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Crise & Dette

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Un petit cours d'économie, par les indignés de la Puerta del Sol. Le chef du gouvernement socialiste espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, proposait mardi 23 août une réforme de la Constitution afin d’y inscrire une « règle pour garantir la stabilité budgétaire ». Celle-ci s’appliquerait tant au « déficit structurel qu’à la dette », permettrait de « renforcer la confiance à moyen et long terme dans l’économie espagnole », selon les déclarations M. Zapatero au Parlement. Cette réforme se situe dans la droite ligne du principe de « règle d’or » constitutionnelle, promu par Sarkozy et Merkel lors du dernier sommet européen, et censé garantir l’orthodoxie budgétaire des économies de la zone Euro.

Cette séquence de vidéos représente à cet égard une réponse de la part du groupe de travail « économie » des indignés de la Puerta del Sol NB : La transcription des vidéos est disponible en annexe. Déficit public : de quoi parle-t-on ? Réforme constitutionnelle : Un coup d’Etat... par Dessousdebruxelles Une cause cyclique du déficit : la crise Relance VS austérité. Crise de la dette : les dogmes dans l’impasse. Aucune grande idéologie n’a jamais été véritablement appliquée dans son intégralité. Le communisme bureaucratique de l’URSS ne ressemblait pas beaucoup à la doctrine de Marx et si le Libéralisme est appliqué au niveau économique par le relatif libre échange, il est loin d’être une réalité complète au niveau politique, philosophique, et -pire- à l’échelle de l’humain. Partant de ce principe, il peut être tentant, dans le monde en crise d’aujourd’hui, de profiter du choc afin d’imposer ses vues.

Mais la science économique est une discipline qui a autant besoin de cohérence théorique que de pragmatisme, et je dirais même, de modestie. Ce qui m’amène à dire ça ? A nouveau, l’éternel débat sur la dette publique. La plupart des libéraux, les conservateurs et aussi – à demi mots – la gauche s’accordent pour dire qu’il faut réduire les déficits publics. Le périlleux virage libertarien Pensez vous vraiment que la dette soit la pire chose pour l’économie privée ? L’inconsistance de la gauche Carwil. SOCIALISATION DE LA CRISE ET CRISE DU SOCIAL. Le blog que vous cherchez n'est plus accessible depuis cette adresse. Vous pouvez le consulter à l'adresse suivante : etat.critique-blog.politique.over-blog.com Liste des articles du blog etat.critique-blog.politique.over-blog.com : La fin d'un blog... Bonjour, J'ai décidé d'arrêter ce blog pour diverses raisons. Si vous aimez la poésie, je vous propose de vous inscrire sur Vous y retrouverez un nouveau poème… Lettre d’informations « Couleurs Poésies » N° 182 Les nouveautés de la semaine Lundi 6 janvier « La messe de l’eau », de Ricarson Dorce La terre ne se désole plus.Les nuages se dispersent.Je danse sous la pluie.Je suis le commandant en chef des… Lettre d’informations « Couleurs Poésies » N° 181 Les nouveautés de la semaine Je suis désolé pour les deux semaines d’absence.

Lettre d’informations « Couleurs Poésies » N° 180 Lettre d’informations « Couleurs Poésies » N° 178 Lettre d’informations « Couleurs Poésies » N° 175. La crise financière expliquée à ceux qui n’y comprennent rien. On ne peut pas durablement dépenser plus qu’on ne gagne. Depuis les années 1980, les pays occidentaux vivent à crédit. Le déficit public y est devenu permanent. Les Etats-Unis, de surcroît, ont pris l’habitude d’un déficit commercial lui aussi constant et, comme si cela ne suffisait pas, d’un endettement des ménages lui aussi très important. Cette situation a été créée par la classe dirigeante parce qu’elle était le moyen de faire accepter une inégalité croissante. Ce phénomène a pu durer à cause de la position prééminente des Etats-Unis : leur monnaie, le dollar, sert de référence internationale.

Cependant, l’endettement rencontre toujours une limite : à un moment donné, il faut rembourser. Les conséquences en auraient été catastrophiques : les gens se seraient précipités dans les banques pour retirer leur épargne, il aurait été impossible de la leur rendre, la méfiance se serait généralisée, l’économie se serait arrêtée, c’aurait été l’effondrement. Source : Reporterre. Dette, Règle d’or et autres… On vous explique des tas de choses, sur la dette. Ca devient l’objet qui captive les médias, au point qu’on en entend parler même dans les bistros ! C’est dire. Voyons quelques rappels, dont une réussite en terme de dette d’un donneur de leçons dans le domaine… La dette ce sont des emprunts, comme vous si vous achetez une voiture a crédit, vous êtes alors endettés et devez capital et intérêts au préteur. Une banque, privée. . « Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France » Juste après la promulgation de cette loi, VGE lança un grand emprunt national (national étant un bien grand mot) , dont les intérêts coutèrent plus cher que le capital initial !

C’est à partir de ce moment là que l’endettement de la France se mit à croitre, au bénéfice tout d’abord des investisseurs nationaux , papy & mamie qui achetèrent des bons du trésor.. On le voit avec un taux d’intérêt nul, la dette se serait réduite considérablement avec le temps. 3 vidéos à voir pour comprendre la dette, les banques et la monnaie.