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Climategate

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Réchauffement climatique : le GIEC, un organis. Selon Vincent Grey, qui est un des membres du panel de relecteurs des travaux du GIEC (IPCC en anglais) depuis les débuts de cette institution, dont je rappelle qu'elle est à l'origine de toutes les décisions politiques prises "pour lutter contre le réchauffement climatique", le processus de sélection des données et des résultats de recherche qui alimentent les rapports du GIEC ne répondent pas aux normes de qualité d'un travail scientifique digne de ce nom, et le GIEC est une institution au fonctionnement, je cite, "corrompu". Voici un extrait de sa lettre ouverte : …I have been an “Expert Reviewer” for the IPCC right from the start and I have submitted a very large number of comments on their drafts. It has recently been revealed that I submitted 1,898 comments on the Final Draft of the current Report.

Over the period I have made an intensive study of the data and procedures used by IPCC contributors throughout their whole study range. Cliquez sur l'image pour l'agrandir Le site de M. Réchauffement climatique: explosion d'une bomb. La BBC confirme cette information qui a mis la blogosphère anglophone en ébullition, et commence à toucher la grande presse. Un pirate aurait réussi à pénétrer les ordinateurs du Hadley Center (parfois désigné sous le vocable de CRU, Climate Research Unit), le centre d'études climatologiques de référence du GIEC, vertement critiqué par Vincent Courtillot dans ses vidéos pour refus de communiquer ses données brutes, et dont je vous entretenais des soupçons de fraude scientifiques qui accompagnaient son directeur, un certain Phil Jones. Tout acte de piratage actif d'un ordinateur dont l'utilisateur n'a pas souhaité ouvrir l'accès est un acte répréhensible, mais en l'occurence, j'ai du mal à en vouloir au(x) Hacker(s), malgré l'illégalité de son acte.

Le butin, de 61Mo une fois zippé, comporte 72 documents et 1073 e-mails. Véracité : probable Le pirate a mis les fichiers en libre accès sur plusieurs serveurs de "dump", que vous trouverez facilement. Contenus : décapants Quelques exemples. ClimateGate (2): Nouvelles révélations toujour. Je vous ai évoqué Samedi la naissance d'un Climategate, à partir d'un fichier piraté au "Climate Research Unit" contenant des mels et des documents "chauds".

Les sites qui exposent les contenus plus que litigieux des mels et de certains fichiers du CRU explosent. Les bloggueurs investigateurs se comptent par centaines, et nul doute que les jours à venir seront encore riches en nouveautés. Afin d'éviter de faire du simple copier coller, je me contenterait d'en signaler les meilleurs extraits avec leur source en fin d'article. Je signale tout de suite le remarquable travail de l'équipe de Skyfal qui résume les mels les plus croustillants ici.

Juste quelques précisions liminaires Je rappelle que les mels sont disponibles avec un moteur de recherche interne depuis cette page. Mais je voudrais revenir sur le tableau général que dressent ces révélations. Débat sur l'authenticité Tout d'abord, leur authenticité ne fait plus guère de doute. Au reste, ni M. Contenu Virer les opposants ! Mike, Salut, Climategate (3) : le pitoyable traitement de l. Ci dessous mon troisième opus, et le dernier pour quelques jours, sauf rebondissement imprévu, sur le Climate Gate, plus orienté sur le traitement médiatique de l'affaire.

La presse française classique risque de ne pas sortir grandie de cet épisode, tant elle fait preuve d'un parti pris de dénigrement désolant sans la moindre prise de recul. Les précédents articles : ClimateGate 1 (révélation) | ClimateGate 2 (confirmation) La stratégie de défense des protagonistes de "la bande du climate gate" se met en place. Sans grande surprise, ils essaient de minimiser l'événement. Plus tristement surprenant est que la presse Francophone, dans sa quasi totalité, se range sans le moindre examen critique derrière cette ligne de défense.

Examinons les arguments de ceux qui veulent à tout prix que cette affaire se dégonfle. Ligne de défense 1 : attaquer les "négateurs" "Les négateurs du réchauffement ignorent les faits établis" Les faits établis ? Mais Revenons à cet argument d'autorité. Bref, M. Réchauffement climatique : le GIEC, un organis. ClimateGate 4 : nouveaux éléments, nouvelles fraudes mises à jou. De la même façon que d’autres organismes liés au GIEC refusaient de donner leurs données à des McIntyre ou Courtillot, M.

Gray s’est vu refuser l’accès aux données brutes. Il n’est pas inutile de préciser que le patron du NIWA, David Wratt, est cité comme Vice Chairman de l’équipe de rédaction du rapport AR4 du GIEC de 2007. Mais voilà, le vent tourne, et dans le contexte actuel, sur fond de climategate, le NIWA a dû livrer ses données brutes. Celles-ci révèlent que l’augmentation moyenne des températures au XXème siècle mesurée par les stations de référence a en fait été de... 0,06°C/ siècle. Plus de détails en Français chez Papy Jako. L’affaire est présentée, entre autres, par "The Examiner" et bien sûr Anthony Watts. Naturellement, il n’est pas exclu que certains ajustements aient pu être rendus absolument nécessaires pour tenir compte des évolutions des moyens de mesure.

