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Translator's Serendipity

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Dial Up Modem Handshake Sound - Spectrogram. Exhibitions, Mark Rothko's Harvard Murals. This new presentation of Mark Rothko’s Harvard Murals features innovative, noninvasive digital projection as a conservation approach. The exhibition returns this mural series to public view and scholarship while also encouraging study and debate of the technology.

The technique employs a camera-projector system that includes custom-made software developed and applied by a team of art historians, conservation scientists, conservators, and scientists at the Harvard Art Museums and the MIT Media Lab. The digital projection technology restores the appearance of the murals’ original rich colors, which had faded while on display in the 1960s and ’70s in a penthouse dining room of Harvard University’s Holyoke Center (now the Richard A. and Susan F. Smith Campus Center), the space for which they were commissioned. Deemed unsuitable for exhibition, the murals entered storage in 1979 and since then have rarely been seen by the public. Luxe 1/4 - Histoire. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Mozart Violin Sonata K.301 Hilary Hahn & Natalie Zhu.

Wind of Change (chanson) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Wind of Change est une chanson du groupe de hard rock allemand Scorpions composée en 1990 par le chanteur du groupe Klaus Meine et issue de l'album Crazy World. Wind of Change a été entièrement composée et écrite par Klaus Meine, le chanteur du groupe. Les paroles de la chanson lui ont été inspirées par le Moscow Music Peace Festival ( 1989 )[1], le premier festival de musique rock occidentale donné dans le bloc soviétique, en 1989, et auquel Scorpions participa. Elles célèbrent les changements politiques du début des années 1990 en Europe de l'Est, c’est-à-dire la chute du bloc communiste (ce qui mena par la suite à la disparition de l'URSS). Beaucoup d'auditeurs de la chanson qui ne sont pas familiers avec les lieux de Moscou restent souvent perplexes quant à la signification des premières lignes de la chanson qui sont : I follow the Moskva Down to Gorky Park Listening to the wind of change (Je longe la Moskova vers le Parc Gorki du changement)

Mariano Pensotti. Mariano Pensotti (1973, Buenos Aires) est auteur dramatique et metteur en scène de théâtre. Il a étudié le cinéma, les arts plastiques et le théâtre à Buenos Aires, en Espagne et en Italie. Au cours des dix dernières années, il a écrit et créé plus de quinze spectacles de théâtre. Parmi ces dernières créations, on peut citer : El Pasado es un animal grotesco (2010), Sometimes I think I can see you (2010), Encyclopaedia of unlived lives (2010), et La Marea (2005). Il a participé au projet Infinite Jest (2012) de David Foster Wallace au HAU à Berlin. Mariano Pensotti est aujourd¹hui l’un des metteurs en scène expérimentaux les plus remarqués du monde.

Pensotti et sa compagnie effectuent des tournées internationales tout au long de l’année. Mise à jour juin 2013. Mieux connaître les obstacles de steeple-chase d'Auteuil | Zegagnant Le blog des gagnants | courses hippiques – paris en ligne avec ZeturfZegagnant. Dans son dossier de presse destiné à la présentation du Week-end de l’obstacle, France Galop a publié une description des obstacles de l’hippodrome d’Auteuil. Je vous livre ces schémas, car ils montrent plus que tout combien les chevaux doivent être des athlètes accomplis. Allez, un petit article visuel, rien de tel pour reposer les rédacteurs.

D’abord, le parcours : Et ensuite les obstacles, un par un : Impressionnant, n’est-ce pas ? Voilà, c’était mon article le plus court, mais j’ai pensé que l’image parlait d’elle même… En savoir plus : (le dossier de presse du Week-end de l’obstacle rédigé par France Galop, source directe de cet article). Cet article vous a plu ? Publié par Tarzan. Accessibilité zone de pêche. Accessibilité des bâtiments. Tamara Rojo south bank show 2. “NO MAN CAN BE WISE WITH AN EMPTY STOMACH”* | Noticias Sector Porcino. Back in the the early 90s, UK magazine The Face was the coolest thing on the planet. In this magazine, Eva Herzigova was photographed as a butcher. Eva Herzigova, blood-smeared, washed out and holding a lump of bloody mince meat.

A hilarious shoot, which cast supermodel Eva Herzigova as a maniacal butcher in a blood-spattered apron playing with pieces of raw meat, also drew flak, particularly the image of her caressing the blade of her meat cleaver. These images were created for a Mario Testino portfolio in collaboration with Carine Roitfeld in The Face magazine circa 1997. “The Butcher” shoot with Eva Herzigova depicts two combining instincts: irreverence and provocation.

One of the coolest magazines to come out of the UK, The Face was launched by Nick Logan in May 1980, and last published in May 2004. Ezra [Self Service]: Your early collaborations with Mario Testino were quite provocative in a certain way! Ezra: Such as some of the stories you did with him in The Face? Angst. Famille Mitford. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La famille Mitford appartient à la noblesse britannique . Malgré l'ancienneté de ses racines, les Mitford les plus célèbres sont sans doute les six sœurs dont la biographie se confond avec l’histoire du XX e siècle . Origines [ modifier ] La famille Mitford a ses origines dans le Northumberland à l'époque de la conquête normande . La lignée principale possède les demeures de Mitford Castle, Mitford Old Manor House et, depuis 1828 , Mitford Hall.

