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Sources informelles : sites collaboratifs, blogs et forums...

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Un adulte américain sur huit "accro" à l'internet. Un adulte américain sur huit est "accro" à l’internet. C’est ce que révèle une étude menée par téléphone auprès de 2500 personnes par la Impulse Control Disorders Clinic de l’université de Standford. Ces accros du net se révèlent incapables de passer plus de quelques jours sans se connecter. Et un sur onze essaie par tous les moyens de dissimuler cette addiction à son entourage. 70% des personnes interrogées sont des utilisateurs réguliers d’internet et ils sont 14% à trouver difficile de rester déconnectés plusieurs jours d’affilée. « Nous avons pour habitude de toujours considérer combien Internet est merveilleux – combien il peut rendre les choses simples et efficaces.

Profil type : mec, blanc, 30 ans, éduqué, célibataire « Ce n’est pas très différent de ce qu’endurent ceux qui abusent de certaines substances ou souffrent de désordres dans le contrôle de leurs impulsions », indique Elias Aboujaoude. Fiche_lecture_overdose_info. How to Curb Your Addiction to News: 8 Steps. Edit Article Find yourself drawn daily or even hourly to news, news, news?

And all because it's there and it seems so much more exciting than events directly around you? Addiction to news channels, or news sources in general, is a form of distraction or obsession and while you may feel connected to the world, you're actually less involved and engaged than were you to stop imbibing all those news stories and get on with something you're good at, like work, a hobby, writing a polemic piece for online publishing or getting the kids outside to play sports. Worst of all, snippets of information are only the tip of the news story and may not even be an accurate portrayal of events, particularly if your news sources are very partisan. It's time to wrench yourself away from the love of news, sense of urgency and all things titillating and start to do more useful things with your day. Ad Steps 1Assess the level of your problem. We could really use your help! Can you tell us abouttobacco tests? Tips. Une "clinique" pour guérir les accros d'info.

L'information, la nouvelle addiction de l'homme moderne. - Comment sommes-nous devenus accros à l’information ? L’information s’est beaucoup accélérée ces dix dernières années, via l’évolution des outils de communication et de la demande du public. Cet engouement pour l’actualité est lié à notre besoin de socialisation mais aussi à notre demande de divertissement. Sur le plan quantitatif la fréquence des interactions entre individus s’est accrue, à mesure que les distances se sont raccourcies via l’urbanisation croissante.

Les gens vivent plus près les uns des autres, ils ont donc plus de chances de se croiser. Les citoyens se voient également davantage grâce à l’amélioration des moyens de transports (nous sommes à trois heures de Marseille en TGV quand il fallait une journée de train il y a 20 ans et un mois au moyen-âge). Naturellement, la principale raison de l’augmentation des échanges sociaux entre individus est la modernisation des moyens de communication à distance. Et si notre addiction à l’information venait moins de notre besoin de socialisation que de celui de nous divertir ? Accro à l'info | Psychologies.com. © Jupiter Radio en fond sonore, concerto de bips sur le téléphone annonçant chaque nouvelle dépêche… Pour certains d’entre nous, l’information se consomme en perfusion.

Peur de rater quelque chose d’important ? Besoin de maîtriser son environnement ? D’où vient cette insatiabilité ? Anne Pichon Pourquoi ? « L’information est une nécessité vitale chez tous les êtres vivants », rappelle le psychiatre Patrick Lemoine. . « J’allume la radio la nuit et je refuse de partir en vacances si l’hôtel n’est pas connecté à Internet, raconte Élodie, chargée d’affaires dans une banque. Je me procure un plaisir immédiatPour le psychiatre Michel Hautefeuille, spécialiste des addictions sans drogue, « celui qui attend son info est comme un toxico qui attend son dealer ». J’ai besoin de tout savoir« Les outils – radio, Internet… – ne sont pas toxiques en eux-mêmes, rassure Patrick Lemoine.

