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WHITE CUBE

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Des usages et réalismes de l’image d’architecture | plan/coupe/image. Je reproduis ici le texte de mon intervention à la table ronde «Images de synthèse et photographies en architecture : Réalité, réalisme, fiction ?» Organisée le 5 juin 2013 à la Cité de l’architecture et du patrimoine, sur une initiative d’Aude Mathé et Olivier Namias. L’évènement se proposait d’éclairer la question de la capacité grandissante de l’image de synthèse à imiter la photographie, «avec un degré de réalisme tel qu’il devient difficile de distinguer les bâtiments existants de leur image rêvée»: assistons-nous à un «moment de bascule», où «l’écart entre l’idée et la réalité tend à être aboli par les technologies informatiques »? Cette question rejoint me semble-t-il, sous un angle certes moins polémique, le thème du débat organisé en octobre dernier à la maison de l’architecture: «Images. Sans mensonge l’architecture est-elle possible ?»

Usages Fig.1 Deux couvertures du magazine d'a, qui utilisent une image de synthèse pour l'une, et une photographie pour l'autre Réalismes. Our Collection | Rauschenberg Research Project. Archive | Brian O’Doherty / Patrick Ireland. Brian O’Doherty / Patrick Ireland Dublin City Gallery The Hugh Lane, Dublin, Ireland On 4 April 1966 Brian O’Doherty invited Marcel Duchamp to dinner. A qualified medical doctor who had studied at University College Dublin, Cambridge and Harvard before abandoning medicine for a multi-tasking life in the New York art world, O’Doherty had expressed an interest in making a portrait of his friend.

During the course of the evening he hooked Duchamp up to a borrowed electrocardiogram and took three readings of the great man’s heartbeat. The resultant work in 16 parts, Portrait of Marcel Duchamp (1966–7), is a fascinating attempt to reconfigure a traditional visual genre during an era that declared many such inherited genres obsolete. The distance between life in metropolitan New York and an increasingly turbulent Ireland, which O’Doherty visited regularly, was dramatically highlighted on 30 January 1972, when British soldiers shot dead 13 unarmed civilians on the streets of Derry. BARTHES O'DOHERTY - Google Search. Beyond the White Cube: A Retrospective of Brian O'Doherty / Patrick Ireland. Galerie Thomas Fischer | Exhibitions | Brian O'Doherty – From Electrocardiogram to Rope Drawing. Brian O'Doherty.

Brian O'Doherty is an Irish writer, artist, art critic and academic. He has lived in New York for more than 50 years.[1] He has used a number of alter egos, including Patrick Ireland. Early life[edit] O'Doherty was born at Ballaghaderreen in County Roscommon in 1928, and grew up in Dublin.[1] He studied medicine at University College Dublin, and did post-graduate work at Cambridge University and at the Harvard School of Public Health.[2] O’Doherty spent a year working in a cancer hospital in 1957 before devoting himself full-time to the visual arts.

Speaking of his experience after Harvard, I first spent a year at Harvard when I came in 1957, doing all kinds of research. I got an MSc there, but I didn’t learn much. He has also been an editor of Art in America and an on-air art critic for NBC. Career[edit] In The modern art collection, Trinity College Dublin, David Scott writes that: Personal life[edit] References[edit] ^ Jump up to: a b Ciarán Benson (2011). Further reading[edit] Archive | Brian O’Doherty / Patrick Ireland. Artists' Magazines: An Alternative Space for Art - Google Books.

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La négation du déguisement : refus du cadre et fin de l’idéalisme dans l’œuvre de Frida Kahlo, Antonio Berni et Claudio Bravo. Toutes recherches sur l’Art et la Poésie tendent à rendre nécessaire ce qui a l’arbitraire pour essence. Paul Valéry1 1La représentation se re-présente elle-même, que ce soit dans la Renaissance triomphante à travers la perspective, dans la peinture baroque par l’intermédiaire de jeux de perspective, d’ombres et de lumières, de vrais-faux rideaux qui cachent et dévoilent l’objet de la représentation ou des anamorphoses qui, pour dominer le regard du spectateur, embrassent le monde afin de mieux faire déchoir l’expression de l’intellect et de la vérité au bénéfice des seuls sens ludiques. Mais il est vrai que les artistes ont compris très vite le profit qu’ils pouvaient tirer des jeux du pur regard puisque, dans le cas du tableau des Ambassadeurs d’Holbein, par exemple : « la simple rotation à 90 degrés suffit à dissiper la représentation.

La vérité de celle-ci est la mort. Le cadre de l’autoportrait Le miroir brisé de l’histoire. Patricia Falguières, conférence WIELS + ERG.