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Antoineamandine

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E-commerce : une évolution rapide des habitudes de consommation. KPMG s’est intéressé aux moyens de paiement utilisés par les clients de sites de e-commerce. Le rapport, qui a étudié les comportements de 10 000 adultes issus de 31 pays, constate une évolution rapide des habitudes de consommation et de paiement. Les consommateurs sont de plus en plus nombreux à préférer acheter en ligne plutôt que dans une boutique. Cette tendance est particulièrement visible au Royaume-Uni, où 74 % des personnes interrogées déclarent acheter leurs billets d’avion et leurs séjours de vacance sur des sites de e-commerce (contre 70 % de la population totale) ; 77 % y achètent également des CD, DVD, des livres et autres jeux vidéo (65 % au total).

Cependant les consommateurs restent très préoccupés par les questions de sécurité de leurs coordonnées bancaires. Les consommateurs déclarent faire confiance en tout premier lieu à leur banque (56 %), puis dans une moindre mesure à des sites de paiement sécurisé de type Paypal (30 %). E-commerce : les conséquences d’une... Si les Français sont friands des achats en ligne, ils restent intraitables sur la qualité du service attendu.

Et en cas de mécontentement, 66% d’entre eux boycottent définitivement le site « fautifs », comme le démontre un sondage de Youstice, créateur d’une application web qui permet aux entreprises de gérer les plaintes de leurs clients en ligne. Réclamations et commentaires web Et ces insatisfaits ne restent pas les bras croisés. 64% annoncent avoir la ferme intention d’effectuer une réclamation si le produit est endommagé, en panne ou s’il n’est pas fidèle à la description. Pour 66% l’envoi d’un mail de mécontentement est privilégié. 41% avouent qu’ils n’hésiteraient pas à aller parler de leur mauvaise expérience sur un site dédié ou à leur entourage.

Une affirmation à prendre en compte car les avis des internautes sont très consultés avant un achat. 55% des e-consommateurs les consultent et déclarent en tenir compte, bien plus que pour un magasin physique. La FEVAD - Fédération e-commerce et vente à distance. Nos habitudes de consommation traquées par les sites e-commerce. Ce billet a été lu 2574 fois.

À votre tour? Amazon, Fnac, Asos, La Redoute, 3 Suisses… le e-commerce est au top de sa forme. Pour cause, ces machines de guerre traquent, enregistrent et prédisent nos comportements d’achat. Comment font les sites e-commerce pour connaître nos habitudes de consommation, nos préférences? Amazon, par exemple, nous propose parmi les millions de produits neufs et d’occasions, une page d’accueil qui, mince alors! Comment Amazon connait-il nos habitudes d’achat? Pour connaitre nos habitudes d’achat, nos comportements, le site de e-commerce rassemble des données qui nous concernent à l’aide de cookies.

Un cookie est un petit fichier texte enregistré sur le disque dur de votre ordinateur, à la demande du serveur qui gère le site Web visité. Quels sont les outils de tracking utilisés? Le tracking est l’ensemble des moyens mis en œuvre pour suivre les moindres faits et gestes des internautes afin d’établir leurs profils. Amazon et ses pratiques commerciales. E-commerce : changements radicaux dans les modes de consommation. Le consommateur change. Il fait maintenant son shopping à toute heure, sur tablette ou smartphone ! Nous vivons une époque marquée par les avancées technologiques. Parmi elles, les smartphones et tablettes sont devenus notre premier moyen de communication, d’accès à l’information ou à tous types de contenus et de divertissement.

Nous les utilisons même pour effectuer nos achats, en ligne.Depuis que l’utilisation de son terminal mobile est devenue un réflexe pour rechercher et comparer les prix des produits/services avant de passer à l’acte d’achat, celui-ci est au cœur des préoccupations des détaillants. De plus, les consommateurs utilisent leurs téléphones pour s’informer et trouver de nouvelles inspirations et idées. Les commerçants s’adressent désormais à un nouvel individu : l’omniconsommateur De nos jours, peu de consommateurs s’inquiètent de savoir à quelle heure ferment les magasins.

L’omniconsommateur ne se connecte plus à des heures précises et dans certaines circonstances. Vente en ligne : l'outil "innovant" des Chambres d'agriculture. Shopping : la révolution du commerce en ligne ne fait que commencer (dossier : comment nous vivrons dans 20 ans) Guide_ecommerce_mai2013.pdf. Les circuits courts sur Internet. Envie de manger plus frais, plus goûteux, de consommer local, de connaître l’origine des aliments et la façon dont ils sont produits, de se réapproprier son alimentation... Nombreuses sont les raisons qui poussent les consommateurs à chercher de nouvelles façons d’acheter, ainsi que les producteurs qui cherchent à valoriser leur production et à diversifier leurs circuits de vente afin de dégager des compléments. Locavores, régions et terroirs font bel et bien partie du vocabulaire des consommateurs, le made in « près de chez soi » a décidément le vent en poupe. En effet, selon une étude du cabinet Xerfi, publiée mi-janvier, les produits alimentaires régionaux voire locaux ont un bel avenir devant eux.

Ce phénomène s’expliquerait en grande partie par les exigences de traçabilité des consommateurs, la montée en puissance du « consommer local » ou encore la philosophie relative au maintien de l’emploi dans sa région d’origine. Les réseaux nationaux Ceux qu’on ne présente plus Les originaux. La croissance de l'e-commerce se renforce : +13% en octobre. Le nombre d'achats en ligne réalisés par les Français en octobre est 16% plus élevé qu'un an plus tôt. Le panier moyen tombe à 76 euros.

Le chiffre d'affaires de l'e-commerce français enregistre une progression de 12,89% en octobre 2014 par rapport à octobre 2013. La croissance du secteur se renforce donc un peu plus et retrouve un niveau qu'elle n'avait pas atteint depuis près d'un an et demi, en mai 2013, lorsqu'elle s'élevait à 15,53%. En octobre, la valeur globale des paiements en ligne effectués par carte bancaire auprès des e-commerçants ayant opté pour les services de Worldline, Paybox Services, Payline de Monext et Ingenico Payment Services a atteint 3,82 milliards d'euros, en hausse de 7,15% par rapport à septembre.

Comme d'habitude, le nombre d'achats en ligne progresse encore plus rapidement que leur montant. Le montant moyen des achats en ligne perd lui 2,25 euros en un an pour s'établir à 76,05 euros en octobre 2014. Méthodologie : A lire aussi sur le JDN :