Guatemala, le pays où la droite est reine, par Grégory Lassalle. On estime parfois que la multiplication de candidats issus du même bord politique fragilise leur camp.
Pas au Guatemala. Le deuxième tour de l’élection présidentielle, qui aura lieu le 6 novembre, verra s’affronter deux candidats de droite : le général Otto Pérez Molina, du Parti patriote (PP), et M. Manuel Baldizon, du parti Lider (Liberté démocratique rénovée). Lors du premier tour, le 11 septembre, le duo arrivé en tête — avec respectivement 31,8 % et 20 % des suffrages — a devancé un trio lui disputant la radicalité conservatrice : le libéral pro-militariste Eduardo Suger, du parti Compromis, rénovation et ordre (CREO), l’entrepreneur Mario Amilcar Estrada, de l’Union du changement nationaliste (UCN), et le pasteur évangélique Haroldo Caballeros, du parti Vision et valeurs (Viva).
Selon le chercheur Fernando Solis, « sur dix candidats, sept sont des entrepreneurs ou des représentants du secteur privé ». Discret sur ses sources de financement, M. Liens avec le crime organisé M. Si M. QUE PASA. El próximo lunes la Corema de Aysén votará -y presumiblemente aprobará- la primera etapa del controvertido megaproyecto hidroeléctrico.
Pero "la madre de todas las batallas" será la siguiente: el trazado de la línea de transmisión de 2.000 kilómetros. Cómo se prepara La Moneda, quiénes liderarán el proceso desde el grupo Matte y Endesa y qué compensaciones están dispuestos a realizar son interrogantes que recién comienzan a despejarse. Por Lorena Rubio | lorena.rubio@quepasa.cl. 05/05/2011 Result: 3 vts El miércoles 20 de abril, apenas una semana después de que HidroAysén entregara el tercer y último informe al comité de evaluación ambiental de la Undécima Región, una sorpresiva proposición desde La Moneda provocó alarma entre los socios del proyecto, las generadoras Endesa y Colbún. Desde el gobierno había surgido la posibilidad de "achicar" el proyecto que se instalará en las cercanías de los ríos Baker y Pascua para hacer más expedita y menos conflictiva su evaluación.
Le socialisme cubain, cinquante ans après. « Cuba, c’est comme une telenovela de cinquante mille épisodes dont chacun pense que le prochain sera le dernier », résume Fernando Ravsberg, journaliste à la British Broadcasting Corporation (BBC).
Avant d’ajouter, dans un sourire : « Mais elle continue toujours. » Cinquante-deux ans après le « triomphe de la révolution », le volet qui s’ouvre en 2011 débute par un événement et un double anniversaire. L’événement ? La tenue du sixième congrès du Parti communiste cubain (PCC). Non seulement le précédent rassemblement du parti date de 1997, mais le président de l’Assemblée nationale, M. Ricardo Alarcón, estime que l’enjeu des travaux de cette année n’est autre que de « sauver le socialisme cubain ». 1961 : les tensions avec le voisin du nord sont telles que plus personne, à Cuba, ne doute de l’imminence d’un débarquement piloté par Washington.
A priori, le calendrier du congrès ne suggère pas la réforme. Cuba pourrait donc « vraiment » changer ?
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