et de la complexité du matériel informatique. La première de ces lois est émise par le docteur Gordon E. Moore en 1965, lorsque celui-ci postule sur une poursuite du doublement de la complexité des semi-conducteurs tous les ans à coût constant. Dix ans plus tard Moore ajusta sa prédiction à un doublement du nombre de transistors présents sur une puce de microprocesseur tous les deux ans.

Énoncés[modifier | modifier le code] Un graphique semi-logarithmique du nombre de transistors pour les microprocesseurs par rapport aux dates d'introduction, doublant presque tous les deux ans. Le premier microprocesseur (Intel 4004) a été inventé en 1971. La loi de Moore a été exprimée en 1965 dans le magazine Electronics (en) par Gordon E. Gouvernail d'étambot. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le gouvernail d'étambot, fixé à l'arrière d'un navire par des charnières, donnait un meilleur contrôle sur sa direction et réduisait l'espace nécessaire aux manœuvres tournantes. Le gouvernail d'étambot est apparu en Europe du Nord au début du XIIe siècle[1] sur les cogues. Notes[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Portail du monde maritime.

THEORIE 3 CLICS

Gouvernail d'étambot. WikiLove: après Like et +1 google , Wikipedia lance le “love button” Wikipédia:WikiLove. Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Aimez vous les uns les autres, ne pas se battre les uns les autres. » Si nous ne perdons pas de vue l'idéal à atteindre, cet amour de la connaissance, son esprit, si nous nous concentrons pour atteindre le point de vue neutre surtout lorsque cela s'avère difficile, si nous essayons de comprendre ce que l'autre veut dire, nous pouvons accéder au WikiLove.

Si nous n'y parvenons pas, cela signifie simplement que l'encyclopédie se suffit à elle-même : des guerres d'édition perpétuelles font fuir les contributeurs ;les articles qui ne sont pas neutres ne retiennent pas les lecteurs. Tout cela nuit à la réputation dans la durée. Par contre, un climat de bonne entente est toujours propice à une rédaction de qualité. Si tout le monde se sent en confiance, peut avoir l'assurance que s'il commet un faux pas il sera gentiment rappelé à l'ordre, alors on n'hésite plus à s'enrichir mutuellement de nos différents points de vue. « Entre. Six degrés de séparation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Visualisation artistique du principe des six degrés de séparation. Les six degrés de séparation (aussi appelée Théorie des 6 poignées de main) est une théorie établie par le Hongrois Frigyes Karinthy en 1929 qui évoque la possibilité que toute personne sur le globe peut être reliée à n'importe quelle autre, au travers d'une chaîne de relations individuelles comprenant au plus cinq autres maillons.

Avec le développement des technologies de l’information et de la communication, le degré de séparation a été mesuré de 4,74 sur le réseau social Facebook[1] à 6,6 sur l’échange de plusieurs milliards de messages instantanés étudiés en 2008 par Eric Horvitz (en) et Jure Leskovec[2], chercheurs chez Microsoft, en analysant des discussions de Windows Live Messenger[3],[4]. Cette théorie est reprise en 1967 par Stanley Milgram à travers l'étude du petit monde. Premières versions[modifier | modifier le code] « Un jeu fascinant naquit de cette discussion.

GOOGLE EFFECT. The Google effect is the tendency to forget information that can be found readily online by using Internet search engines such as Google. According to the first study about the Google effect people are less likely to remember certain details they believe will be accessible online. However, the study also claims that people's ability to learn information offline remains the same.[1][dead link] History[edit] The phenomenon was described and named by Betsy Sparrow (Columbia), Jenny Liu (Wisconsin) and Daniel M. Wegner (Harvard) in their paper from July 2011.[2][3] Explanation[edit] The study included four experiments conducted with students at Columbia and Harvard.[1] In part one, subjects had to answer hard trivia questions. In part two, the subjects read statements related to the trivia questions and had to remember them. In phase three, the subjects had to in a computer type in the details of answers to questions handed out to them. References[edit] External links[edit]