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L’art (simulé) de la guerre. Par Rémi Sussan le 27/04/11 | 1 commentaire | 1,638 lectures | Impression Dans les affaires militaires, les simulations vont-elles constituer “le nerf de la guerre” ? La question est loin d’être nouvelle ; que sont après tout les jeux d’échecs et de go, sinon des simulations de combat ? Les recherches sur la prédiction et la gestion des conflits montrent bien les promesses et les limites des sciences de la complexité.

C’en est peut-être même le meilleur laboratoire : le monde de la guerre se caractérise par la rapidité et l’intensité de son feedback. On se rend bien vite compte de ses erreurs, et on les paie très cher, en vies humaines. C’est pourquoi l’étude de la complexité en matière militaire pourrait bien être utile à tous les chercheurs en sciences humaines, même ceux qui s’intéressent à des domaines bien plus pacifiques, comme les relations sociales ou l’urbanisme, où il est plus difficile de mesurer la valeur d’une théorie. Construire des wargames “sérieux” Dis-moi qui tu connais… Devenez propriétaire du prochain Rainbow Warrior de Greenpeace. Greenpeace a lancé la construction d’un nouveau bateau : le Rainbow Warrior III. Un projet de bateau plus écologique, mais qui va couter dans les 23,2 millions d’euros … Devenez propriétaire du Rainbow Warrior III Le budget du projet est quasiment bouclé, mais pour le finaliser l’ONG écologique fait appel aux internautes en leurs proposant de participer au financement du Rainbow Warrior III.

Les internautes sont invités à participer en achetant symboliquement des pièces du navire : Des boulons ou un interrupteur pour quelques euros, en passant par le GPS ou le déssalinisateur pour plusieurs milliers d’euros … des milliers de pièces sont mises à la vente pour que chacun puisse participer selon ses moyens. En échange de cette participation, les internautes recevront un certificat de propriété et auront l’honneur de voir leur nom inscrit à bord du futur Rainbow Warrior III. Un Rainbow Warrior plus écologique ++ anewwarrior.greenpeace.org Auteur : Fabien.

Le monde humanitaire devra prendre acte des leçons d’Haïti | Grotius.fr. Le séisme ayant frappé Haïti en 2010 restera, à plus d’un titre, un événement de portée exceptionnelle. D’abord par son ampleur dévastatrice dans un pays déjà à bout de souffle, mais aussi en raison des nouvelles méthodes utilisées pour sauver des vies. Les nouvelles technologies ont été centrales pour diffuser et recueillir des informations vitales aux opérations de secours et de distribution de l’aide.

Cette leçon haïtienne aura des conséquences pour la gestion de l’information dans les futures crises humanitaires. La gestion de l’information après le tremblement de terre en Haïti marque un tournant dans la gestion des crises humanitaires, notamment grâce à l’utilisation des nouvelles technologies. La participation, sur place ou à distance, de la communauté des nouvelles technologies, a fait d’Haïti un véritable laboratoire d’essai pour les nouveaux outils de communication. L’interactivité du système de SMS a permis de connaître l’avis des Haïtiens sur l’aide humanitaire. FrenchLeaks. Critique du capitalisme et de l'aliénation du travail. Avec d'une part le travail magistral de Moishe Postone, et d'autre part les groupes allemands et autrichiens comme Krisis, Exit ! , Streifzüge avec des théoriciens comme Robert Kurz, Roswitha Scholz, Norbert Trenkle, Anselm Jappe, Gérard Briche, Ernst Lohoff, et plusieurs autres auteurs, de nouvelles lectures de l'œuvre de la maturité de Marx sont apparues durant les deux dernières décennies.

La relecture opérée par Robert Kurz (1943-2012), principal théoricien de la « Critique de valeur » (wertkritik) ou encore appelée théorie critique de la « dissociation-valeur », a cherché avec Marx mais aussi au-delà de Marx, à renouveler les fondements d'une théorie critique radicale de l'économie politique au XXIe siècle.

Un mouvement d'émancipation du fétichisme de la valeur, ne peut plus critiquer ce monde à partir du point de vue du travail. 8th Wonderland (1) Résistance dans le cyberespace Et si Internet était un moyen de passer à la démocratie directe et un outil subversif pour lutter contre le système … Deux jeunes réalisateurs se posent la question dans 8th Wonderland, [1] long métrage inventif sur le fond et la forme. Une technique surprenante qui sert à merveille le récit, des rebondissements qui s’enchaînent au gré des connections et de la réalité factuelle. Le film part d’une réflexion : pourquoi subir les conséquences de décisions auxquelles nous n’avons pris aucune part ?

Des personnes issues de plusieurs cultures, pays et milieux, toutes déçues par la politique mondiale, il y en a beaucoup. Alors, est-ce si irréaliste qu’elles décident de s’unir pour ne plus subir les décisions prises en leur nom et de réagir ? 8th Wonderland ou une prise de conscience collective dans les actions de groupe et le cyberespace. Jean Mach : Le titre du film est venu au cours d’une discussion sur l’existence d’un pays idéal sur Internet. Jean Mach : Oui. Zeitgeist : moving forward. Quoi qu’il en soit, Zeitgeist ou pas, Vénus Project ou pas, il faut nous réveiller, après ensemble on choisira la meilleure solution, sous peu qu’on ait bien étudié toutes les possibilités, nous n’avons plus le temps d’en discuter encore des dizaines d’années.

Se réveiller c’est déjà commencer par comprendre que l’état, les gouvernements, les politiciens, les institutions, les banques, le capitalisme, les multinationales, ...etc sont nos ennemis directs. Ce système monétaire où hier encore nous trouvions normal d’y vivre est aujourd’hui un système qui vient à bout, qui a rendu ce monde malade et ce dans les deux sens du terme.

Alors, ne pas croire en la technologie alors qu’aujourd’hui on s’en sert dans la vie de tous les jours, qu’elle nous apporte bien plus que des promesses de politiques et qu’elle peut nous servir d’avantage, pour tout et dans tous les domaines inimaginables. Répondre à ce message. Facebook, porte-voix des révoltes arabes.