Que faire ? A lire Établir un diagnostic Notre consommation d’information nuit-elle à nos relations avec notre entourage ? Détox numérique: halte à l'intox! | Serge Tisseron. On parle beaucoup de "détox numérique" aujourd'hui. Il s'agit le plus souvent de passer une semaine à quinze jours dans un endroit retiré, sans Internet ni téléphone mobile. Il est bien évident que chacun peut tirer bénéficie de périodes pendant lesquelles il est invité à se recentrer sur lui-même, la nature et des relations de proximité, loin de l'agitation du monde. Le problème est qu'ici, il ne s'agit plus seulement de retrouver le goût d'une rencontre avec soi-même et les autres, mais de réaliser un "sevrage", sur le modèle de la cure de désintoxication alcoolique dont on sait largement qu'elle n'a jamais marché.

Mais avant de parler de désintoxication, il est nécessaire de distinguer deux types d'utilisations des technologies numériques qu'on peut qualifier d'excessifs. Ni l'une ni l'autre ne sont d'ailleurs pathologiques, car elles peuvent être ponctuelles et correspondre à un moment dans le rapport qu'un individu entretient avec. Usages d'apprentissage, usages de fuite. “Les réseaux sociaux étaient ma drogue dure” Cyrille de Lasteyrie. Entendons-nous bien, je ne parle pas de l’Internet pratique, celui qui permet de s’informer, de se cultiver rapidement, de réserver un billet de train, d’agir à distance sur ses comptes ou d’acheter ses cadeaux de Noël.

Cet Internet-là est aussi salutaire et révolutionnaire que l’invention de l’imprimerie ou de l’eau courante. Non, je parle de l’Internet social, ce monstre difforme et suceur de temps. Ce terrain vague de l’ennui. J’ai 42 ans. Je suis marié. J’ai deux enfants. Mais non, malgré ce tableau, je pense passer plus de six heures par jour sur le Net. Depuis l’avènement des outils de publication facile (blogs, Facebook, etc), les adeptes des médias sociaux partagent tout. Moi, moi, moi Pendant ce temps-là, ma fille réalise un coloriage ; je crois qu’elle m’a parlé.

En réalité, cela ne l’est pas tant que ça. Ma pensée fragmentée Le temps du Net passe aussi vite qu’une partie d’« Angry Birds ». Cet article en est la preuve. Une ruelle dangereuse. Dépendance au jeu vidéo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance au jeu vidéo désigne un trouble psychologique caractérisant un besoin irrésistible et obsessionnel de jouer à un jeu vidéo.

L'addiction aux jeux vidéo entraînerait chez le joueur des comportements au caractère répétitif et compulsif, comme chez les joueurs pathologiques ou les consommateurs de substances psychoactives. Controverse[modifier | modifier le code] Le 6 mars 2012 l'Académie nationale de Médecine précise qu'il est préférable de parler de « pratique excessive » que d'addiction aux jeux-vidéo et cela pour deux raisons[1] : il n'y a à ce jour aucun consensus scientifique sur l'existence d'une réelle addiction aux jeux vidéo ;le terme « pratique excessive » est plus approprié car moins stigmatisant. Ainsi, le psychanalyste Yann Leroux affirme pour sa part qu’« Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo[2]. » De même, Keith Baker, spécialiste de l'addiction, a créé en 2006 un centre de désintoxication. Accro au jeu vidéo ?

Le jeu vidéo est aujourd’hui un loisir qui concerne toutes les tranches de la population. Une enquête montre que 53 % des Français1 jouent régulièrement et 68 % occasionnellement. Qui joue le plus ? A quel type de jeu ? Pourquoi certaines personnes deviennent-elles addictes ? Qui joue ? Les derniers chiffres1 (octobre 2017) montrent que les plus gros joueurs se situent dans les tranches d’âge : 10-14 (95 %), 15-18 (92 %) et 19-24 (91 %). A quel type de jeu jouent les joueurs ? Dans le classement 2017 des 10 premiers jeux vendus en France toutes plateformes confondues1, on trouve : Les jeux de rôle en ligne massivement multi-joueurs (Massively multiplayer online role-playing game- MMORPG) dont « World of Warcraft » (WOW) et les arènes de bataille en ligne multijoueur (Multiplayer online battle arena-MOBA) dont « League of legends » (LOL) sont des jeux présentant potentiellement un caractère addictif.

