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Mais le journal qui est un torchon n'est certainement pas FCT. ABC Australia TV radio transcript shows the factors expanding the environmental impact of organic farming approaches (video at Link) Organic Shortfall Broadcast: 5/04/2014 2:25:54 PM Reporter: Chris Clark PIP COURTNEY, PRESENTER: It's easy to see the growth in organic food in recent times. Just walk into your local supermarket and you will see a range of fresh and processed foods that simply weren't there a few years ago. While organic fruit and veggies seem to be going ahead in leaps and bounds, other crops like wheat, oats and barley are having a tougher time. Millers and other processors can't get enough local organic grain, so they're having to import organic flour and other products to keep up with demand.

Chris Clark looks at some of the barriers to growing the organic grain market. CHRIS CLARK, REPORTER: Each year Australia grows tens of millions of tonnes of grain, but just a tiny fraction of that total is organically certified. CHRIS CLARK: But this is their final crop. Rats, Tumors and Critical Assessment of Science. My email box exploded with new messages. A flurry of notes contained a link to a new peer-reviewed paper, a work showing that rats fed “GMO” corn developed massive tumors and died early, compared to controls. Immediately I smelled a Seralini paper. A click on the link did not disappoint-- it's Seralini again. I was electronically whisked to a PDF of the whole text and began to read. Within minutes I was blown away by the lack of rigor, poor experimental design, attention to controls and loose statistics. Most of all, I was blown away by the conclusions drawn by a study with tiny numbers of subjects in a rat line known to grow endochrine tumors.

The anti-GMO interests were quick to anoint this new work as a rigorous pillar of exceptional science, a hard-science detailing of the danger of transgenic food. I was really impressed by how the scientific media and the science blogosphere pounced. Here are some red flags the others have not mentioned. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. "Pour bien informer ses lecteurs, encore faut-il bien s’informer " Réponse à Stéphane Foucart à propos de son article dans LE MONDE en date du vendredi 18 Janvier 2013, « ces étranges accusations de liens entre M.Séralini et une secte mystérieuse ». Vous commencez votre article par un résumé sur l’étude controversée de Gilles Eric Séralini que vous terminez en disant que « toutes les instances scientifiques qui se sont prononcées contestent les conclusions du biologiste français : EFSA, de même que les agences de sécurité sanitaire française (Anses), allemande, BFR, canadienne (Environnement Canada), australienne et néo-zélandaise (Fsanz)ou le Haut conseil des Biotechnologie(HCB) français: toutes ces institutions ont noté des failles expérimentales, des défauts d’interprétation, une statistique défectueuse. » Or vous faites plusieurs erreurs manifestes : Ainsi l’étude de Gilles-Eric Séralini a été publiée par une revue scientifique après avoir été analysée pendant 4 mois par un comité d’experts scientifiques.

Gilles-Eric Séralini, ou le cirque publicitaire. Dans ce billet, je ne reviendrai que partiellement sur le débat strictement scientifique autour de l' « étude-choc » [comme ils disent] de Gilles-Eric Séralini et de son équipe du Criigen, qui auraient démontré l'existence de graves conséquences sanitaires à la consommation d'un OGM de Monsanto : le NK 603, un maïs résistant au glyphosate - la molécule du Round-Up. Ce billet s'attarde plutôt sur le dispositif médiatique et publicitaire sans précédent et totalement hors-normes qui a été délibérément mis en place par le Criigen et ses bailleurs de fond de la grande distribution, dans le but non pas de peser sur la communauté scientifique [pour laquelle le dispositif en question, en plus de la probable maigre qualité de l'étude, a sans doute totalement achevé de la convaincre de l'absence de crédibilité de Séralini et de son équipe], mais plutôt sur le grand public via la sphère médiatique.

OGM et cancer, où est la vérité ? Ne vous faites pas d’illusions: des aliments contenant du transgénique passent par votre tract digestif sur une base régulière. Mais vous ne le savez pas. À mes yeux, le non-étiquettage des OGM au Canada constitue un problème pas mal plus grave et plus pressant que la certification cacher ou halal. Mais regardez le nombre de commentaires: 137 pour le blogue cacher. 7 pour les OGM. Les retweet et les likes sont à l’avenant. Allons-y donc pour un 2e tour de piste. Hier soir, dans un petit resto de mon quartier, le biologiste français Gilles-Éric Séralini, de passage à Montréal, se préparait pour sa conférence de ce midi au pavillon des sciences biologiques de l’UQAM sur les OGM.

Personnage très controversé, Séralini a publié l’automne dernier les conclusions d’une étude reliant OGM et cancer. Les photos choquent: des petits rats blancs horriblement déformés par de gigantesques tumeurs. Ces tactiques relèvent plus du lancement d’un film de Hollywood ou d’un nouveau CD de Celine. La part d'ombre du professeur Séralini. Parmi les nombreuses relations du Pr Gilles-Éric Séralini figurent ses amis de Sevene Pharma, une discrète société détenue par les responsables d’un étrange mouvement. L’étude controversée de Gilles-Éric Séralini sur le maïs transgénique NK603 a fait couler beaucoup d’encre. Tout comme le million d’euros qu’il a obtenu de la Fondation pour le progrès de l’homme (FPH), connue pour sa générosité envers une ribambelle de groupuscules anti-OGM.

