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Philosophie Morale et Politique

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Comment être libertarien sans être inégalitaire. Dans Libertarianism without Inequality [1] Michael Otsuka, Libertarianism witout Inequality, Oxford,... [1] , je présente et défends une approche de la philosophie politique et un ensemble de principes politiques et moraux qui s’inspirent du Second Traité du Gouvernement de John Locke. Le libéralisme classique de Locke a servi, dans un passé pas si lointain, de source d’inspiration pour la philosophie politique libertarienne de droite de Robert Nozick, telle qu’elle se donne à voir dans Anarchie, État et Utopie [2] Robert Nozick, Anarchie, État et Utopie, trad. de l’angl.... [2] .

Mon ouvrage s’efforce de contribuer aux efforts récents pour reprendre Locke à la droite libertarienne et montrer que ses écrits peuvent servir de source d’inspiration à une version fermement égalitaire du libertarisme. Je me sépare de Nozick, cependant, dans la mesure où je rejette son affirmation selon laquelle le droit de propriété de soi s’oppose à une redistribution égalitaire des ressources du monde. Revue Raisons politiques 2006/3. Attention : Cette offre est exclusivement réservée aux particuliers. Si vous souhaitez abonner votre institution, veuillez vous adresser à votre libraire ou à votre fournisseur habituel. Les prix ici indiqués sont les prix TTC. Pour plus d'informations, veuillez consulter les conditions générales de vente. Éditorial Dossier Page 9 à 22 Comment être libertarien sans être inégalitaire Page 23 à 46 Le libertarisme de gauche : l'égalité sous condition de la propriété de soi Page 47 à 67 Libertarisme de gauche et hobbesianisme de gauche Page 69 à 92 J'ai raté ma vie, à qui la faute ?

Ou, pourquoi il est encore utile de discuter de l'éthique de la distribution Page 93 à 108 Les républicains du 19e siècle étaient-ils des libertariens de gauche ? L'exemple d'Auguste et Léon Walras Page 109 à 126 La propriété de soi en vaut-elle la peine ? Page 127 à 143 Les libertariens de gauche et la question de l'héritage Page 145 à 162 Steiner et la propriété des ressources génétiques Varia Page 175 à 192 Page 193 à 202.

Ronald Dworkin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ronald Dworkin Philosophie occidentale Philosophie contemporaine Son travail porte sur la théorie du droit. Dworkin peut être considéré dans ce domaine comme le philosophe le plus connu depuis Herbert Hart avec qui il a entretenu un dialogue critique. Il est aussi célèbre pour ses contributions à la New York Review of Books. Il a reçu le prix Holberg pour l'ensemble de son œuvre en 2007 et le prix Balzan pour la philosophie du droit en 2012. Biographie[modifier | modifier le code] Ronald Dworkin. Ronald Dworkin a étudié à la philosophie à l'université Harvard avec Willard Van Orman Quine et le droit à la Harvard Law School et à l'Université d'Oxford, où il a été un élève de Sir Rupert Cross grâce à une bourse Rhodes[3].

En 1969, Dworkin est nommé titulaire de la chaire de Jurisprudence à l'université d'Oxford, où il succède à Herbert Hart, et est élu enseignant-chercheur (Fellow). Vie privée[modifier | modifier le code] Jeveuxsavoir.

Liberté de la fin de vie

Liberté de la procréation. Liberté sexuelle. Université Conventionnelle. La Conventionnelle. Apprentissage de l’universalisme citoyen en France. 1 Déloye (Y.), Ecole et Citoyenneté. L’individualisme républicain de Jules Ferry à Vichy : Controver (...) 2 Rosanvallon (P.), Le sacre du citoyen. Histoire du suffrage universel, Paris, Gallimard, 1992. 3 Rosanvallon (P.), Le peuple introuvable. Histoire de la représentation démocratique en France, Par (...) 4 Déloye (Y.) : op. cit., en particulier p. 106 et suivantes. L’idéal collectif qui anime l’éducatio (...) 1La conception française de la citoyenneté a été forgée dans un contexte de lutte entre républicains et catholiques1 et de conquête de la démocratie2. Elle se caractérise par une discontinuité volontaire entre la personne dotée d’intérêts et de préférences liés à ses diverses appartenances (sociales, religieuse, territoriales, etc.) et le citoyen, être abstrait doué d’une raison capable de le dissocier de ses appartenances pour le tourner vers la volonté générale et le fondre dans la communauté politique, nationale et républicaine. 7 MEN, op. cit., p. 176.

François GALICHET

La veille philosophique.