A noter que M. Enfin, juste quelques présomptions.... En Australie aussi ! Michael Mann sur la sellette. ClimateGate Who's Who. Réchauffement climatique : les erreurs du Giec - Partie 1/6 - un. The great climate change science scandal - Times Online. Climate change: this is the worst scientific scandal of our gene. Since 2003, however, when the statistical methods used to create the "hockey stick" were first exposed as fundamentally flawed by an expert Canadian statistician Steve McIntyre , an increasingly heated battle has been raging between Mann's supporters, calling themselves "the Hockey Team", and McIntyre and his own allies, as they have ever more devastatingly called into question the entire statistical basis on which the IPCC and CRU construct their case.

There are three threads in particular in the leaked documents which have sent a shock wave through informed observers across the world. Perhaps the most obvious, as lucidly put together by Willis Eschenbach (see McIntyre's blog Climate Audit and Anthony Watt's blog Watts Up With That ), is the highly disturbing series of emails which show how Dr Jones and his colleagues have for years been discussing the devious tactics whereby they could avoid releasing their data to outsiders under freedom of information laws.

Climate Change Emails Reveal Rigged 'Consensus' Columnists / Christopher Caldwell - A climate of suspicion. Global warming? Don't wait up! The Earth has her own tricks to k. By Ian Plimer, Professor Of Geology At The University Of AdelaideUPDATED: 14:54 GMT, 29 November 2009 Perhaps it is comforting to believe that science is an absolute discipline: immune from fads, fanatics and frauds, untroubled by extremists, evangelists, glory-seekers and bigots. But it is not. It is as vulnerable to the vested interests and biases of its practitioners as any corporate entity or political party.

Uncomfortable truths are suppressed and dubious evidence given undue prominence. Nowhere is this more worryingly obvious than in the science of climate change. As a field of research it has become so heavily politicised that opposing views are spoken of in terms of religion: believers and non-believers, with the accent being on the righteousness of the former and the benighted state of the latter. Keep your cool: A polar bear strides across melting sea ice. The reality is that the Earth has been here before, it has been here through worse and it is still, resolutely, here today. The BBC and Climategate: was a reporter put under pressure to ig.

I think we need to take a closer look at this intriguing story in the Mail: One of [the BBC's] reporters has revealed he was sent some of the leaked emails from the Climatic Research Unit at the University of East Anglia more than a month ago – but did nothing about them.Despite the explosive nature of some of the messages – which revealed apparent attempts by the CRU’s head, Professor Phil Jones, to destroy global temperature data rather than give it to scientists with opposing views – Paul Hudson failed to report the story.This has led to suspicions that the scandal was ignored because it ran counter to what critics say is the BBC’s unquestioning acceptance in many of its programmes that man-made climate change is destroying the planet.

But hang on – wasn't Paul Hudson the "climate change correspondent" who, as I reported on October 11, filed a story reporting that global warming stopped in 1998? I wrote at the time: Back to the Mail story: BBC weatherman ¿ignored¿ leaked climate row emails. By Mail On Sunday Reporter Updated: 22:00 GMT, 28 November 2009 Controversy: Weatherman Paul Hudson The BBC has become tangled in the row over the alleged manipulation of scientific data on global warming. One of its reporters has revealed he was sent some of the leaked emails from the Climatic Research Unit at the University of East Anglia more than a month ago – but did nothing about them. Despite the explosive nature of some of the messages – which revealed apparent attempts by the CRU’s head, Professor Phil Jones, to destroy global temperature data rather than give it to scientists with opposing views – Paul Hudson failed to report the story.

This has led to suspicions that the scandal was ignored because it ran counter to what critics say is the BBC’s unquestioning acceptance in many of its programmes that man-made climate change is destroying the planet. Dr Benny Peiser, director of the Global Warming Policy Foundation, said: ‘We need to know more about the BBC’s role in this affair.

Pretending the climate email leak isn't a crisis won't make it g. I have seldom felt so alone. Confronted with crisis, most of the environmentalists I know have gone into denial. The emails hacked from the Climatic Research Unit (CRU) at the University of East Anglia, they say, are a storm in a tea cup, no big deal, exaggerated out of all recognition. It is true that climate change deniers have made wild claims which the material can't possibly support (the end of global warming, the death of climate science). But it is also true that the emails are very damaging. The response of the greens and most of the scientists I know is profoundly ironic, as we spend so much of our time confronting other people's denial. Pretending that this isn't a real crisis isn't going to make it go away.

