background preloader

Marketing

Facebook Twitter

Hobbynote connecte le point de vente et Facebook pour Kiabi. Hobbynote, start-up spécialisée dans les solutions sur les réseaux sociaux et plus particulièrement sur Facebook, a proposé une toute nouvelle expérience de shopping connecté à son client Kiabi. Le principe : inviter Facebook en point de vente pour créer une interaction entre les clients physiques, leurs amis et les fans de la marque de prêt-à-porter. En septembre dernier, les visiteurs ont ainsi pu partager leurs coups de cœur et leurs envies avec leur entourage en temps réel sur le réseau social. "Avec plus d'1 million de fans sur sa page, Kiabi est l'entreprise idéale pour instaurer un lien entre le réel et le virtuel.

Nous leur avons donc proposé de générer du trafic sur Facebook à partir du point de vente", explique Nicolas Blondel, directeur associé de Hobbynote. Pendant une semaine, l'agence a tenté l'expérience dans la boutique du centre commercial V2 à Villeneuve-d' Ascq (Nord). Enfin, pour récompenser les visiteurs qui ont joué le jeu, Kiabi leur a offert 10 % de réduction. Avec le bouton « Want », Facebook joue son avenir. Carrefour inaugure à Lyon son magasin virtuel. Je m'abonne C'est Bruno Lebon, directeur e-commerce alimentaire de Carrefour France, qui inaugure le magasin virtuel de Carrefour ce mardi 2 octobre à Lyon. Un magasin éphémère (jusqu'au 18 octobre) "pour installer l'usage des courses virtuelles.

Il s'agit en réalité d'un cube de 3 mètres sur 3, présentant 300 produits du quotidien (non alimentaire compris, marques nationales et MDD avec 11 rayons en tout). Le packaging est présenté en taille réelle, comme dans un linéaire. Le prochain déploiement aura lieu à la Gare du Nord à Paris, du 10 au 31 octobre. "Vraisemblablement sur un mur" précise Bruno Lebon. Le consommateur pourra scanner des codes barres après avoir téléchargé l'application "Mes courses" (disponible sur Iphone et Androïd).

Les zones de forts flux (gares, métros etc.) ou travel commerce intéressent fortement les distributeurs, qui viennent chercher le client là où il se trouve et attend... Pour mémoire, c'est aussi à Lyon, il y a deux ans, que le concept Planet fut dévoilé. Kellogg's ouvre le premier tweet shop à Londres. Le 28 septembre 2012 // Payer avec un tweet, c’est possible ! Pour promouvoir sa nouvelle gamme de céréales Special K Cracker Crisps, Kellogg’s a installé à Londres du 25 au 28 septembre le tout premier tweet shop au monde. Le principe est simple : venez et publiez un tweet sur Kellogg’s et son #tweetshop. Une hôtesse vérifie votre tweet et vous donne en échange votre paquet de céréales (ou plutôt un échantillon).

Facile ! Dans le magasin éphémère, un écran fait défiler en direct tous les tweets publiés sur l’opération pour informer en temps réel du buzz du tweet shop : Un écran fait défiler en direct les tweets publiés sur l’opération #tweetshop. L’événement a été relayé sur le compte Twitter de Kellogg’s UK à travers des visuels (les images ci-dessous), des relances sur le côté éphémère du tweet shop (1 semaine seulement) et des interactions avec les twittos, le plus souvent positives. Voici un aperçu du tweet shop de Kellogg’s en images (source : Streetplanneur) : Nelis attire ses prospects via un serious game. Pierre Tombale était un employé a priori sans histoire de la société X-Rises. Jusqu’à ce que son cadavre soit retrouvé sur le parking de l’entreprise… Voilà comment débute l’histoire imaginée par Nelis, fournisseur de solutions de social CRM et de travail collaboratif, pour inviter ses clients et prospects à se mettre dans la peau de détectives. La société a choisi cette intrigue comme base d’un serious game conçu pour mieux faire connaître ses solutions. « Alors que les entreprises connaissent bien le CRM, des efforts restent à accomplir pour leur permettre de découvrir les outils collaboratifs.

C’est ce que nous avons voulu faire de façon ludique et agréable », explique Philippe Rossi, p-dg de Nelis, à l’origine du projet. Pour populariser ce jeu, le fournisseur de social CRM s’appuie, en priorité, sur les réseaux sociaux. Dans un premier temps, ce sont ses collaborateurs adeptes de Facebook, et surtout de Twitter, qui relaient l’initiative sur leurs comptes respectifs. Vers une modification des conditions générales de vente sur Internet ?

