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L'impression en 3D bientôt dans votre salon. Le procédé devrait rapidement se démocratiser avec l'arrivée sur le marché d'imprimantes 3D très performantes à moins de 2000 dollars (1600 euros environ) d'ici à 2016, selon le cabinet Gartner. L'impression 3D a le vent en poupe. Elle est même présentée par certains comme la prochaine révolution industrielle. Grâce à cette technologie, il est possible de réaliser des objets en très petite série, voire à l'unité. Déjà utilisée dans le domaine de l'industrie pour faire des prototypes depuis plus de dix ans, l'impression 3D se diffuse plus largement pour gagner les PME et même le grand public. Elle envahit tous les domaines. Certains l'utilisent pour fabriquer des coques pour smartphones, d'autres des meubles, tandis qu'un architecte néerlandais rêve d'imprimer un bâtiment en 3D !

Le principe de l'impression 3D peut être comparé à celui de l'impression jet d'encre. L'impression 3D «va permettre de relocaliser» » Une arme à feu faite maison avec une imprimante 3D. L'impression 3D menacée par des brevets. Il existe une crainte croissante chez les bidouilleurs qui s'enthousiasment pour les possibilités offertes par l'impression 3D : qu'elles soient un jour minées par des brevets qui freinent la mise à disposition des imprimantes 3D et/ou qui les mettent sous le contrôle de quelques entités commerciales qui chercheront à imposer des formats propriétaires (notamment de consommables) rendant l'impression plus ruineuse.

Pour s'assurer que l'impression 3D reste aux mains des hackers qui ont largement contribué à la populariser, à base de ressources libres et open-source (en particulier le projet RepRap), l'Electronic Frontier Foundation (EFF) a décidé de tirer intelligemment partie d'une nouvelle procédure offerte aux Etats-Unis lors de l'examen des brevets, avec l'aide des internautes.

Pour le moment, l'EFF a identifié trois brevets déposés entre 2010 et 2012 pour laquelle elle demande au public de soumettre des antériorités : L'impression 3D à l'assaut de l'industrie, Analyses. 3D-printed canal home takes shape in Amsterdam. 15 April 2013Last updated at 19:06 ET By Colin Grant Click, BBC World Service The architects intend to use the house as an education centre to help promote 3D printing It sounds like the ultimate do-it-yourself project: the print-your-own-home.

In place of bricks and mortar and the need for a construction crew, a customisable building plan which transforms itself from computer screen graphics into a real-world abode thanks to the latest in 3D printing technology. That dream is still beyond our reach, but several teams of architects across the globe are engaged in efforts to take a major step towards it by creating the world's first 3D-printed homes. Amsterdam-based Dus Architects is one of the firms involved - it plans to print a canal house in the Dutch capital.

It's worth taking a moment to reflect on that premise; the machine will not modestly 3D-print the usual cup, curtain ring or piece of jewellery, but an actual building. The young architects were visibly excited. 3D Printing: The Next Leap in Social Media. Impression 3D : les entreprises doivent s'équiper maintenant, selon Gartner. L’impression en 3D est en train de passer d’un marché de niche à un marché généralisé. Les entreprises qui tardent à examiner comment la technologie pourrait leur être bénéfique seront désavantagées sur le plan de l’innovation par rapport à leurs rivales qui prennent la technologie au sérieux. Tel est le message à retenir d’une note de recherche de Gartner qui explique que le moment est idéal pour expérimenter la technologie car le prix des imprimantes 3D baisse.

D’ici 2016, des modèles de catégorie professionnelle seront disponibles pour moins de 2.000 dollars, rendant l'expérimentation possible sans risque financier et avec un potentiel élevé. « Les premiers adeptes peuvent tester les imprimantes 3D en prenant un risque minime de perte de capital ou de temps, en obtenant éventuellement un avantage dans la conception et le délai de commercialisation des produits par rapport à leurs concurrents », explique Gartner. Zephyr Sofa by Zaha Hadid Architects for Cassina Contract in Milan. Milan 2013: Zaha Hadid launched a sofa based on natural rock formations at an exhibition of her new furniture designs in a former foundry last week. The shape of the Zephyr Sofa by Zaha Hadid for Italian firm Cassina Contract is derived from erosion patterns, resulting in fluid banks of seating with deep platforms and backrests to encourage sprawling. The pieces have no front or back and can be joined together to create larger configurations.

Hadid explained the origins of her flexible furniture designs in a talk on the opening night: "When I was doing plans years ago, people always said 'what kind of furniture will you put against this kind of curved wall? ' So it emerged from that - this idea of making islands or spaces in a modulated form, a sequence or a fluid movement within a space. " "These pieces are very communicative, they are never meant to be pushed up against a wall," added partner Patrik Schumacher. Photographs are by Jacopo Spilimbergo. Rapid reality: Students design 3-D printed products. Provided A cord organizer designed by Emily Burke, Michael Dijamco and Christian Karakachian, has two versions: acoustic and electric. A volume analysis of a two-chamber teapot designed by Tom Eldredge, Rukang Huang and Eric Simeonoglou in Mechanical Synthesis 2250.

Identify a consumer need, design a solution under a certain price, and sell it online. Those were the basic guidelines this semester for engineering students in Mechanical Synthesis 2250, an introduction to product design. The sophomore-level course, co-taught by mechanical engineering professors Hod Lipson and Zellman Warhaft, took a new twist this year: For the first time, students had their prototype designs printed on Cornell’s brand-new 3-D printers in Upson Hall. As a final step, students sent their designs to a 3-D printing company like Shapeways or Materialise, where anyone can order and buy the products, custom-printed in materials like food-grade ceramic, metal and plastic.

L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain. « Il y a une sorte de pensée magique chez les geeks aujourd’hui autour de l’impression 3D », s’énerve Christopher Mims pour la Technology Review. Alors que les imprimantes 3D deviennent accessibles aux amateurs – la Thing-o-Matic de MarkerBot ne coûte que 1 100 dollars – et que Pirate Bay estime que les « physibles » – les plans d’objets qu’on peut réaliser via des machines 3D et qui s’échangent dès à présent sur The Pirate Bay – sont la nouvelle frontière du piratage, des penseurs comme Tim Maly pensent que nous approchons de la fin de « l’expédition ». C’est-à-dire qu’il sera bientôt plus coûteux d’expédier une pièce depuis la Chine ou de n’importe quel endroit où elle est fabriquée, que de la fabriquer soi-même.

Les promesses de l’impression 3D Pourtant, Christopher Mems ne porte pas un regard hautain sur l’impression 3D. Il la connait bien et n’est pas en reste de projets étonnants. Et Christopher Mims de détailler les progrès qu’il y a encore à accomplir.