background preloader

Habillement Romain

Facebook Twitter

Le vêtement romain. Le vêtement féminin. Le vêtement de dessous est la tunique, composée de deux pièces de laine cousues, ménageant des passages pour la tête et pour les bras.

Le vêtement féminin

Elle est resserrée à la taille par une ceinture qui la fait blouser. Cette tunique est assez longue et peut descendre jusqu'aux talons (tunica talaris). En guise de soutien-gorge la femme porte sur la tunique (et non directement sur la peau) une écharpe roulée en un cordon long et partout de même épaisseur, serrée sous la poitrine, appelée strophium. (Catulle, Poésies) Sur la tunique la femme porte une stola parfois bordée de pourpre et brodée dans le bas. Quand elle sort, la femme drape sur la stola une palla, sorte de très grand châle couvrant les épaules et descendant jusqu'à la taille. La coiffure Sous la République les femmes sont coiffées avec une raie au milieu de la tête et nouent leurs cheveux en chignon ; elles peuvent aussi encadrer leur visage de nattes torsadées (à la manière étrusque). Les chaussures Fards et onguents. Les vêtments romains. Le vêtement féminin Comme en Grèce, le vêtement féminin diffère peu du vêtement masculin.

Les vêtments romains

On se sert, à propos des vêtements de dessous, du nom d'indumentum (vêtements qu'on enfile) et pour ceux de dessus, on emploie le terme d'amictus (vêtements dans lesquels on s'enveloppe). Costume de la Rome antique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Costume de la Rome antique

Drapé de la toge : bras droit libre, bras gauche couvert Matières premières[modifier | modifier le code] Les Romains ont utilisé plusieurs types de fibres différents. Stola. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Stola

À gauche, femme portant stola et palla (Pompéi, Villa des Mystères) La stola était le vêtement traditionnel des femmes mariées de la Rome antique. Durant les premiers siècles de la République, la stola comme les autres vêtements était le produit d’un artisanat domestique, et était en laine écrue. Par la suite, les coloris de la stola varièrent, comme en témoigne Ovide à l’époque d’Auguste : « Que dirai-je des vêtements ?

Que m’importent ces riches bordures ou ces tissus de laine deux fois trempés dans la pourpre de Tyr ? Pallium gréco-bouddhique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pallium gréco-bouddhique

Le pallium est un vêtement d'une seule pièce, mais il sert aussi de couverture pour la nuit, comme le précise par exemple Juvénal[1]. Version féminine du pallium: la palla (Livia Drusilla, Madrid) Le pallium est rabattu sur l'épaule gauche, passe dans le dos, puis sous le bras droit laissant l'épaule droite découverte. Il est plus pratique et moins solennel que la toge, au point qu'Auguste ordonne, sans succès, aux sénateurs de le porter[2]. L'empereur est en villégiature à Capri en 78 av JC et afin de se distraire « pour les derniers jours de son séjour distribue comme présents des toges [romaines] et des manteaux [grecs], stipulant que les Grecs et les Romains devaient échanger leurs vêtements et leurs langues. » La toge romaine évolue quant à elle vers une pièce d'étoffe demi-circulaire, dont le bord droit peut mesurer jusqu'à 6,50 mètres[3] !

Saint Paul revêtu de la tunica et du pallium des philosophes, représentation antique. Gaston Boissier, Le traite du manteau de Tertullien, Revue des Deux Mondes 94.5 (1889) pp. 50-78. Revue des Deux Mondes 94.5 (1889) pp. 50-78 On trouve, dans les œuvres de Tertullien, un petit traité intitulé : de Pallio (du Manteau), qui doit sa célébrité à la peine qu'on éprouve pour le comprendre.

Gaston Boissier, Le traite du manteau de Tertullien, Revue des Deux Mondes 94.5 (1889) pp. 50-78

Les commentateurs, qui sont attirés vers l'obscurité, comme d'autres vers la lumière, s'en sont fort occupés ; ils ont fait de grands efforts pour l'éclaircir, et n'y sont arrivés qu'en partie. Un de ces commentaires surtout, celui de Saumaise, est resté dans la mémoire des savans : c'est une œuvre remarquable, et qui fait grand honneur à l'érudition française du xviie siècle. Il s'en faut pourtant que Saumaise ait dissipé tous les nuages; s'il a mieux expliqué le détail des mots et des phrases, le sens de l'œuvre entière reste toujours assez incertain.

Je voudrais reprendre à mon tour ce petit problème et chercher s'il est possible de savoir ce que Tertullien voulait faire quand il |51 composa son traité du Manteau. Tunique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Tunique

Tunique Différentes tuniques. Antiquité[modifier | modifier le code] Enfants romains vêtus de tuniques portées sans ceinture, détail d'un sarcophage d'enfant vers 270-300. Trabea. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Trabea

Une trabée (en latin trabea) est une toge pourpre ou composée de bandes de couleurs pour les cérémonies d'apparat de la Rome antique. Usage[modifier | modifier le code] Elle était en usage chez les Étrusques[1], et était primitivement un insigne royal sous la monarchie romaine. Après l'expulsion des rois, elle fut réservée : Dans le théâtre latin ce costume caractérise l'ordre des chevaliers : il y a d'ailleurs des comédies trabeata.

Toge prétexte. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Toge prétexte

Elle était portée également par les Étrusques[1]. Jeune garçon en toge prétexteConsulaire en toge prétexte Articles connexes[modifier | modifier le code] Fibule. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Fibule

La fibule (du latin fibula signifiant attache) est une agrafe, généralement en métal, qui sert à fixer les extrémités d'un vêtement. Elle est généralement considérée comme l'ancêtre de l'épingle de sûreté. Les premières fibules apparaissent au Bronze final. La fibule de Nordendorf (VIIe siècle apr.