Le 5 juillet dernier la Cour de justice de l'Union européenne a rendu une décision concernant la question de l'opposabilité des conditions générales de vente dans le cadre de sites d'e-commerce (Arrêt Content Services Ltd c/ Bundesarbeitskammer, aff. C-49/11). L'affaire concernait un site de vente de logiciels en ligne (Content Services). Le processus de vente du site internet était extrêmement classique : Le consommateur devait s'identifier, choisir son logiciel et valider sa commande en cochant une case précisant qu'il acceptait les conditions générales de vente (CGV) et renonçait à son droit de rétractation. Au regard du processus mis en œuvre par le site web en question, la Cour européenne estime que : Cette décision, même si elle vise un cas d'espèce, va sans doute avoir un impact sur les sites d'e-commerce actuels, lesquels, dans leur grande majorité, se contentent de renvoyer à leur CGV via un lien hypertexte sans autre type de communication.

L'avenir du commerce par deux chasseurs de tendances américains. « Élargir notre vision du commerce, voir ce qui se passe ailleurs… C'est le sens que nous voulons donner à la rencontre avec le cabinet de tendances new-yorkais PSFK », explique Christophe Lagarfe, p-dg de l'agence H (qui compte parmi ses clients Darty ou Krys) en donnant la parole à Jeff Weiner et Scott Lachut, deux chasseurs de tendances du cabinet en tournée européenne avec leur rapport "Future of Retail" (voir le Slideshare présenté plus loin). Le showroomisme (tendance qui se développe et qui consiste à scanner ou photographier un produit en magasin pour l'acheter online), la création de boutiques en fonction de ses Like sur Facebook ou sur Pinterest (Mulu.me par exemple), le testing client, le centre d'appels (ou fansourcing) du futur qui met des fans actifs en contact avec les prospects (needle notamment), etc.

Neuf tendances venues des États-Unis, d'Australie, de Finlande ou d'Allemagne témoignent du dynamisme du retail. Social marketplaces : le nouveau challenge du Social Média Management ? Cet article a été publié il y a 1 an 6 mois 25 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. Une invitation à sortir des sentiers battus… « Failing to plan is planning to fail ». En cette période de rentrée où la préparation de la feuille de route 2013 va être un sujet central pour les directions marketing et commerciales, cette citation de Benjamin Franklin résonne comme un mantra dans bien des couloirs d’entreprises !

Jalon incontournable de l’année, cette projection va initier beaucoup de décisions : la priorisation des objectifs pour chaque service, la répartition des ressources et du budget, les évolutions de postes, les dossiers prioritaires avec les agences/ cabinets de conseil… qui devront elles même s’adapter aux attentes de leurs clients. Le SMM a participé et participe encore à l’évolution de nombreuses entreprises vers une nouvelle appréhension de la relation client et une vision élargie du capital marque.

Kinect : plus fort que le tactile. Elle a déjà pris place dans votre salon ou dans la chambre du petit dernier. Elle vous a surpris avec ses commandes sans contact, lorsqu’il était question de lire un DVD ou d’interagir avec un personnage de jeu vidéo. La technologie Kinect, développée par Microsoft, d’abord associée à une console de jeu (la Xbox 360), n’a pas tardé à susciter la curiosité d’un certain nombre de marques et d’agences spécialisées, qui ont pressenti le potentiel de ce dispositif dématérialisant les interactions entre l’homme et la machine.

Entre le jeu vidéo et l’application marketing susceptible de tisser un lien plus fort entre le consommateur et la marque, le gouffre pourrait sembler énorme. En termes de déploiement et de maintenance, la Kinect est également très intéressante. Son prix est tout à fait raisonnable (de l’ordre de 200 euros TTC), ce qui permet de concentrer les investissements sur le développement d’expériences gestuelles toujours plus avancées. Le roadshow Andros. Emailvision s'offre PredictiveIntent. Avec cette acquisition, Emailvision renforce son offre de customer intelligence. L'entreprise dit vouloir offrir aux marketeurs la possibilité de diffuser un contenu marketing plus ciblé et personnalisé sur leur site web et dans leurs campagnes d’e-mail marketing. La solution SaaS de PredictiveIntent permet en effet aux marketeurs de transformer leurs sites internet en un espace dynamique et personnalisé de vente en ligne. Nick Heys, fondateur et p-dg d’Emailvision, commente cette acquisition : « Le ciblage comportemental transforme le monde du marketing relationnel.

