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Mythologie Vikings

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Vidéo Mythologie Vikings

Panthéon Vikings. Les légendes de la mythologique scandinave : Óðin, Loki, Þórr, Fenrir, hydromel, Sleipnir, Baldr. Plus d’un millénaire est passé depuis l’abandon de leur religion païenne par les anciens scandinaves.

Les légendes de la mythologique scandinave : Óðin, Loki, Þórr, Fenrir, hydromel, Sleipnir, Baldr

Le blanc christ a progressivement effacé des traditions les rites et mythes des anciens Dieux nordiques. Óðin, Þórr, Freyja... Sans les deux Eddas, aujourd’hui, personne ne connaîtrait leur histoire, et Tolkien n’aurait vraisemblablement pas écrit "Le Seigneur des anneaux". Les sources Pour ce qui est des sources contemporaines, peu d’éléments restent disponibles. Car les mythes païens se transmettaient principalement oralement. Après la conversion des scandinaves au catholicisme, la transmission s’est perdue, peu à peu. L’Edda poétique est le premier texte à mettre par écrit certains de ces mythes. Snorri Sturluson compléta ce texte avec son Edda en prose. Les Dieux scandinaves : Óðin, Þórr, Loki, Freyr, Freyja, Hel, Valhalla, Baldr.

Il existe deux catégories de Dieux scandinaves, les Vanes, les plus anciens, hérités sans doute d’une religion indo-européenne antérieure, et les Ases.

Les Dieux scandinaves : Óðin, Þórr, Loki, Freyr, Freyja, Hel, Valhalla, Baldr

L’opposition entre ces deux familles, qui ira jusqu’à la guerre, symbolise le fossé entre la paysannerie des Vanes, et l’aristocratie des Ases. Leur réconciliation est gage d’unité. Óðin ou Wotan Le Dieu des dieux. Vénéré et craint. Óðin vit à Ásgard, et observe le monde depuis son trône. Óðin est surtout prêt à tout pour arriver à ses fins : aux pires fourberies comme aux pires sacrifices. Pour acquérir la science des runes, il passe neuf jours suspendu la tête en bas à Yggdrassil, transpercé par sa propre lance. Pour réussir à voler l’hydromel, source de poésie, il n’hésite pas en revanche à se transformer en serpent puis en aigle après avoir séduit la gardienne Gunnlöd.

Þórr (Thor) Les runes scandinaves avant la christianisation, alphabet Futhark, supports, stèles, protection. Avant l’an mil, et la conversion de l’Islande au christianisme, les Islandais, et d’une manière plus générale, les scandinaves, ne possédaient pas d’écriture.

Les runes scandinaves avant la christianisation, alphabet Futhark, supports, stèles, protection

Les moines ont joué un important rôle d’alphabétisation, qui, trois siècles plus tard, a atteint son apogée avec l’écriture des premières sagas. Avant cette christianisation, les Islandais devaient utiliser les Runes, non pas pour écrire et communiquer au quotidien, mais dans une optique plus religieuse : des stèles commémoratives, des poèmes, des prières, … Il existe deux alphabets runiques.

Le plus ancien, appelé le Vieux Futhark comportait 24 runes. Il fut remplacé par le nouveau Futhark, de seulement 16 runes. L’origine L’alphabet runique est apparu sans doute 200 ans av J. L'alphabet Il est appelé le Futhark, d’après ses 6 premières lettres. The Viking Rune. Les vikings. Mythologie nordique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mythologie nordique

La mythologie nordique est l'ensemble des mythes provenant d'Europe du Nord (plus particulièrement de la Scandinavie et de l'Islande) à la base du système religieux polythéiste pratiqué dans ces régions au haut Moyen Âge avant leur christianisation. Il s'agit d'une variante régionale et historique de la plus vaste mythologie germanique. Aujourd'hui cette mythologie est surtout associée aux Vikings qui ont exporté leurs croyances au-delà de la Scandinavie, on parle alors aussi de mythologie viking. La mythologie nordique met en scène un nombre important de divinités, de créatures fabuleuses et de héros. Pendant des siècles, les mythes nordiques étaient transmis oralement, notamment par la poésie scaldique qui éleva la narration d'épopées mythologiques en une expression artistique.

Longtemps oubliée, cette mythologie a été redécouverte dès le XVIIIe siècle avec le courant romantique en Europe. Sources[modifier | modifier le code] Historia nostra - mythologie nordique. Mythologie au-delà nordique. La religion et la mythologie nordiques. La religion et la mythologie des peuples germaniques (Germains proprement dits et Scandinaves) a commencé à être connue, grâce aux remarquables travaux des mythologues allemands, danois, norvégiens et suédois du XIXe siècle.

La religion et la mythologie nordiques.

L'essor fut donné à ces études par la Mythologie allemande de J. Grimm; par la suite plusieurs ouvrages remarquables ont été publiés sur le même sujet, en particulier par Mannhardt et K. Mythologie scandinave. CHAPITRE PREMIER : La Genèse I: La création des mondes II: L'Yggdrasil CHAPITRE DEUXIÈME : Les dieux scandinaves I: Divinités masculines II: Divinités féminines CHAPITRE TROISIÈME: Ragnarök CHAPITRE QUATRIÈME: Les mythes scandinaves I: La légende des Nibelungen II: Beowulf Contrairement à d'autres pays d'Europe, la France ne fut pas influencée par la culture scandinave, ce qui fait que nous n'avons pas aujourd'hui de représentations historiques des dieux venus du Nord.

Mythologie scandinave

Mythologie Germanique et Nordique-Les 9 Mondes. Cheval dans la mythologie nordique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cheval dans la mythologie nordique

Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Généralités[modifier | modifier le code] En archéologie comme dans l'Edda de Snorri, le cheval est le premier animal par l'importance dans la mythologie nordique[1]. Les chevaux sacrifiés et associés aux divinités font partie des plus anciennes découvertes archéologiques de ces régions[2]. Cette place est due à une conception du monde basée sur la perception de la nature à l'origine des mythes. Le cheval dans les textes[modifier | modifier le code] Chevaux des dieux Ases[modifier | modifier le code] Les chevaux appartenant aux dieux Ases sont cités dans le Grímnismál (30) et dans la Gylfaginning (15).

Dans le Grímnismál[modifier | modifier le code] Le poème eddique Grímnismál cite les noms suivants : — Grímnismál (30)[10]