Puis-je être « addict » au jeu vidéo ? Les caractéristiques de l’addiction au jeu vidéo. Un ado sur huit a un usage problématique des jeux vidéo. L’Observatoire français des drogues et des toxicomanies a étudié le comportement de 2 000 élèves de 12 à 16 ans. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Pascale Santi Un élève sur huit aurait un usage « problématique » du jeu vidéo.

C’est ce qu’indique une enquête menée auprès de 2 000 élèves de la 4e à la 1e inscrits dans 15 établissements d’Ile-de-France, rendue publique mercredi 17 décembre et réalisée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) et la consultation jeunes consommateurs (CJC) du centre Pierre Nicole de la Croix Rouge*. Avec plus de 11 écrans à domicile, les adolescents franciliens de cet échantillon sont suréquipés. 84 % d’entre eux ont une console de jeux, et 74 % une tablette. Les trois quarts des lycéens (60 % des collégiens) ont un ordinateur dans leur chambre. « Négliger d’autres activités pour jouer » Selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 5 % des jeunes de 17 ans joueraient entre cinq et dix heures par jour. Les méfaits - GameAddict - Addiction au jeu vidéo - Cyberaddiction. Je suis accro... enfin complètement addict quoi ! Accro à une série, addict à la musique... quelle différence ?

Y en a t il seulement une ? Avant de tenter une approche qui aura pour but de sensibiliser à la question de l'addiction au jeu (jeu dit pathologique) il est intéressant d'observer la confusion qui règne dans nos propres propos. En écoutant les jeunes et les moins jeunes on réalise qu'ils sont incapables de les distinguer...et pour cause étant donné leur équivalence.Le terme "accro" renvoie à quelqu'un qui est "dépendant d'une drogue" au sens premier du terme et à quelqu'un qui est "passionné" au sens familier. Cette simple constatation, sans nous plonger dans un cours d'étymologie improvisé nous permet de constater que le sens familier "d'accro" n'est pas pour autant contradictoire ou moindre quant au sens premier, au contraire il renvoie à la notion de passion qui, petit rappel, est " une émotion très forte" et peut parfois avoir tendance à aller "à l'encontre de la raison"

Combattre l'addiction aux jeux vidéo. Juillet 2015 Dans l'immense majorité des cas, la consommation des jeux vidéo par les ados et pré-ados est avant tout... le problème des parents ! Sur le plan clinique, les véritables addictions pathologiques aux jeux vidéo sont rarissimes, même si elles sont bien réelles. Comment canaliser la fascination exercée par ces jeux sur les enfants ? Quels comportements les parents doivent-ils adopter ? Conseils à suivre. Les jeux vidéo : une passion moderne controversée Les jeux vidéos sont les jeux préférés des 10-15 ans, et concernent davantage les garçons que les filles.

Au centre d'un véritable débat de société, les jeux vidéo font polémiques y compris dans la communauté des psychologues. 5 conseils pour bien utiliser les jeux vidéos Premier conseil : s'interdire d'interdire ! Deuxième conseil : s'initier aux jeux honnis, car pour mieux sortir l'enfant du jeu, il est préférable d'y entrer avec lui ! Troisième conseil : fixer des règles réalistes. Pour aller plus loin Publi-information. 3 - L'addiction à Internet existe-t-elle. L’addiction aux réseaux sociaux : c’est grave docteur ? Le phénomène a commencé avec la génération Y et les digital natives et gagne lentement toutes les couches de la société, que ce soit du nourrisson qui buguent déjà sur le smartphone de maman ou de l’octogénaire qui essaye tant bien que mal de se débrouiller avec le clavier tactile de son Ipad pour terminer sa partie de backgammon… Les réseaux sociaux sont partout, et oui il faut bien l’admettre, de plus en plus de personnes sont addicts.

D’après une étude TGI Clickstream, 5,7 millions de Français seraient accros aux réseaux sociaux, un chiffre qui ne va cesser d’augmenter d’ici les prochaines années. Un mal pour un bien ? Analyse ci-dessous du pire et du meilleur de la sphère digitale. Les symptômes de l’addiction - La connexion H24 Ce symptôme est le plus courant dans l’addiction. 70% des français se connectent plusieurs fois par jour sur Internet d’après Kantar. . - L’affichage public de sa vie privée Et le fait de prendre les réseaux sociaux comme une thérapie.

. - La course aux likes.