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#Fiscalité #Dette

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A 75 % les riches partiront ? Mais qu’ils partent donc, ils ne nous manqueront pas. Ils sont très remplaçables, leur fortune est inutile à l’économie, et elle est un trouble à l’ordre public. Ah oui : en partant, qu’ils n’oublient pas de déposer leur passeport à la porte. Avant de la prendre. Les faux-semblants de la gauche serpillière Il y a suffisamment de raisons d’être affligé de la campagne du candidat « socialiste » — qui ne trouve mot à redire au traité MES [1] institutionnalisant les principes de l’« ajustement structurel », promet de renégocier le TSCG [2] avec la franchise d’un trafiquant de voitures d’occasion, fait des moulinets contre la finance avant de se rendre à Londres jurer l’innocuité de ses intentions réelles — il y a, donc, suffisamment de raisons d’affliction pour ne pas noter le moindre tressaillement du gauchomètre, dont tous les tracés étaient restés jusqu’ici absolument plats.

Les « impossibilités » du mauvais vouloir À négligeable, négligeable et demi... L'évasion fiscale coûte 350 milliards de dollars aux pays en voie de développement - Le fil télévision. Adam Smith Institute - the free-market think tank. Les Etats-Unis sont-ils à l’aube d’une décennie perdue ? Je prends les paris, le marché actions américain rebondira lorsque Ben Bernanke — papy Soupline, pour les intimes — annoncera formellement qu’il remet une couche d’assouplissement quantitatif. Ce sera la fête, le patron de la Fed sera enfin le héros qu’il a toujours cru pouvoir devenir.

Les cours grimperont pendant six semaines avant de chuter de 30% en quatre mois et de toucher un plancher deux ans plus tard et 45% plus bas. Comment je sais ça ? Car je suis Madame Soleil Levant et je prédis l’avenir des Etats-Unis. Retour sur le Quantitative Easing à la sauce japonaise C’est en effet du côté du soleil levant qu’il faut regarder pour voir le futur. Pour une fois, je ne jouerai pas au cynique, ou si peu… Oui, le succès a été au rendez-vous, je le reconnais.

Ensuite, les choses se sont gâtées. C’est ce qui attend les Etats-Unis, dont le futur a des airs de fatalité. Le Quantitative Easing made in Etats-Unis Remarquez, ça finira peut-être par lui porter chance. Comprendre la dette publique (en quelques minutes) Crise de la dette : et si on nous prenait pour des c… Oui, vous l’entendez partout, tous nos malheurs viennent désormais de cette fameuse dette qui oblige nos gouvernements à encore plus de rigueur, c’est à dire à nous demander de nous serrer la ceinture.

S’il n’y avait pas autant de dette, tout irait mieux, nous ne serions pas à l’aube d’une apocalypse économique. Ces fameuses dettes des pays industrialisés les plus riches, on vous l’a assez répété, sont en permanente augmentation : nous vivons au dessus de nos moyens. Ah ! Scélérats de citoyens ! Ils dépensent trop ! Oui, mais il y a des chiffres qui ne trompent pas, et qui peuvent nous intéresser… Par exemple, saviez-vous qu’entre 1993 et 2010, le taux d’imposition moyen des entreprises, calculé sur 80 pays, était passé de 38% à 25% ? Ah, oui, ça fait bizarre…parce qu’il faut rappeler que l’impôt sur les sociétés ce n’est pas comme l’impôt sur le revenu, avec l’impôt sur les sociétés, on ne taxe que les bénéfices. Une dette publique, c’est quoi ? La dette, un problème ? Dette: les “PIGS” vont-ils contaminer l’Europe ?

Il y a deux semaines, je décryptais sur le datablog d’OWNI l’exposition des banques françaises au risque de restructuration de la dette de la Grèce. Comme je le concluais : la Grèce à elle seule ne ferait pas tomber le secteur bancaire français, en lui infligeant – dans le pire des cas – des pertes d’environ 30 milliards d’euros. Mais en fait, la grande crainte ne réside pas dans la seule faillite de la Grèce, mais dans le risque de contagion à d’autres pays, et notamment les “PIGS” (acronyme de Portugal, Ireland, Greece, Spain) qui sont les pays les plus en difficulté actuellement.