Les marketeurs on line qui utilisent PredictiveIntent ont pu apprécier une augmentation à deux chiffres en pourcentage des taux de conversion et des ventes. Nous voyons un potentiel énorme de développement des ventes pour les e-commerçants qui intègrent l’analyse prédictive au sein de leurs programmes de marketing relationnel on line. » Marketing: 6 sujets à ne pas rater pour 2012. Sans être grand clerc, on peut d’ores et déjà spéculer sur quelques trends amorcées en 2011, qui se poursuivront en 2012 : Localisation, localisation et localisation : la plus fameuse trilogie de 2011 social, local et mobile, aka le fameux "solomo", est et sera le blockbuster des marques et services marketing associés. L’usage des réseaux sociaux par les quelque 10,2 millions de mobinautes en France ne peut être qu’exponentiel.

Le couple mobile + réseaux sociaux offre un point de contact fabuleux pour délivrer le bon message et inciter à l’interaction. Si les usages s’affinent, les marques devront aussi fournir une contextualisation plus fine pour fournir une nouvelle "expérience" du produit lié au comportement des consommateurs. Un peu d’applications : dans la lignée du "solomo", les apps’ mobiles deviennent un vecteur d’accès à la navigation privilégié par plus de la moitié des mobinautes.

Social fatigue ? I want my social TV : 2012 ? Audi ouvre son premier showroom 100 % digital à Londres. Le 16 juillet dernier, le constructeur allemand a inauguré son premier showroom "Audi City" dans le quartier de Mayfair à Londres. Dans un décor très moderne, le visiteur peut commander sa voiture à partir d'écrans en tous genres. Grâce aux tables tactiles, le consommateur peut imaginer et personnaliser son futur modèle.

Un mur recouvert d'écrans permet de visualiser le véhicule sous différents angles, mais aussi d'interagir grâce aux mouvements du corps. Le showroom contient également des salons privés pour échanger avec le client et poursuivre la commande. D'autres outils sont également mis à sa disposition : tablette, échantillons pour la carrosserie et les matériaux intérieurs, ainsi que des clés USB pour emporter l'ensemble du dossier. D'ici à 2015, le constructeur automobile prévoit d'ouvrir une vingtaine de showrooms Audi City dans le monde. Les moyens de paiements, un nouveau levier d'acquisition et de conversion. Cet état de fait tend aujourd’hui à changer. Avec l’arrivée de nouveaux acteurs et de nouvelles offres qui rencontrent un public de plus en plus large, les moyens de paiements (privatifs et prépayés, notamment) sont perçus comme des axes très pertinents d’acquisition et sont désormais étudiés par les équipes marketing.

De l’acquisition…Tous les sites marchands dépensent de l’argent, parfois beaucoup, pour acquérir de nouveaux clients : par le biais de l’affiliation, du référencement, de l’e-mailing, du social media… Or, les nouveaux moyens de paiement (carte-cadeau, points de fidélité, coupons, etc.) se multiplient et représentent une “réserve d’argent” qui bénéficient encore à peu de sites.L’enjeu est donc d’accéder à cette “réserve” et de créer un lien entre les porteurs de ces moyens de paiement et les sites marchands sans détériorer la qualité de leur page de paiement ni impacter les DSI.

Yves Saint Laurent crée une palette pour ses fans. Sur sa page Facebook "Fragrance & Beauty", Yves Saint Laurent joue à fond la carte communautaire. Avec le spécialiste du social marketing, Tigerlily, la marque de luxe a conçu une palette de quatre ombres à paupières baptisée "Devoted to fans #1". Avec un boîtier "bleu Facebook", le produit est disponible en édition limitée : seules 1 650 personnes sur les 373 000 fans de la page pourront commander la palette dès le 3 septembre.

Pour cela, Tigerlily a réalisé une application permettant de s'inscrire sur une liste d'attente. Afin de susciter l'intérêt des fans, la marque avait déjà offert, mi-juillet, une cinquantaine de palettes aux internautes les plus réactifs. Cette opération mise en place en France, est également organisée aux États-Unis et au Royaume-Uni. Pour obtenir des retours d'expérience, Yves Saint Laurent proposera aux utilisateurs de livrer leur témoignage en postant une photo de leur maquillage.