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L'impasse de la crise. Présidentielle2012. Mouvement des indignés. Crise de l'euro. La Grèce ou comment étrangler un peuple par José FORT. Mikis THEODORAKIS : « Prémonition de grands malheurs pour la Grèce » Article placé le 28 avr 2010, par Mecanopolis Avec le sens commun dont je dispose, je ne peux pas expliquer et encore moins justifier la vitesse à laquelle notre pays a dégringolé à partir de 2009, au point d’en arriver au FMI, perdant ainsi sa souveraineté nationale et passant à un régime de tutelle. mikis Et il est curieux que personne jusqu’à présent ne s’est occupé du plus simple, à savoir de notre parcours économique chiffré à partir de données, degré par degré, de manière à ce que nous ignorants comprenions les motifs réels de ce développement vertigineux et sans précédent, qui a abouti à la perte de notre identité nationale accompagné de l’humiliation internationale.

J’entends parler d’une dette de 360 milliards, alors qu’en même temps je vois les mêmes dettes, voire de plus grandes, dans de nombreux autres pays. Donc, celle-là ne peut pas être la cause de notre malheur. Mikis THEODORAKIS Traduit par Josette Vossot. Vers une taxe sur les tickets restaurant ? - Economie - Nouvelob. Le ministère de l'Economie et des Finances étudie la possibilité de taxer "les titres restaurants ou les chèques vacances", révèle Les Echos dans son édition de lundi 3 mai, "mais le sujet est très sensible" politiquement.

"Aucune mesure n'est arrêtée à ce stade et d'autres ministères se montrent extrêmement réservés", indique le quotidien économique, selon qui "les arbitrages précis auront lieu à l'été". Etendre le forfait social ? Pour le moment, "le ministère de l'Economie étudie la possibilité d'étendre le forfait social, cette contribution de 4% à la charge des employeurs, à certains revenus encore exonérés de cotisations", comme "les chèques vacances, les titres restaurant, les avantages accordés par les comités d'entreprise, les chèques emploi-service préfinancés ou les indemnités de rupture (pour les licenciements et les départs en retraite)", explique Les Echos.

Plusieurs centaines de millions d'euros Un risque sur le pouvoir d'achat (Nouvelobs.com) Les 56 du Fouquets, 2 ans après (Wikifouquets) C’était il y deux ans. Le 6 mai 2007, Nicolas Sarkozy devient, avec 53,06% des suffrages exprimés, président de la République. Ses partisans se massent sur la place de la Concorde, attendent avec fébrilité l’arrivée de leur champion. Les caméras sont braquées vers la scène où s'ébattent Enrico Macias et Mireille Mathieu. Mais le nouveau président va traîner. A 20h30, il s’engouffre dans le Fouquet’s où l’attendent 56 invités triés sur le volet.

Il y a là le gratin du CAC40, un zeste de people, une pincée de journalistes. Dans les jours qui suivent, la liste des convives commence à filtrer dans les médias. Deux ans plus tard, les étudiants du Centre de Formation des Journalistes rouvrent le dossier pour le Post.fr. Pour mémoire, les voici : Bolloré et les marchés publics. Le groupe de l'homme d'affaires Vincent Bolloré s'est vu attribuer ces dernières années des marchés publics, contrairement à ses affirmations et à celle du président élu Nicolas Sarkozy. C'est ce qu'a constaté l'AFP sur le site internet des Journaux Officiels de la République française.

Dans le cadre de la polémique suscitée par le séjour de Nicolas Sarkozy sur le yacht de Vincent Bolloré au large de Malte, le groupe de l'homme d'affaires avait affirmé mercredi qu'il n'avait "jamais eu aucune relation commerciale avec l'Etat français". Nicolas Sarkozy avait indiqué de son côté que "Vincent Bolloré est un des grands industriels français. Il n'a jamais travaillé avec l'Etat. Il fait honneur à l'économie française". Chorus, le logiciel qui empêche l'Etat de payer ses factures | E. Fournitures de bureau et armes de guerre… Depuis fin 2009, l'Etat accumule les impayés à cause du nouveau logiciel. Les fonctionnaires dénoncent leur manque de formation face à Chorus, censé simplifier la comptabilité, tandis que les fournisseurs perdent patience. Pour l'instant, quatre ministères ont adopté Chorus : l'Education nationale, la Défense, la Justice et l'Intérieur. Bilan ? « On va péter un câble », assure un comptable de l'académie de Toulouse, qui préfère rester anonyme : « Par exemple, vous voulez acheter des ciseaux.

Pour passer la commande, il faut attendre qu'il soit validé au rectorat à Toulouse et qu'il revienne. Des factures impayées depuis novembre Une comptable du ministère de la Défense confirme cette mise en place chaotique : « Pour utiliser Chorus, il faut des licences nominatives, avec des codes personnels. L'exaspération monte chez les fournisseurs. Le dossier embarrasse surtout le ministère du Budget. . « C'est un projet important et bien piloté.

L'Etat a-t-il vraiment gagné de l'argent en sauvant les banques. Selon la Cour des comptes, Sarkozy n'a peut-être pas fait une si bonne affaire en prêtant 120 milliards aux banques. Nicolas Sarkozy l'a toujours assuré : le plan de sauvetage des banques, lancé en octobre 2008, est une très bonne affaire pour l'Etat.

La Cour des comptes vient de contredire cet optimisme. En prêtant 120 milliards d'euros aux banques, l'Etat a pour l'instant gagné de l'argent, mais ça ne devrait pas durer. Combien l'Etat a-t-il vraiment déboursé ? Seulement le tiers de ce qu'il avait annoncé. 77 milliards d'euros sous la forme de prêts ; . 20,75 milliards d'euros en apports de fonds propres (en entrant au capital des banques) Pourquoi l'Etat n'a-t-il dépensé qu'un tiers de l'enveloppe ? Les banques ont-elles remboursé l'Etat ? En partie. Le remboursement des 77 milliards d'euros prêtés sera plus lent.

L'Etat a-t-il gagné de l'argent ? A court terme, oui. Les prêts accordés aux banques, par exemple, ont été une bonne affaire.

Sale temps pour la Sarkosie

Réforme de l'Etat : le gouvernement va présenter un plan de 10 m.