Les déficits publics des PIGS Faisons tout d’abord un petit point sur la situation des comptes publics de ces pays. Les statistiques d’Eurostats nous permettent de tracer l’évolution des déficits publics ainsi que du ratio d’endettement. Portugal Quant à la situation de l’Irlande et de l’Espagne, les courbes semblent suggérer que le scénario est un peu différent. Nous n’avons donc pas tout vu… Espagne monde enggul;

Le prix de transfert, arnaque légale. 60% du commerce mondial serait désormais assuré par les échanges intra-groupe. Une technique qui peut facilement être détournée pour conduire des opérations d'évasion fiscale. Explications. Les comptables seraient-ils devenus les plus grands blanchisseurs de la planète, loin devant les trafiquants en tout genre ? A lire l’analyse du rapport d’audit réalisé sur les mines zambiennes de Mopani, plusieurs méthodes financières appliquées par les actionnaires soulèvent en tous cas des questions sur la qualité de la régulation financière mondiale.

En résumé, Glencore International AG et First Quantum Minerals Ltd utilisent les techniques comptables suivantes : Ces trois techniques ont un objectif unique : faire en sorte de payer le moins d’impôt possible, en jouant sur les variations des règles fiscales internationales. 60% du commerce mondial est réalisé intra groupe Une balle (pays A, coût 1 euro, taxé à 30%) – Une balle vendue (pays B, coût 10 euros, taxés à 30%)

Particuliers

La fraude sociale est d'abord le fait... des entreprises. Archives du blog » La dette publique, c’es. Sur cette question de la dette publique, il faut prendre de la hauteur, s’interroger sur son cadre général et se demander, par exemple : Pourquoi y a-t-il de la dette publique ? Autrefois, l’État n’était en déficit que quand il entreprenait une guerre coûteuse ; pourquoi les États sont-ils désormais en déficit permanent ? Pourquoi un État doit-il verser des intérêts quand il a besoin d’argent ? Est-il vraiment une entreprise comme les autres ? À qui paie-t-il des intérêts ? En France, deux tiers des bénéficiaires du service de la dette (remboursement du principal et versement des intérêts) se trouvent à l’étranger. À qui l’État verse-t-il des intérêts en France ? Pourquoi ne se pose-t-on jamais ce genre de questions ? PS : L’actualité est en train de confirmer rapidement ce que j’ai dit hier soir sur France 24 : Il y a à nouveau un petit jeu sur les Credit-default swaps (CDS).

Taxe Professionnelle

Taxes: cut & escape / Fiscalité : réductions, niches et paradis. Professionnels. Comment faire payer leurs dettes aux pauvres: les mettre en prison. Ils ont tous les vices et ils sont sans pitié. Ce sont les prédateurs de la finance: banques, sociétés de cartes de crédit et sociétés de recouvrement, qui ont encore trouvé, en ces temps de crise, un moyen juteux de presser encore plus les pauvres comme des citrons: la traque aux impayés, cela avec l'aimable participation de la justice. La crise, ce sont les riches qui la provoquent, et ce sont les pauvres, les travailleurs, qui en pâtissent.

Traduction de l'article: "Imprisoned for debt in America" par Nancy Hanover, publié par WSWS, le 16 juillet 2010 En prison pour dette en Amérique Aujourd'hui, aux Etats-Unis, on incarcère des gens qui n'ont pas payé leurs dettes, alors que la peine de prison pour dette a été abolie en 1933. "Ce qui est vraiment enrageant dans tout ça, c'est le manque total d'information. Derrière ces cas et des tas d'autres dans tout le pays, se trouvent des organismes de recouvrement et de rachats de dettes. Note perso: Grand emprunt : le keynésianisme au service... du libéralisme.