Nor is an attempt to justify the emails with technicalities. One of these papers which was published in the journal Climate Research turned out to be so badly flawed that the scandal resulted in the resignation of the editor-in-chief. Even so, his message looks awful. Climategate : le climatologue mis en cause se met en congé | Rue. 2009_12_03_climategate.jpg Le Climategate n’a finalement pas fait un flop : le principal scientifique mis en cause dans cette affaire de piratage d’e-mails, Phil Jones, directeur du Climate Research Unit de l’université d’East Anglia, vient de suspendre ses fonctions. Accusé d’avoir manipulé les données pour démontrer le réchauffement climatique, il avait dans un premier temps minimisé l’ampleur des révélations contenues dans les e-mails. Il jurait qu’il ne manipulait pas les chiffres pour dissimuler un « déclin des températures » et que le prétendre était une « ânerie » : « Nos séries sur les températures mondiales coïncident avec celles de scientifiques totalement indépendants travaillant pour la Nasa ou le National Climate Data Center entre autres.

Les faits parlent d’eux-mêmes, inutile de les manipuler. » Les collègues climatologues le plombent Phil Jones semble désormais lâché par sa communauté scientifique. Récupération chez les climato-sceptiques américains. Climategate: premiers éléments sur l'origine des fuites. Le Climategate sent le soufre. Ou plutôt, le pétrole. D’après les premiers éléments de l’enquête en cours sur le piratage d’emails privés de climatologues de l’Université d’East Anglia, au Royaume-Uni, les documents auraient été dans un premier temps divulgués via un serveur Internet localisé à Tomsk, en Russie, a révélé The Mail le 6 décembre. Tomsk, où les services secrets russes (FSB) possèdent un bureau, précise pour sa part The NewScientist... D’autres ordinateurs auraient participé à déposer sur le Web ces documents volés : ils seraient situés en Turquie et en Arabie Saoudite, peut-on lire également dans Le Monde du 9 décembre. Toutefois, ces informations ne prouvent pas que les pirates étaient réellement situés dans ces pays là : ils auraient pu utiliser ces serveurs comme des relais sans être physiquement présents sur ces lieux.

Quid, toutefois, de l’image écornée des scientifiques ? Climate sceptics claim leaked emails are evidence of collusion a. A researcher collects data from an electronic device to monitor climate change. Photograph: Vo Trung Dung/Corbis Hundreds of private emails and documents allegedly exchanged between some of the world's leading climate scientists during the past 13 years have been stolen by hackers and leaked online, it emerged today. The computer files were apparently accessed earlier this week from servers at the University of East Anglia's Climate Research Unit, a world-renowned centre focused on the study of natural and anthropogenic climate change.

Climate change sceptics who have studied the emails allege they provide "smoking gun" evidence that some of the climatologists colluded in manipulating data to support the widely held view that climate change is real, and is being largely caused by the actions of mankind. The veracity of the emails has not been confirmed and the scientists involved have declined to comment on the story, which broke on a blog called The Air Vent.

The warmist conspiracy: the emails that most damn Jones | Herald. These are the emails that should have Professor Phil Jones most worried about his future. Jones, head of the CRU unit whose emails were leaked, has been under most fire so far over one email in particular in which he boasted of using a ‘“trick" to “hide the decline” that would have otherwise spoiled his graph showing temperatures soaring ever-upward. But far more serious - at least in a legal sense - may be his apparent boasting of destroying data to stop sceptics from checking this alarmist work. If, as some emails suggest, he destroyed it to thwart FOI requests from Professor Ross McKitrick and Steve McIntyre, who’d already exposed as fake the Michael Mann “hockey stick”, Jones, one of the most active of the IPCC lead authors, could even face criminal charges.

(Note: in saying that, I should add that these emails may simply be poorly worded, out of context or even altered by the whistleblower who leaked them. Makes you wonder very strongly what Jones is trying to hide, doesn’t it? Wow. Manipulations de données par des chercheurs du GIEC ? Une tempête se lève sur la Toile au sujet de courriels que des pirates auraient réussi — nous utilisons à dessein le conditionnel — à obtenir dans lesquels des climatologues réputés écrivent qu’il faut « cacher la baisse » dans les données relatives aux températures.

De nombreux sceptiques qui doutent que les hommes soient responsables du réchauffement climatique ont bondi sur ces révélations. Le carnet consacré au climat du Wall Street Journal déclare que « les choses devraient devenir intéressantes ». Le Guardian de Londres résume l’histoire (pour un autre son de cloche lire le Herald Sun d’Australie qui reproduit plusieurs courriels) : « Des pirates ont volé puis divulgué en ligne des centaines de documents et de courriels privés qui auraient été échangés par des climatologues de renommée mondiale ces treize dernières années. Phil Jones a par ailleurs déclaré : « C'était un pirate. L’affaire aurait été éventée par le carnet The Air Vent. Ed Morrissey du site Hot Air se demande : Ben, 1. Climategate.