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Un jeune diplômé sur deux frustré par son premier job. Recevez nos newsletters : Plus d’un jeune diplômé sur deux déclare avoir envisagé de quitter son premier poste en entreprise parce qu’il ne s’y sentait pas à l’aise. Fini les soucis, une fois le premier job tant espéré enfin décroché? Il semblerait bien que non: selon une étude publiée ce jour par Hay Group, société internationale de conseil en management, un peu plus d’un jeune diplômé sur deux (53%) déclare avoir envisagé de quitter son premier poste en entreprise parce qu’ils ne s’y sentait pas à l’aise. Pour les trois quarts des 16.212 recruteurs interrogés à travers le monde, ceci a pour origine le manque de préparation des jeunes diplômés à la réalité du monde du travail.

Côté jeunes diplômés (26.542 sondés), on remet en cause le processus de recrutement, jugé trop long, ainsi que «le manque de communication et de retour sur leur candidature». Pas sur la même longueur d’ondes A l’origine de ce décalage semble se trouver une perception différente des attentes du milieu. Les jeunes en entreprise aspirent à la « liberté et au bonheur au travail » La jeunesse de notre pays n’est pas épargnée. Touchée de plein fouet par les événements récents, elle est également l’une des premières victimes de la crise économique. D’après les dernières statistiques, le taux de chômage des 15-24 ans atteindrait désormais les 25 %. Malgré une conjoncture défavorable, 69 % des jeunes des 16-25 ans, et c’est là l’un de leurs principaux atouts, ont confiance en eux et en leur avenir, d’après le 1er baromètre « Jeunesse et confiance », réalisé par OpinionWay pour le think tank Vers le haut. Fort de cet optimisme et rassurés quant à leur potentiel, la génération Y – pour ceux d’entre eux nés entre 1980 et 1995 – et la génération Z pour les plus jeunes, souhaitent marquer de leur empreinte le monde de l’entreprise.

Innover Les jeunes « bousculent » l’entreprise qui doit faire face à des attentes nouvelles en termes d’épanouissement personnel et de bonheur au travail. Les experts sont unanimes. Réticences vis-à-vis de la hiérarchie. Génération Y en entreprise. Les jeunes n'aiment pas les patrons Selon un sondage publié jeudi 21 mai, plus de 80% des jeunes interrogés ont une bonne image de l'entreprise. Mais ils sont beaucoup plus critiques envers les dirigeants, exception faite des patrons de PME. Combien payer un jeune diplômé? Le moteur de salaire mis au point par L'Etudiant et Aon Hewitt permet d'évaluer les salaires obtenus par les jeunes diplômés lors de leur embauche.

Un jeune diplômé sur cinq se trompe dans le choix de son entreprise La perte de temps et le coût financier, conséquences de ces mauvais recrutements, sont préjudiciables à l'entreprise. "Les jeunes ont besoin de liberté, de sens et de considération" "Les jeunes au coeur de l'entreprise" : c'est le thème d'une journée organisée le 24 mars par le Centre des Jeunes dirigeants (CJD). Les jeunes s'épanouissent en créant leur boîte Les jeunes : difficiles à manager ? Indiscipline, difficulté à dialoguer... La vision professionnelle des jeunes cadres Les jeunes rêvent de PME.

Reussire periode essaie. Notre politique de recrutement. Chaque année, ALLIANCE EMPLOI recrute près de 500 demandeurs d’emploi auxquels il offre ainsi la possibilité de rencontrer une voire deux entreprises dans l’année, d’y exercer leurs compétences, d’en développer de nouvelles et de trouver un emploi stable. Sur l’année 2009, 87 % des recrutements l’on été sur un statut d’Ouvrier/Employé et 13 % sur un statut de Technicien/Cadre. Cette démarche permet à la fois d’assurer aux entreprises de la flexibilité dans leur gestion des ressources humaines et de sécuriser les parcours professionnels des hommes et des femmes salariés par ALLIANCE EMPLOI. En dix ans, ALLIANCE EMPLOI a embauché 1800 personnes. Des préparateurs de commandes, des opérateurs de production, des responsables ressources humaines, des informaticiens, des techniciens de maintenance, des contrôleurs de gestion ou encore des responsables hygiène sécurité et environnement.

Quelle est la Politique de Recrutement ? Quels sont les critères de recrutement d’ALLIANCE EMPLOI ? Rémunération. Génération Y, ces jeunes qui osent critiquer l'entreprise. Les jeunes diplômés en mal d'insertion professionnelle : une particularité française. Profitables aux retraités, les effets de génération semblent au contraire être préjudiciables aux jeunes. L’horizon d’une retraite heureuse nourrie par une épargne confortable accumulée année après année sur des salaires en hausse constante durant la vie active paraît de plus en plus incertain pour les jeunes qui démarrent leur vie professionnelle.

Depuis le milieu des années 1970, on assiste en France à un mouvement tendanciel d’insertion plus lente et plus chaotique des jeunes dans le monde du travail. De l’ordre de 5 % au milieu des années 1970, le taux de chô­mage des jeunes (15-24 ans) flirte aujourd’hui avec la barre des 23 %. C’est la classe d’âge qui a pâti le plus de la hausse rampante du chômage, immédiatement suivie des 25-29 ans (respectivement + 18 et + 10 points depuis 1975, contre des hausses de seulement 3 à 5 points pour toutes les classes d’âge au-dessus de 30 ans). (Cliquez sur l'image pour l'agrandir) Source : Enquêtes Emploi, Insee, 2009. Source : OCDE.

Jeunes dans l’entreprise, entre vie rêvée et malentendus. «La plupart des jeunes sont des fainéants. Cinq minutes avant la fin de leur journée de travail, ils sont déjà prêts à partir. Ils ne paraissent pas motivés, sont rarement consciencieux. On dirait qu’ils n’ont pas envie de s’investir… » Responsable de l’atelier d’une concession automobile qui emploie une quinzaine de mécaniciens, Nicolas*, trente-six ans, est loin d’être un « vieux croûton ».

Et pourtant, sa vision des jeunes au travail est plutôt sombre. Si, classiquement, chaque génération juge sévèrement la suivante, une enquête récente de l’institut BVA sur « les jeunes et l’entreprise », dans le cadre de l’Observatoire du travail, semble indiquer que les plus de trente ans jugent sévèrement leurs cadets. Pour les trentenaires et plus, les trois adjectifs qui caractérisent le mieux l’état d’esprit des jeunes dans leur travail sont : « immature », « individualiste » et « paresseux ». Repères 19 % des moins de trente ans aspirent à un emploi stable, contre 36 % des plus de trente ans.