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Réseaux, hackers: les ONG face au web. Alors qu’elle s’apprête à fêter tout doucement ses 150 ans d’existence, la Croix-Rouge est un exemple emblématique de ces "ONG-forteresses" qui ont énormément de mal à franchir le cap de la communication et de l’action numérique. Un poil gêné, Kelvin Clech, webmaster et community manager, tente une explication, à l'occasion d'une première rencontre organisée par l'agence Limite*. "A la Croix-Rouge, le principe qui domine depuis les débuts, c’est la neutralité, ce qui implique qu’il ne peut pas y avoir de coups de gueule comme dans d’autres organisations. " Sans message politique, ou avec de telles contraintes de validation qu’elles interdisent toute forme de discours spontané, "le passage progressif au 'Networked non profit' s’est fait un peu contre nous", avoue-t-il.

Mais pour Kevin, des pistes peuvent néanmoins être trouvées. Ainsi la Croix-Rouge, avec quelque 17.000 salariés et plus de 50.000 bénévoles, ne manque pas de ressources. Prendre le virage Hacktivistes et réseaux. Sur la surveillance numérique, le FN et le PS votent à Strasbourg contre ce qu’ils défendent à Paris. Syrie: les Etats-Unis éliminent J. Hussain, cyber-jihadiste de l’EI - Moyen-Orient. Selon le Pentagone, c'était « un responsable clef du groupe Etat islamique ».

Washington a confirmé ce vendredi la mort du Britannique Junaid Hussain, en Syrie, tué mardi dernier par une frappe militaire américaine sur la ville syrienne de Raqqa. Une frappe qui le visait directement. Il était considéré comme l'un des principaux cyber-jihadistes de l'Etat islamique. En troisième position sur la liste des membres du groupe terroriste à abattre par les Etats-Unis. En 2012, Junaid Hussain a 19 ans.

L'homme, également connu sous le nom de Abu Hussein Al Britani, était un des grands recruteurs de l’organisation Etat islamique. Enfin, son nom est cité dans l'attaque menée, il y a quatre mois, contre un festival de caricatures de Mahomet à Garland, au Texas. Chronologie et chiffres clés. Mais oui, France Inter, le "darknet" a aussi une face lumineuse ! Et revoici le "darknet" ! D'après France Inter, le réseau TOR, conçu pour protéger la vie privée des internautes, permettrait d'accéder à un "marché noir" fréquenté par des millions d'internautes venus y acheter de la drogue ou des faux papiers, mater des photos pédo-pornographiques ou encore recruter un tueur à gages.

C'est vrai. Mais TOR n'en est pas moins, aussi, un système conçu par l'US Army pour pouvoir protéger l'anonymat des internautes, dont les valeurs et technologies sont recommandées par les Nations Unies, Amnesty, la FIDH et Reporters sans frontières (entre autres). J'ai longtemps refusé d'accorder des interviews au sujet des "darknets", ces réseaux sécurisés conçus ou utlisés de sorte de rester cachés, ou de protéger l'anonymat de leurs utilisateurs. Intitulé "Inquiétant : de la drogue livrée à domicile en deux clics ! " Ce n'est certes pas la première fois qu'un média propose une vision anxiogène de TOR et du Darknet. Il se trouve que TOR s'intéresse aux chiffres. Le hackeur Ulcan soupçonné de multiplier les dénonciations mensongères contre des journalistes. Et de trois… pour ces derniers jours en tout cas. Car pour le reste, compter les victimes des dénonciations mensongères déclenchant des interventions des forces de l’ordre devient difficile.

Dans la nuit de mercredi 17 au jeudi 18 juin, le directeur de la publication de Politis, Denis Sieffert, a reçu à son domicile la visite de la police, alertée par téléphone qu’il s’y déroulait un cambriolage avec séquestration, raconte au Monde la direction du magazine. Trente minutes plus tard, policiers et pompiers sont arrivés au siège du journal où, soi-disant, le directeur retenait sa femme avec l’intention de la tuer. Ils ont brisé une vitre pour y pénétrer, avant de réaliser que les lieux étaient vides.

Surnommée « swatting », la technique ressemble en tout point à un des modes opératoires utilisés par le hacker franco-israélien sioniste Ulcan, que M. Lire Cinq questions sur Ulcan, le hacker franco-israélien Recrudescence de « swatting » ces derniers jours Cela va plus loin : dans le cas de M. Wikileaks s'attaque à l'Arabie saoudite, quelques révélations sur le Liban. Le site lanceur d'alerte, Wikileaks, a publié vendredi dans le cadre d'un projet nommé Saudi Cables (dépêches saoudites) plus de 70.000 documents du ministère des Affaires étrangères de l'Arabie saoudite, la plupart étant confidentiels.

Le site prévoit de publier près de 500.000 documents qui seront en ligne sur le portail. "Saudi Cables a mis en lumière une dictature qui devient de plus en plus imprévisible. Cette année, elle n'a pas seulement célébré sa centième décapitation, elle est aussi devenue une menace pour ses voisins ainsi que pour elle-même", a déclaré Julian Assange, cofondateur du site internet, dans un communiqué de presse rendu public vendredi. Parmi les documents figurent entre autres les échanges de lettres entre le ministère des Affaires étrangères saoudien et ses ambassades dans le monde, mais aussi les rapports des différentes institutions étatiques dont le ministère de l'Intérieur et les services de renseignement. Quelques câbles concernent le Liban. Report: Chinese hackers took Social Security Numbers for every federal employee. A federal employee union says hackers have obtained personnel records, including Social Security numbers, from every federal employee, according to the Associated Press.The US government suspects Chinese hackers are responsible for the attack, which targeted the Office of Personnel Management, which operates as the human resources arm of the federal government.According to J.

David Cox, president of the American Federation of Government Employees, the hackers also obtained "military records and veterans' status information, address, birth date, job and pay history, health insurance, life insurance, and pension information; age, gender, race data. " Chinese hackers have a history of attacking US targets This is the second time Chinese hackers have targeted the US government's personnel agency in the last year.

The first time came last July, and hackers were believed to be looking for information about people who had applied for security clearances. Hackers May Have Obtained Names of Chinese With Ties to U.S. Government. WASHINGTON — Investigators say that the Chinese hackers who attacked the databases of the Office of Personnel Management may have obtained the names of Chinese relatives, friends and frequent associates of American diplomats and other government officials, information that Beijing could use for blackmail or retaliation. Federal employees who handle national security information are required to list some or all of their foreign contacts, depending on the agency, to receive high-level clearances. Investigators say that the hackers obtained many of the lists, and they are trying to determine how many of those thousands of names were compromised. To see the full article, subscribe here. Correction: June 10, 2015 An earlier version of a photo caption with this article misstated the name of the federal office building where employees handle national security information are required to list their foreign contacts.