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Toupiemag. Qu’est-ce que l’identité numérique ? Olivier Ertzscheid : C’est la somme de ce que nous mettons consciemment en ligne nous concernant, de ce que d’autres personnes disent de nous sur la toile (en taguant des photos, par exemple) et de toutes les données collectées à notre insu, notamment par les moteurs de recherche. Les enfants de moins de 3 ans ne sont évidemment pas à l’origine de leur identité numérique. Ce sont leurs parents qui la construisent. Certaines familles créent une adresse e-mail pour leur enfant, parfois alors que celui-ci n’est même pas encore né… D’autres lui ouvrent une page Facebook pour y regrouper les photos et vidéos le concernant. Il s’agit d’informations disparates. O. Dans quel but ? O. Qu’en est-il des paramètres de confidentialité ? O. Quel risque y a-t-il à ce que son enfant ait une identité numérique ?

O. Que deviennent ces informations ? O. Donc, le droit à l’oubli n’existe pas aujourd’hui ? O. O. Propos recueillis par Camille Laurans. Rémi Thibert - scoop it. Edit du 29 mai 2014 Cet article ayant suscité beaucoup de commentaires, je vous invite à les lire attentivement. Des précisions sont apportées, qui viennent notamment atténuer un peu mes propos tenus ici et m’ont inspiré pour l’article suivant (De la nécessité de revoir constamment son schéma de veille) Merci. J’utilise Scoop.it depuis un bon moment, et je dois dire que c’est un bien bel outil de curation. Oui mais voilà, comme beaucoup d’outils, les conditions d’utilisation évoluent, forçant les utilisateurs à passer à une version payante (la version pro) qui n’est pas donnée : presque 13$ par mois !

Plusieurs aspects me dérangent. Autre souci pour lequel j’ai bidouillé une astuce en utilisant IFTTT : mes « scoops » sont automatiquement envoyés sur Twitter. Plus récemment, deux évolutions m’ont chagriné : Du coup, j’envisage sérieusement de me passer de Scoop.it. WordPress: J'aime chargement… Sur le même thème Comments. YouTube Gets A Built-In GIF Creator. Remember back in November of last year when I wrote that YouTube needed to build its own tool for making GIFs from videos? Some called me crazy. Many, however, agreed completely.

It seems YouTube agreed, too. YouTube is now quietly rolling out its own GIF maker. It doesn’t seem to be enabled on all videos just yet, but it’s definitely there for some. Take, for example, pretty much any video from PBS’ Idea Channel (as spotted first by Andy Baio). GIF creation through the tool is quite simple: tap the share button, set your start/end points, set any captions you might want, and create away. The final look of the tool isn’t too unlike the mockup I did back with that first post, which means I’m totally going to take 100 percent credit for this idea despite the fact it had probably been in the works for months/years. Need to make a GIF now, but YouTube’s new tool isn’t enabled on your oh-so-GIFable video yet? Objectif Lab. (MàJ janvier 2015) Contrairement à ce qui est annoncé au bas de ce billet, je passe sur le projet labUA à 100% à compter de janvier 2015 et n’assume plus à présent la responsabilité de la section Bibnum) Non, je ne suis pas mort, mais l’actualité a été un peu molle ces derniers temps et puis, je travaille avec d’autres sur un projet qui commence à bien prendre forme et dont maintenant, du coup, je peux parler publiquement.

Or donc : nous sommes actuellement en train de monter une structure dont le nom de code temporaire, labUA, dit assez de quoi il retourne (j’y reviens), et qui doit officiellement démarrer au 01 janvier 2015. Ladite structure doit rassembler à partir de cette date des personnels de la Bibnum BUA (2 personnes) et des personnels (5 personnes) issus de la DDN UA (la Direction du Développement Numérique, qui s’appelle sans doute DSI chez vous). Pour ma part, je demeure dans le même temps responsable de la section Bibnum BUA. Voilà, c’est tout pour le moment. Fill EAC adiffuser. Conférence sur wikipedia, vendredi 16 octobre. Nous avons tous utilisé, un jour ou l'autre, Wikipedia. 2 événements pour mieux comprendre ce "bien commun" : un atelier, samedi 17 octobre après midi à la BU Saint Serge, et une conférence, le 16 octobre sur le campus de Belle Beille.

L'atelier vous permettra de passer d'utilisateur à acteur de l'aventure Wikipedia, samedi 17 octobre, à la BU St Serge, à 15h, dans le carré multimédia. Des contributeurs à Wikipedia accompagneront vos premiers pas et vous montreront comment modifier, pour les améliorer et les enrichir, les articles de la fameuse encyclopédie libre. L'accès est libre et gratuit, sans inscription. Présentez-vous à l'accueil et suivez le guide ! Au moment du Festival francophone des Communs, le lab'UA accueille, autour des questions de biens communs, le chercheur Pierre-Carl Langlais ce 16 octobre 2015 à 14 heures, dans l'amphithéâtre Germaine Tillion de la maison de la Recherche, campus de Belle-Beille. Why do Publishers Launch Websites? Major publishers in recent years have been on a rampage trying to appeal to the YA audience.