Plusieurs Mitford furent shérifs du Northumberland. Les « sœurs Mitford » [ modifier ] Pierres tombales de Nancy, Unity et Diana Mitford, cimetière de Swinbrook, Oxfordshire. Les six sœurs Mitford sont les filles de David Ogilvy Freeman-Mitford, deuxième baron Redesdale, et de Sydney Bowles, mariés le 6 février 1904 . Nancy ( 1904 - 1973 ) fut une romancière à succès qui publia À la poursuite de l'amour et L'Amour dans un climat froid .

Membres de la famille [ modifier ] Notes [ modifier ] The Wes Anderson Collection. The Wes Anderson Collection About the book Wes Anderson is one of the most influential voices from the past two decades of American cinema. A true auteur, Anderson is known for the visual artistry, inimitable tone, and idiosyncratic characterizations that make each of his films—Bottle Rocket, Rushmore, The Royal Tenenbaums, The Life Aquatic with Steve Zissou, The Darjeeling Limited, Fantastic Mr. Fox, and Moonrise Kingdom—instantly recognizable as “Andersonian.” The Wes Anderson Collection is the first in-depth overview of Anderson’s filmography, guiding readers through his life and career. Praise for The Wes Anderson Collection: “In The Wes Anderson Collection, Seitz expands a series of video essays on Anderson’s influences, illuminating as much of Anderson’s process as possible in a massive, beautifully rendered volume.

“Your coffee table wants—no, scratch that—needs this book . . . “A magical tour of Wes Anderson’s filmography.” “It’s smart, informative, and looks beautiful. Phoebe Philo met l'austérité à la mode. M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Judith Perrignon ELLES ONT SOUVENT LE CORPS MENU, peu de poitrine, et soufflent la révolte dans les jupons, les femmes créatrices de mode.

Comme si elles n'avaient rien à mettre dans les corsets, rien à offrir aux falbalas et aux fantasmes vieux comme le monde. Phoebe Philo ne déroge pas à la règle, brindille sèche et autoritaire, qui dit : "Etre une créatrice de mode, c'est penser aux femmes. " Elles font souvent d'elles-mêmes la première ambassadrice de leur création, les femmes créatrices de mode. Elles racontent une histoire, une enfance, un corps, le leur - c'est Coco Chanel recyclant au féminin le tweed et le pantalon des amants qui jamais ne voulaient l'épouser, Sonia Rykiel la trop rousse qui ne trouvait rien à se mettre et se fit fabriquer un petit pull collant qui la rendit célèbre, ou Rei Kawakubo proclamant "Comme des garçons". Pas sûr que sa ferveur libératrice passionne l'empire LVMH qui l'a nommée - et... Roman graphique. [septembre 2012] Traduction littérale de l’appellation graphic novel, la catégorie du « roman graphique » s’est imposée dans le vocabulaire des éditeurs et des médias, ce qui ne l’empêche pas de rester entachée d’un certain flou.

Will Eisner est généralement tenu pour le père de l’appellation, qui figurait en effet sur la couverture de l’ouvrage A Contract with God And Other Tenement Stories, paru chez Baronet en 1978. Ce livre long de 192 pages marquait le retour à la bande dessinée du dessinateur vétéran, auteur du célèbre Spirit dans les années quarante et cinquante. Il se compose de quatre histoires dont l’action est située dans les années trente, dans un logement ouvrier du ghetto juif à New York.Eisner ignorait que l’expression graphic novel avait été utilisée pour la première fois par le critique américain Richard Kyle en 1964. Ce dernier point ne sera qu’exceptionnellement repris par les auteurs qui, à la suite d’Eisner, se réclameront du graphic novel. Thierry Groensteen. Lorna Simpson. À l’occasion de cette première exposition d'envergure en Europe, le Jeu de Paume présente trente années du travail de Lorna Simpson. Chez cette artiste afro-américaine née à Brooklyn (New York) en 1960, la synthèse de l’image et du texte est profonde et intime.

Si l’on considérait Lorna Simpson en tant qu’écrivain, la composante textuelle de ses œuvres pourrait avoir une vie autonome comme poèmes en prose, nouvelles extrêmement brèves, ou fragments de scripts. Et pourtant, ses textes sont inséparables de ses images ; il y a entre les deux une dynamique à la fois fragile et énergique, qui les lie indéfectiblement. Dans les années 1980 et 1990, le travail de Lorna Simpson est rendu célèbre par ses photographies et films qui bousculent les conventions autour du genre, de l’identité, de la culture et de la mémoire. Cette rétrospective révèle les continuités de ses recherches conceptuelles et performatives. > Voir le portrait filmé de Lorna Simpson : > COMMISSAIRE Joan Simon, critique d’art.

City Report: Johannesburg. City Report: Johannesburg City Report The philosopher Achille Mbembe once called Johannesburg the ‘elusive metropolis’. From emerging project spaces to women’s labour issues, Sean O’Toole and Gabi Ngcobo report on this constantly changing city of 4.5 million inhabitants, in which a strong photographic tradition — that includes David Goldblatt, Zanele Muholi and Santu Mofokeng — provides something of an anchor Akona Kenqu, from the series ‘Society’, 2009–10, photograph.

Sean O’Toole Johannesburg rarely inspires plaudits, either from nervously curious visitors or the 4.5 million inhabitants who commune in this agitated, sprawling, bombastic, insecure and, at heart, deeply musical metropolis. Novelist Olive Schreiner – whose 1883 novel The Story of an African Farm speaks to an enduring artistic genre, one that Johannesburg and its brash cosmopolitanism resists – gave her address as ‘hell’ when she visited the corrugated precursor to the vertical concrete metropolis that exists today.