De même, le financement de 2,2 millions d’euros apporté par l’association Ceres, dont le président d’honneur, Gérard Mulliez, est également président du comité stratégique du groupe Auchan, a été largement commenté. Dans son livre Tous cobayes ! , sorti à l’occasion de la publication de son étude, G. On l’aura compris, G. Autour d’Invitation à la Vie Consultant pour Sevene Pharma, une société basée dans les Cévennes, Gilles- Éric Séralini en assure l’essentiel de la recherche « expérimentale » . « Faire reculer le royaume de Satan » La face obscure d’IVI. Affaire Séralini et effet Kiss Cool! | Sham and Science. Avertissement: Cet article ne traite que de la publication du Professeur Séralini et de son équipe. Il ne cherche en rien à répondre à la question de savoir si les OGMs sont sains ou à analyser les éventuels problèmes économiques sous-jacents.

Dans une tribune publiée dans le journal Le Monde et intitulée « science sans conscience », un certain nombre de scientifiques s’étonnent de la violence des réactions envers l’étude du Professeur Séralini qui prétend montrer des effets délétères du maïs OGM NK603. Ils laissent à penser que cette réaction fut plus ou moins orchestrée par des scientifiques en conflit d’intérêts. J’aimerais ici revenir sur cette étude et expliquer pourquoi on peut être choqué sans être forcément lié aux multinationales agroalimentaires. Je devrais même parler d’ondes de choc, un peu comme un quintuple effet Kiss Cool, pour ceux qui s’en souviennent.

Premier choc, celui des images et des mots, les OGMs sont des poisons! Le protocole Commençons par décrire l’étude. M. Pierre-Henri Gouyon m’insulte et insulte mes collègues (#OGM #Seralini) Je viens de découvrir un texte écrit par Pierre-Henri Gouyon sur le site Mediapart : Comme je ne vois pas le moyen de mettre de commentaire sur ce site sans payer d’abonnement, je vais répondre rapidement ici. M. Gouyon, vous m’insultez. Vous dites dans votre lettre que la communauté scientifique n’a réagi que parce que des scientifiques à la solde des entreprises ont fait de la propagande : Ce qui s’est passé depuis quelques semaines, c’est simplement que les entreprises de biotech ont commissionné des scientifiques « amis », prêts à tout, pour démarrer l’attaque. C’est un mensonge, et soit vous le savez, soit vous avez perdu le contact avec la réalité. Et la raison pour laquelle cette étude a été si commentée, oserais-je vous la révéler ?

Je reviens sur mon titre. Excusez-vous et taisez-vous, ou apportez des preuves. When bad science, mass media, and luddism mix. There’s a good reason why politics and science don’t, and shouldn’t, mix. It’s one thing to use a number of thorough studies to inform policy. But trying to make law with cherry-picked studies is wrong from beginning to end. Don’t that that to The Guardian’s editor John Vidal. According to him, only GMO industry shills would dispute the widely ridiculed French study that tries to pin an often used weed killer on cancerous tumors in rats, smearing and ridiculing the chief researcher because they can’t handle the truth about their poisonous mutant plants coming out.

Just ignore the fact that the chief researcher has a scathing anti-GMO book coming out in stores, and that his idea of peer review was to ban the press from publishing any criticism of his paper if science writers requested to see his work firsthand and solicit expert opinions. Here are the key issues. When doing agenda science, threaten to sue your critics. Even if those critics have not yet materialized. That was the sentiment of the cherry-picked and widely panned anti-GMO study lead by an activist researcher trying to get European agencies to crack down on genetically modified food. I already mentioned that the press was prohibited from soliciting opinions from others in the field if it wanted to review the paper before it was officially released, something that’s both very rare and very troubling, but a new detail shared by Nature makes this blatant attempt to manipulate objective coverage even worse… Journalists often receive embargoed journal articles, and standard practice is to solicit independent assessments before the paper is published.

The agreement for this paper, however, did not allow any disclosure and threatened [reporters with] a severe penalty for non-compliance: “A refund of the cost of the study of several million euros would be considered damages if the premature disclosure questioned the release of the study.” Maïs OGM NK603 et Round-Up : Seralini doit revoir sa copie dit l'ANSES. La science vit d’hypothèses, des hypothèses qu’on émet et que d’autres infirment ou vérifient.

La science ne vit pas de débats manichéens sauf, apparemment, quand il s’agit de parler d’OGM. L’ANSES, l’agence de sécurité sanitaire des aliments et de l’environnement a donc rendu le 22 octobre 2012 ses conclusions sur le travail de Seralini et al. concernant la toxicité au long cours d’un mais OGM tolérant au Round Up, un herbicide largement utilisé en agriculture. Elle conclut à l’impossibilité de trouver un lien de causalité entre la consommation de ce mais et les anomalies relevées chez les animaux, elle soulève aussi diverses questions méthodologiques pour lesquelles elle n’a pas pu obtenir toutes les réponses de la part des chercheurs. Il en est ainsi de la nature des tumeurs pour lesquelles les chercheurs ont transmis des données brutes. Il faut rappeler que ‘tumeur’ ne veut pas dire ‘cancer’. Point très important : personne ne remet en cause la démarche de Seralini et al. Quand va-t-on retrouver la déontologie scientifique ?