They have been setting up niche websites that are designed to sell books but also have a youth savvy editorial voice. Sadly, the vast majority of these sites are dead in the water a few months after launching or languish into obscurity. Are publishers doing the wrong thing with building websites instead of using social media? Pew Research conducted an internet study report that looked at youth and teens. Most publishers have a presence on social media sites like Facebook and Twitter but these sites have lost traction with teens in recent years.

However, some teens aren’t just bailing — they’re refusing to buy into Facebook in the first place. Teens these days are on Instagram, Tumblr, Snapchat and Vine. What Vine user wouldn’t love to see something posted by their favorite author? Teens simply don’t visit static websites anymore. Michael Kozlowski (5405 Posts) Savez-vous vraiment faire une recherche google ? Savez-vous vraiment faire une recherche google ? Tout le monde connaît Google, et tout le monde l’utilise chaque jour dans son travail. Mais pourtant, peu d’entre nous savent s’en servir de façon optimale. En effet, lors d’une recherche Google, on commence dans la grande majorité des cas à taper quelques mots clés, par exemple « articles transformation digitale », voire même des phrases comme « lire des articles sur la transformation digitale ». Car notre perception de l’intelligence artificielle évolue et s’éloigne davantage du dialogue homme-machine pour s’approcher d’un dialogue avec un véritable humain.

Cette évolution, quoi qu’on en pense, nous éloigne pourtant de la véritable nature d’un moteur de recherche : un paquet d’algorithmes, donc une montagne de calculs, de paramètres, de langages etc. Recherche Google : plusieurs opérateurs Et maintenant, la pratique… Exemple n°1 : intitle + filetype Exemple n°2 : Savez-vous vraiment faire une recherche google ? Le booktubeur et le bibliothécaire. Un article du Figaro publié il y a quelques jours affirme que « les nouvelles idoles des jeunes ne sont plus à la télévision, mais sur Youtube. » Les youtubeurs sont ces internautes qui alimentent une chaîne Youtube consacrée à leurs passions. En France, on connait Norman, le Joueur du Grenier ou Rémi Gaillard (je me limite aux têtes de gondole). Le succès de leurs vidéos trouve de plus en plus d’échos dans le monde de l’édition. Le Figaro cite le cas de Zoe Sugg et Alfie Deyes, deux youtubeurs britanniques dont les livres ont fait de véritables cartons en librairie.

Mais ce qui intéresse surtout les éditeurs, c’est le phénomène encore récent des booktubeurs : des lecteurs qui mettent en ligne des critiques de livres et qui peuvent être suivis, pour les plus populaires d’entre eux, par des dizaines de milliers d’abonnés. Qu’est-ce que les bibliothécaires peuvent retenir de ce phénomène ? Portrait robot du booktubeur Les booktubeurs forment un ensemble relativement homogène. Les bibliothèques vous accueillent. Le nouveau contrat-type de la SGDL.

La SGDL propose le nouveau contrat d'édition conforme aux nouvelles dispositions légales. Réalisé par le Conseil Permanent des Écrivains (CPE) et préconisé par la Société des Gens de Lettres (SGDL), ce contrat est conforme aux nouvelles dispositions légales entrées en vigueur le 1er décembre 2014, issues de l’accord-cadre signé le 21 mars 2013 entre le SNE (Syndicat national de l’édition) et le CPE. Depuis le 21 mars 2013, date de signature de l’accord entre le SNE et le CPE sur l’adaptation du contrat d’édition à l’ère numérique, nous attendions sa transcription dans la loi.

C’est enfin chose faite, avec la publication de l'ordonnance du 12 novembre 2014 au Journal Officiel du 13 novembre, la signature du "Code des usages" et de l'arrêté d'extension le 10 décembre 2014, avec une publication au JO du 28 décembre. L’ensemble du nouveau dispositif est désormais effectif : tous les contrats d’édition doivent donc être conformes à ces nouvelles dispositions légales et réglementaires.

Se réinventer dès aujourd’hui ? Tendances et propositions pour bibliothécaires averti(e)s. Voici une réflexion que j’ai partagée récemment avec des collègues bibliothécaires. Il s’agit d’un exercice de prospective sur la profession à partir d’une diversité de sources qui ont en commun, pour la plupart, de souligner l’engagement actuel en matière de développement durable à travers cinq dimensions : 1. Bibliothécaire, une profession globale 2. Bibliothécaire communautaire 3. Au moment où circule le Plan culturel numérique qui fait la nuit sur les bibliothèques publiques dans ses propositions, cette réflexion cherche à mettre l’emphase sur les tendances numériques et le rôle des bibliothécaires au sein des communautés en matière d’accès, de création et de valorisation de contenus locaux, de médiation numérique, d’apprentissage, de protection de la vie privée, de soutien à la diversité culturelle, de mobilité, d’offre en fablab, medialab, etc.

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