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Le GIEC en question

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Climate_Change_Assessments_Review_of_the_Processes__Procedures_of_the_IPCC2.pdf (Objet application/pdf) Climat : ce que le Giec doit changer pour rester crédible. Face aux polémiques, une commission demande au groupe de recherche sur le climat de changer ses méthodes. Rajendra Pachauri, président du Giec, en octobre 2007 à Bern (Ruben Sprich/Reuters) Les méthodes du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec), prix Nobel de la paix 2007, ont été passées au crible d’une commission indépendante. Celle-ci fait six recommandations essentielles pour sauver la crédibilité de l’institution, entamée par une série de polémiques récentes.

Le Conseil inter-académique (InterAcademy Council, IAC), composé de quinze Académies des sciences de différents pays, saisi par l’Onu pour analyser les pratiques du Giec vient de rendre son rapport. Il ne fait pas de cadeau au Giec, sans pour autant donner le moindre avis scientifique sur les conclusions de cette instance scientifique unique en son genre et dont les prédictions sur le réchauffement avaient vocation à orienter les décisions politiques.

Moderniser l’organisation La révision éditoriale. FREEMAN DYSON • Sceptique par principe. Environnement : Le groupe d'experts sur le climat mi. Plusieurs erreurs sont pointées dans l'un des chapitres du quatrième rapport publié en 2007. Les membres du Giec (Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat) sont en train de faire l'amère découverte qu'ils n'ont pas que des amis. D'après le Sunday Times, ce sont cette fois des données sur l'Himalaya publiées dans le deuxième chapitre de leur rapport de 2007 qui sont mises en cause. À juste titre, semble-t-il. Le document explique, non seulement que les glaciers de l'Himalaya pourraient disparaître d'ici à 2035, mais il ajoute que l'ensemble des glaciers de montagne dans le monde pourraient voir leur superficie divisée par cinq, passant de 500 000 kilomètres carrés aujourd'hui à 100 000 km², toujours en 2035.

L'erreur serait double. Dans un cas, l'année citée n'est pas fondée. Grand déballage sur Internet Dans l'autre, «c'est un rapport de l'Unesco publié en 1996 qui évoque une diminution des glaciers de montagnes de 500 000 à 100 000 kilomètres à l'horizon 2350 !» L'expert, le climat et l'opinion - Les Echos.fr. Climat : comment travaillent vraiment les experts du GIEC ? - Le.

Le Giec dans un climat d'hostilité politique | slate. De plus en plus présents sur la scène médiatique, les «climato-sceptiques» contestent la version du réchauffement climatique d'origine anthropique soutenue, semblait-il, par l'ensemble de la communauté scientifique. Quant au Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), auréolé d'un prix Nobel en 2007, il fait l'objet de critiques inédites et d'appel à la dissolution. Le 10 mars, l'ONU a annoncé la création d'une commission d'experts pour évaluer le travail du groupe. On brûle ce que l'on a adoré. Depuis quelques mois, le Giec est accablé par des scandales à répétition. Quelques semaines avant Copenhague, le «climategate» a révélé, via une centaine de mails piratés, que des chercheurs de l'université britannique d'East Anglia auraient arrangé des données pour renforcer les prédictions du Giec. Puis, sont sorties les erreurs sur la fonte des glaciers de l'Himalaya et le coût du réchauffement climatique.

Enfin, le président de l'organisation, l'Indien Rajendra K.