Mercredi 17 octobre 2012 3 17 /10 /Oct /2012 15:47 Il devait arriver. L’opus 2012 des publications du Criigen (Séralini et collaborateurs) "prouvant" la toxicité des OGM est donc paru ! La parution de l’étude dans un journal scientifique fut remarquablement convoyée vers les médias. Le scénario mise en scène fut digne d’un roman de série noire (étude avec nom de code, importation rocambolesque des grains, maintien du secret devant de soi-disant menaces, etc.). Les produits dérivés sont sur le marché (livres, film, DVD, etc.). Faire d'un cas une généralité "Les OGM sont des poisons ! " En l’occurrence, il s’agit d’un maïs portant un caractère de tolérance à un herbicide, très commun dans les pays utilisateurs d’OGM et exporté vers d’autres pays (hormis la France qui n’importe pratiquement pas de maïs).

L’hypothèse de la toxicité de ce maïs n’est donc pas la plus crédible a priori, car il n’a été rapporté aucun problème vétérinaire nouveau depuis sa mise en culture. Une organisation politique. La probité scientifique à dose homéopathique, par Wackes Seppi. Réédition : pour des raisons que j'ignore toujours, je rencontre ces derniers temps des problèmes d'édition le week-end. Nouvelle tentative, donc, ce Lundi. Avec mes excuses à l'auteur de cet excellent article. Anton Gilles-Éric Séralini - et le CRIIGEN - n'est pas notre tête de Turc. Mais les séralinades sont un sujet d'étude quasi inépuisable. Le billet d'Anton intitulé " Graves mesures de représailles du CRIIGEN à l'encontre d'Imposteurs " [1] a fort opportunément ressorti des oubliettes de la toile De la dinde à la farce par F. " Or, il se trouve que le laboratoire du Pr Séralini (thèse Céline Gasnier, septembre 2009) ne teste pas des produits homéopathiques sur la détoxification hépatique, mais des extraits de plantes préparés par la société Sevene Pharma en effet, qui elle, commercialise aussi des produits homéopathiques avec la plus grande crédibilité.

Croisons, recoupons et vérifions donc... Le laboratoire de M. Pas de tests de produits homéopathiques... Sevene Pharma ...Sauf que M. Frédérick Lemarchand, sociologue ou ventriloque ? On n’attendait plus que lui : Frédérick Lemarchand, sociologue , maître de conférences à l’Université de Caen, et membre du CRIIGEN a jugé utile de commenter dans une tribune publiée par Les Échos, les réaction suscitées par la dernière étude de Séralini et sa médiatisation outrancière. Que nous disent les rats du Professeur Séralini ? (1) Une inversion qui peut sembler bizarre- N’est-ce pas Séralini qui dit des choses à propos des rats nourris au maïs NK 603 ? - à ceux qui ne connaissent mal les procédés rhétoriques de la pensée postmoderne. La solution à la fin de l’article. Mes commentaires sont en bleu. Anton Suwalki Membre du Conseil scientifique du CRIIGEN, et donc informé de l’existence de l’étude publiée par l’équipe de Gilles-Eric Séralini sur le maïs transgénique NK603 depuis le début, j’avais choisi de ne pas prendre parti dans une controverse scientifique qui ne relève pas de la compétence liée à mon métier de sociologue.

Nb : il n’y a aucune impasse ! Anton Suwalki Sources : Herbicides, Glyphosate, Roundup, OGM, Séralini...par Wackes Seppi. EXCLUSIF : oui, tous les plantes cultivées sont des éponges à pesticides. Euh... Alors que nous subissons une extraordinaire agression médiatique sur les OGM qui seraient des poisons tels que la moitié de la population nord-américaine aurait dû disparaître à force d'en consommer, Imposteurs est en mesure de vous révéler une information qu'on vous a toujours cachée : oui, toutes les plantes cultivées sont des éponges à pesticides [1].

Une formule choc à usage idéologique et alimentaire À études « choc », formules « choc ». Éponges à pesticides ? « L’absence d’études menées sur le long terme et la répétition de l’absence de données sur les effets sanitaires des OGM commence pour moi à confiner à la malhonnêteté voire au crime intellectuel.

C'est là une vieille rengaine – fausse puisque les OGM ne sont pas tous faits pour... voir l'exemple du riz doré – sur laquelle on trouve déjà un compte rendu édifiant, y compris par la pauvreté de l'amalgame qu'a fait M. Prenons-le au mot Mais M. . [15] M. GM Maize, Rats and the lil Paper that Thought it Could « New Anthropocene. Pour quelques rats de plus | Bactérioblog. Pourquoi est-ce que l’étude #Seralini sur les #OGM m’énerve ?

Faudrait pas que le bon peuple puisse juger de la science concernant les #OGM directement (#openaccess, not)