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Seconde Guerre mondiale

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» [L'enseignement de l'ignorance] Quelle est la nation qui a le plus contribué à la défaite de l’Allemagne en 1945 ? Comme je suis retombé sur ce billet, et qu’il m’a encore stupéfait, je le remets…Billet en réaction aux personnes s’étant demandé si c’était bien utile de rappeler quelques faits sur la Deuxième Guerre mondiale, et en hommage aux livres de Jean-Claude Michéa (son fameux L’enseignement de l’ignorance (ou ici)) et de Jean-Paul Brighelli (La fabrique du crétin)… J’ai découvert incidemment en commentaire (merci encore d’enrichir autant cet espace de discussion d’ailleurs), une très intéressante étude de l’Ifop (Institut français d’opinion publique).

» [L'enseignement de l'ignorance] Quelle est la nation qui a le plus contribué à la défaite de l’Allemagne en 1945 ?

Je ne savais pas que cet institut de sondage était le plus ancien du pays, et surtout qu’il avait été créé en 1938 – et donc qu’il avait réalisé des sondages forts intéressants dans la période 1938-1945 dont, hélas, beaucoup ont été détruits par son fondateur Jean Stoetzel lors de l’occupation. On apprend ainsi deux choses intéressantes. Les accords de Munich Qui a le plus aidé à battre l’Allemagne ? Petit rappel, complétant la série précédente : Revue Guerres mondiales et conflits contemporains. La politique française de réarmement de 1936 à 1940 : une production tardive mais massive. Notes Il s’agit de fixer des ordres de grandeur et non de procéder à un dénombrement exhaustif : aussi les quantités sont toujours arrondies aux chiffres inférieurs.

La politique française de réarmement de 1936 à 1940 : une production tardive mais massive

Mais on pourrait en dire tout autant de certains matériels allemands : par exemple chars légers Pzkpfw I et II, faiblement armés et blindés, qui furent relégués à des missions secondaires après la campagne de France, ou encore canon AC de 37 mm médiocre qui sera sources de déconvenues dès la campagne de France mais aussi en Union soviétique. Dans un domaine où les erreurs ou les approximations sont particulièrement nombreuses, il est nécessaire de croiser, vérifier et mettre en perspectives des données d’origines différentes.

Les sources les plus précises sont : R. Jacomet, L’armement de la France, 1936-1939, Éditions Lajeunesse, 1945 ; Général Gamelin, Servir, t. 1 : Les armées françaises de 1940, Plon, 1946, p. 149-184 (chap. Selon le problème de définition déjà évoqué. Devant Citroën et Peugeot. P. P. R. R. Voir P. J.

Général

[ÉDUCATION À LA DÉFENSE] La Deuxième Guerre mondiale (1937-1945) La création de la GESTAPO Programmes concernés - Classe de 3e/"Les régimes totalitaires dans les années 1930", "Guerres mondiales (1914-1945)".

[ÉDUCATION À LA DÉFENSE] La Deuxième Guerre mondiale (1937-1945)

Classe de 1ère/"Genèse et affirmation des régimes totalitaires", "Guerres mondiales et espoirs de paix". Thèmes - Nazisme, guerre d’anéantissement, génocide. lire la suite de l'article La Nuit des longs couteaux (1934) Programmes concernés - Classe de 3e/"Les régimes totalitaires dans les années 1930", "Guerres mondiales (1914-1945)".

Conséquences, pertes, destructions

Débarquements et libération. Stalingrad. Ligne Maginot. Bombarder : Blitz, Allemagne, Bombe a... Pacifique. France Vichy-Résistance. Extermination, Solution finale. Patrimoine militaire gruissanais : Gruissan. À l'occasion du 65e anniversaire du débarquement allié en Normandie, l'association Patrimoine militaire gruissanais présidée par Jean-Luc Armengaud a ouvert au public le samedi 6 juin sur l'île Saint Martin, face à l'Ayrolle, le camp composé de 17 blockhaus occupés par les Allemands pendant la seconde guerre mondiale.

patrimoine militaire gruissanais : Gruissan

Un travail de mémoire entrepris, il y a un an jour pour jour, par une bande de copains passionnés qui a mis à jour un réseau impressionnant de tranchées, salles et Tobrouks. Et ce, grâce à la signature d'une convention signée avec la commune permettant d'effectuer des fouilles, de protéger et de mettre en valeur ce site exceptionnel qui fut occupé dès novembre 1943 par les troupes allemandes mais aussi par des Italiens, Polonais et Russes. Pour ce faire, ils sont une quinzaine de bénévoles à avoir travaillé régulièrement sur ce chantier. Un travail de passionnés car tout a été dégagé manuellement. En effet, la visite du camp enterré se révèle particulièrement étonnante.