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Fiodor Dostoievski

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Critique littéraire de Crime et Châtiment. Critique publiée par Woland le 29-03-2005 Si vous n’avez pas encore lu « Crime et Châtiment » et que vous vous en inquiétez, conservez votre sang-froid et demeurez optimiste : je ne l'ai moi-même achevé que hier au soir, quelques jours donc après mon entrée officielle dans ma quarante-sixième année.

Critique littéraire de Crime et Châtiment

Il faut dire que, avec son image à la fois mystique et sensuelle, dans la droite ligne de la tradition slave, Fédor Dostoievski a de quoi faire peur. Qui pis est, le malheureux avait, tout comme notre Victor Hugo national, une faiblesse accentuée pour les développements et digressions philosopho-religieuses qui atteignent leur summum dans « Les Frères Karamazov. » Ca et les patronymes russes si pittoresques mais dotés de rallonges multiples ont fait fuir plus d’un lecteur pourtant bien résolu à « aller jusqu’au bout » de Dostoievski. La voie du succès littéraire est jalonnée d'injustices ineptes. L’épilogue et la « rédemption » du héros laissent aussi à désirer – enfin, c’est mon avis. Un repentir sur "Crime et châtiment" - André Markowicz.

Par André Markowicz J’ai traduit Crime et Châtiment en 1995, dans une espèce de hâte, avec le souci constant de rendre sensible ce que Dostoïevski considérait comme essentiel, ce à quoi il passait, de son propre aveu, la majeure partie de son temps en écrivant un livre, la mise en place de l’image, du noyau poétique.

Un repentir sur "Crime et châtiment" - André Markowicz

Cette image, elle est invisible à la première lecture, et bouleversante d’évidence une fois qu’on l’a vue. Dans Crime et châtiment, c’est la résurrection de Lazare, présente non seulement à chaque page du livre, mais, littéralement, à chaque phrase, par la déclinaison des trois moments du récit l’Evangile selon St Jean, le poids, l’odeur, le pas. J’en ai parlé dans la « note du traducteur » qui terminait le volume, je ne redirai ici que l’essentiel. 3) Jésus dit : « Lazare, sors et viens », — et Lazare sort. — Le motif de la marche est, lui aussi, obsédant. — Raskolnikov n’arrête de pas marcher, compte les pas d’un endroit à un autre.

Je le cite tel qu’il est publié. Critique littéraire de Crime et Châtiment. Ce roman fait partie de ceux qui ont marqué ma (jeune) vie...

Critique littéraire de Crime et Châtiment

Colossale rencontre. Nous voici plongés dans les coins les plus secrets et sombres de l'âme humaine, par l'intermédiaire d'un être notablement sinueux et torturé, Raskolnikov.

France Culture - Dostoïevski

George Steiner à propos de Tolstoi ou Dostoievski, vidéo George Steiner à propos de Tolstoi ou Dostoievski, vidéo Art et Culture Littérature - Archives vidéos Art et Culture Littérature. Dostoïevski traduit, mais Dostoïevski adapté, amélioré, francisé… - La république des livres - Blog LeMonde.fr. Bibliographie de Dostoievski. Les pauvres gens, 1846. A 25 ans, Dotsoïevski met en scène un héros d'une cinquantaine d'année. Trente plus tard, dans l'Adolescent, c'est un jeune homme de vingt ans qu'il fera parler. La première chose qui frappe dans ce premier roman, c'est l'étonnante maturité de l'auteur. Plus qu'un roman, Les pauvres gens est un manifeste littéraire, un programme de travail : voilà ce que je veux faire, quel genre de littérature je veux écrire pendant les trente prochaines années, semble-t-il dire. Le roman inclut un bilan et une évaluation critique de la littérature sur laquelle il s'appuie.

Mais il va bien sûr beaucoup plus loin : contrairement à Gogol, il a compris tout ce qu'implique le réalisme. On est frappé aussi par l'absence de descriptions (il y en a beaucoup plus dans Le double). Ce qui me frappe enfin dans Les pauvres gens, c'est la maîtrise du genre romanesque épistolaire. Dostoievski - critique littéraire. Fedor Dostoïevski Wikipédia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Fedor Dostoïevski Wikipédia

Fiodor Dostoïevski Dostoïevski en 1876 Œuvres principales Signature Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski (aussi Fédor, Fedor ou Théodore[1] en français) Écouter (en russe : Фёдор Михайлович Достоевский) est un écrivain russe, né à Moscou le et mort à Saint-Pétersbourg le . Après une enfance difficile, il fréquente une école d'officiers et se lie avec les mouvements progressistes russes.

Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et premiers écrits[modifier | modifier le code] Le père de Fiodor, Mikhaïl Andréiévitch Dostoïevski, médecin militaire à l'hôpital des pauvres de Moscou, possède deux villages, acquis en 1831 : Darovoié et Tchermachnia. Après en avoir réussi l'examen d'entrée, Dostoïevski intègre l'École supérieure des Ingénieurs militaires de Saint-Pétersbourg en 1838.