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Queer

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Femme invisibility is the dirty little secret of the queer community. My last three girlfriends have all told me that I look straight.

Femme invisibility is the dirty little secret of the queer community

That’s not what you expect to hear from another woman whose clitoris you’ve licked a few dozen times, but it’s the kind of thing I’ve heard in various forms for years. I’m a femme lesbian, a lipstick lez, a lady dyke, a girly-girl with long hair and painted fingernails. In nearly 20 years of dating women, I’ve had to field a number of surprising comments and reactions to my sexual preference and identity as a dyke. “You’re too pretty to be a lesbian,” a gay male newspaper editor once told me with a dismissive wave of his hand when I went for a job interview. I’ve been ranted at by strangers in lesbian bars who essentially told me to go back to Straightsville where they mistakenly thought I belonged.

Author today MEO Being straight-looking—whatever the hell that means—has its privileges, of course. Fandomsandfeminism: The difference between... Queer Montréal. The Trouble With Too Much T. Photo In 2009, the South African middle-distance runner Caster Semenya was barred from competition and obliged to undergo intrusive and humiliating “sex testing” after fellow athletes at the Berlin World Championships questioned her sex.

The Trouble With Too Much T

Ms. Semenya was eventually allowed to compete again, but the incident opened the world’s eyes to the process of sex testing and the distress it could bring to an athlete who had lived her whole life as a girl. When an endocrinologist, a gynecologist and a psychologist were brought in to determine whether the teenager was really a woman, she simply asserted, “I know who I am.” From 2011, major sports governing bodies, including the International Olympic Committee, the Fédération Internationale de Football Association and the International Association of Athletics Federations, instituted new eligibility rules that were intended to quell the outrage over the handling of the Semenya case.

But these assumptions do not match the science. Transgender Housing Network. About sex, gender and sexuality, Jouir sans entrave du Pays de Candy. Le combat sans fin de Chloé, transsexuelle incarcérée. Chloé est incarcérée au centre de détention (CD) de Caen ; depuis 2004, elle se bat pour se faire reconnaître en tant que transsexuelle.

Le combat sans fin de Chloé, transsexuelle incarcérée

Ce combat pour exister en tant que femme se situe à tous les niveaux, vis-à-vis de l’administration pénitentiaire (AP), du corps médical, des prisonniers et de la société en général. De 2004 à 2008, elle est en demande pour intégrer le protocole de soin officiel, passage obligé pour obtenir une modification chirurgicale du sexe avec l’obligation d’être suivi-e par une batterie de médecins (psychiatre, endocrinologue, urologue, etc.).

Face aux refus à répétition, elle commence à prendre des hormones de manière non officielle. Puis elle obtient des prescriptions de manière aléatoire en fonction du bon vouloir des psychiatres. En 2007, elle se rend compte qu’un psychiatre lui prescrit des neuroleptiques en lui faisant croire que ce sont des hormones. . - Comment ça va ? - Mieux maintenant que je suis opérée. . - Et t’es quand même soulagée ? Je suis bi-furieuse. Je fais partie des gens qui pensent que les étiquettes ont une capacité libératrice bien plus forte que leur capacité excluante.

Je suis bi-furieuse

Que le problème n’est pas d’être toute-s différente-s, mais qu’il y ait des privilèges, et donc des opressions, associées à ces différences. S’appliquer une étiquette dont on ignorait l’existence en tant que mot mais qu’on connaissait dans notre vécu, ce n’est pas se limiter : c’est se libérer de cette angoisse d’être inconcevable, à soi et aux autres. Ce n’est pas se couper des autres, c’est se connecter à d’autres vécus qui nous ressemblent. Ca a été le cas, pour moi, de l’étiquette "bisexuelle". Ah, c’est comme ça que ça s’appelle, d’être attirée par des personnes de tous genres ? Et puis, on m’a dit que "bisexuelle", c’était un mot qui excluait les femmes trans, les hommes trans, et les personnes genderqueer et intersexes.

J’ai voulu rentrer dans la communauté LGBT. Qui défend l’enfant queer ? Les catholiques, juifs et musulmans intégristes, les copéistes décomplexés, les psychanalystes œdipiens, les socialistes naturalistes à la Jospin, les gauchos hétéronormatifs, et le troupeau grandissant des branchés réactionnaires sont tombés d’accord ce dimanche pour faire du droit de l’enfant à avoir un père et une mère l’argument central justifiant la limitation des droits des homosexuels.

Qui défend l’enfant queer ?

C’est leur jour de sortie, le gigantesque outing national des hétérocrates. Ils défendent une idéologie naturaliste et religieuse dont on connaît les principes. Leur hégémonie hétérosexuelle a toujours reposé sur le droit à opprimer les minorités sexuelles et de genre. On a l’habitude de les voir brandir une hache. Ce qui est problématique, c’est qu’ils forcent les enfants à porter cette hache patriarcale.

L’enfant que Frigide Barjot prétend protéger n’existe pas.