Pourquoi la majorité qui critiquait la dépense publique en vient-elle à faire l′éloge du grand emprunt ? En réalité, les députés qui en font la promotion réclament des dépenses d'investissement pour mieux rogner sur les dépenses de fonctionnement. Ou comment mettre le keynésianisme au service du libéralisme. Par Denis Clerc, fondateur d'Alternatives Economiques et conseiller de la rédaction Il faut que l'Etat dépense plus ! Contradictions au sein de la majorité, entre partisans et adversaires de la dépense publique ? Mais nos députés ne sont pas pour autant des adorateurs, ni même des défenseurs, du déficit. Et c'est là que le libéralisme rejoint l'interventionnisme. Denis Clerc Commentaires Commenter cet article. Ce n'est pas la Grèce qu'il faut exclure, c'est l'Allemagne ! -

La proposition allemande d’exclure la Grèce de l’Union monétaire européenne n’est finalement que le couronnement logique d’une longue suite de manifestations de mépris, entamée dans les années 90 avec le thème du « Club Med », alias les pays du Sud de l’Europe, incapables de se tenir à des règles de gestion macroéconomique rigoureuses (« allemandes »), poursuivies avec la proposition, entourée de rires gras, de vendre quelques îles grecques, et maintenant arrivées à leur terme avec la perspective finale de l’exclusion pure et simple.

Mais l’Allemagne perçoit-elle exactement jusqu’où aller trop loin ? Et pour l’instant the winner is : l’Allemagne. L’Allemagne, elle le répète assez, s’est saignée aux quatre veines et imposé des disciplines suffisamment douloureuses – rappelons-le, d’abord sous direction social-démocrate – pour que l’idée d’en abandonner maintenant les bénéfices lui semble juste une mauvaise plaisanterie. D’un certain point de vue, on peut la comprendre. Thèmes Fiscalité. Le blogue du QL: Peter Schiff contre les illettrés économiques d. Par Martin Masse Cette vidéo géniale reprend des extraits de débats diffusés en 2006 et 2007 sur les perspectives économiques et financières à venir aux États-Unis.

On y voit Peter Schiff prédire la crise actuelle et défendre un point de vue très pessimiste fondé sur une analyse autrichienne de la situation. Selon lui, l'endettement extraordinaire des Américains, le gonflement artificiel de la valeur des maisons et des actions, et les malinvestissements causés par une politique monétaire trop expansionniste ne pourront faire autrement que provoquer une récession. Peter Schiff est le président de la firme d'investissement Euro Pacific Capital, l'auteur du livre Crash Proof: How to Profit From the Coming Economic Collapse, et a également été conseiller économique de Ron Paul durant sa récente campagne à l'investiture présidentielle (voir cette autre entrevue récente avec lui).

Peut-on payer 50% d'impôt sur les revenus du travail ? La question exacte que pose spin590 est : « comment peut-on payer plus de 50% d'impôts sur les revenus du travail quand la tranche maximum est de 40% ? » Il s'interroge parce que« les défenseurs à tout prix du bouclier fiscal expliquent qu'il serait anormal de travailler plus de la moitié de l'année pour le fisc ». D'où son étonnement. Lafinancepourtous répond à cette contradiction. La réponse à cette question suppose tout d'abord que l'on s'accorde sur le sens du mot « impôt ». Si l'on y inclut non seulement l'impôt sur le revenu, mais également les contributions sociales (CSG/CRDS) et les charges sociales (cotisations maladie, maternité, vieillesse…), alors il est possible de payer en impôts plus de la moitié des revenus de son travail. Toutefois, les cotisations sociales font partie des prélèvements obligatoires mais ne sont pas assimilées à des impôts car elles ouvrent des droits. 50% d'impôt sur les revenus du travail.

Alors, d'où vient la confusion ? Les contributions sociales. Une page se tourne au Royaume-Uni, par Serge Halimi (Le Monde di. C’est une affiche de campagne inattendue. Le premier ministre travailliste Gordon Brown y proclame, jovial : « J’ai accru l’écart entre les riches et les pauvres. Laissez-moi continuer. » La citation est apocryphe, pas le fait évoqué. A la fin des années Thatcher-Major, les 1 % de Britanniques les plus riches détenaient 17 % du revenu national ; depuis que MM. Anthony Blair et Brown ont pris le relais, cette part a atteint 21 %. Le placard ironique conclut : « Votez conservateur. » Pour un peu, on imaginerait donc une bataille électorale à fronts renversés, avec des travaillistes en avocats des golden boys de la City pendant que leurs adversaires se soucieraient surtout des milieux populaires.

Des sujets longtemps bannis resurgissent ainsi dans le discours politique : classes sociales, intervention de l’Etat, syndicats (1). Ces derniers avaient également tout misé sur la déréglementation, fait de Londres l’alcôve des turpitudes financières.