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SEAREV ou SEM-REV

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Vidéo SEAREV ou SEM-REV

Searev. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Searev

SEAREV (pour Système Electrique Autonome de Récupération de l'Energie des Vagues) est un flotteur contenant une masse pendulaire. Il est destiné à récupérer l'énergie des vagues et à la transformer en énergie électrique. Histoire[modifier | modifier le code] Le projet débute en 2003 au sein du Laboratoire de Mécanique des Fluides (LMF, devenu LHEEA[1]) de l'École Centrale de Nantes. Depuis deux autres laboratoires ont rejoint le projet, à savoir l'IRCCyN[2], toujours de l'École Centrale de Nantes et le SATIE[3] de l'École Normale Supérieure de Cachan (antenne de Bretagne). Le principe du SEAREV est breveté en octobre 2004 par le CNRS[5], puis à nouveau en 2008[6] sur les modes de contrôle du mouvement pendulaire.

La machine a évolué et plusieurs générations ont été définies. En 2013, la société OceanSwing se propose d'industrialiser la technologie[8]. Principe[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] SEAREV : un flotteur générateur d'énergie de 500 kW > Vagues. Après trentes années de recherches sur le sujet, une génératrice électrique houlomotrice mue par l'énergie des vagues a été développée à partir d'un concept nouveau breveté par le CNRS.

SEAREV : un flotteur générateur d'énergie de 500 kW > Vagues

En effet, des chercheurs du Laboratoire de Mécanique des Fluides de l'Ecole Centrale de Nantes ont mis au point un système qui s'avère être au final simple, robuste, dont l'efficacité tient dans la sophistication du contrôle embarqué plutôt que dans les composants technologiques. Concrètement, il s'agit d'un flotteur de 1000 T, (long. 25m, tirant d'eau 14m) mouillé dans une zone propice aux vagues, et capable de délivrer son énergie électrique au réseau terrestre par le biais d'un câble sous-marin. La profondeur d'eau significative à minima pour l'installation d'un parc de modules SEAREV est de 30 à 50 mètres. Il en résulte que ces installations se situeront généralement à plusieurs km des côtes et, vu leur faible émergence et l'absence de superstructures, resteront invisibles du rivage. Searev. Le SEAREV en images - Une nouvelle énergie renouvelable: L'ENERGIE HOULOMOTRICE.

Le Searev. Energie.cnrs.ensma.fr/rapport_ACI_2004-2006/ECD032.pdf. Ecole Centrale de Nantes - Résultats de recherche. SEAREV. Vous êtes ici : Accueil > Recherche > Projets d'application : Système Autonome Electrique de Récupération de l'Energie des Vagues.

SEAREV

En se fondant sur 25 ans d'expérience et de recherches amont, le Laboratoire de Mécanique des Fluides (LMF) de l'Ecole Centrale de Nantes a lancé en 2003 le projet. L'objectif à cinq ans est de lancer un prototype de 500 kW dans la Région des Pays de la Loire dont la façade atlantique est propre à recevoir ce type de système.

Ce projet fédère trois Unités de Recherche du CNRS le LMF (UMR 6598, porteur du projet)l' IRCCyN (UMR 6597)le SATIE de l'Ecole Normale Supérieure de Cachan (UMR 8029)Pour sa première phase (2003-2006), le projet est soutenu par le Ministère de la Recherche et des Nouvelles Technologies (dans le cadre de l'Action Concertée Energies 2003)le CNRS (Dept SPI)l'ADEMEla Région Pays de la Loire. Projet prometteur : le Searev. SEM-REV : un Site d'Expérimentation pour la Récupération de l'Energ... Www.concours-centrale-supelec.fr/CentraleSupelec/2011/TSI/sujets/S2I1.pdf. Naissance du 1er site français d'essai en mer pour les énergies marines.

Encore balbutiante, la filière des Energies Marines Renouvelables bénéficiera très prochainement de son premier site d'essais en mer.

Naissance du 1er site français d'essai en mer pour les énergies marines

Vont pouvoir être testés différents modes de récupération et de transformation de l'énergie de l'éolien flottant à la houlométrie. Ce site d'un kilomètre carré est implanté à 12 miles nautiques au large du Croisic. Dès le 9 mai elle sera relié à la terre avec un câble de 24 km de long et d'une puissance de 8 Megawatt. L'opération est délicate et elle a été confiée à France Telecom Marine : c'est le « René Descartes », l'un des six navires câbliers de la flotte de France Telecom spécialisée dans la pose et la maintenance de câbles sous-marins dans le monde qui s'en est chargé. Livré en quatre tourets de 6 km, le câble a été relié à bord. La recherche a un coût prohibitif pour un seul industriel Initié en 2006, le projet aura mis plus de six ans à aboutir. Comment récupérer l'énergie de la houle Un projet de 14 millions soutenu par la Région pour 9 millions. Www2.cnrs.fr/sites/communique/fichier/08searev.pdf.