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Processus 2 :contrôle et production de l'information financière

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CMUP en fin de période | Technicien Comptable d'entreprises TCE "Ista cité de l'air El jadida" A) Définition des stocks : Il s’agit des biens ou services entrant dans le cycle d’exploitation de l’entreprise pour être vendus en l’état ou après production ou transformation, ou être consommés à la première utilisation. Ils doivent appartenir à l’entreprise, et celle-ci doit en être propriétaire au moment de l’inventaire, ce qui signifie en particulier que doivent être compris dans les stocks les produits en cours d’acheminement ou reçus, mais dont la facture n’a pas encore été comptabilisée, et à l’inverse doivent être exclus les produits qui ont été livrés aux clients mais non encore facturés.

B) Typologie : 1) Stocks et immobilisations : La qualification de stock pour un bien ne dépend pas de la nature du bien, mais de sa destination : sont considérés comme des stocks les biens destinés à être revendus, et non à être conservés dans l’entreprise pour y être utilisés (immobilisations). 2) Les stocks se différencient selon leur origine : A) Les indicateurs de gestion des stocks : Méthode du coût unitaire moyen pondéré ( CUMP ) - compta écritures. Premier entré, premier sorti (gestion) La méthode du premier entré, premier sorti, aussi désignée par son acronyme PEPS ou leurs équivalents en anglais First In, First Out ou FIFO est employée en gestion pour désigner une méthode de gestion des stocks, et en comptabilité une méthode de valorisation d'actifs.

En comptabilité, cette méthode s'oppose à celle du « dernier entré, premier sorti » (LIFO) et celle du coût unitaire moyen pondéré. En logistique, elle s'oppose entre autres à la méthode FEFO. Dans l'industrie, l'organisation des stocks en « premier entré, premier sorti » permet une gestion simple, mais impose une méthode de rangement adéquate. Si on utilise des étagères, le chargement doit se faire d'un côté, et le service de l'autre, ce qui implique qu'on puisse circuler des deux côtés.

Cette méthode est également très utilisée en comptabilité analytique, et d'une manière générale dans les techniques de gestion des stocks. Elle est dans ce cas souvent traduite par PEPS pour « Premier entré, premier sorti »[1]. Coût unitaire moyen pondéré. Le coût unitaire moyen pondéré (CUMP[1]), parfois nommé coût moyen unitaire pondéré (CMUP)[2] ou prix moyen pondéré (PMP), est une valorisation des sorties d'un poste comptable à un coût unitaire qui est la moyenne des coûts unitaires des entrées de la période (en y incluant le coût unitaire du stock initial). Cette moyenne des coûts unitaires est pondérée par les quantités en stock[3].

Enjeux du coût unitaire moyen pondéré[modifier | modifier le code] Contrairement à la méthode FIFO qui est toujours possible fiscalement ou comptablement, la méthode CUMP n'est possible fiscalement pour les immobilisations financières que chez les titres de participation, seulement si cette méthode reste moins favorable sur le plan fiscal pour l'entité que la méthode FIFO. Démarche du coût unitaire moyen pondéré[modifier | modifier le code] Généralités sur la démarche[modifier | modifier le code] Deux démarches sont possibles : Le calcul du CUMP après chaque période.Le calcul du CUMP après chaque entrée.

L'évaluation des stocks en comptabilité. En comptabilité, tous les stocks doivent être évalués, qu’il s’agisse de marchandises, de matières premières, d’en cours de production ou encore de produits finis. Cette évaluation est importante car elle permet de déterminer la valeur globale des stocks figurant en comptabilité au bilan (qui ont été comptés au préalable lors de l’inventaire). 1. L’évaluation des stocks en comptabilité : règles générales Les stocks de matières premières, marchandises et approvisionnements doivent être évalués à leur coût d’acquisition.

Les stocks de produits (en-cours ou finis) doivent, quant à eux, être évalués à leur coût de production. La notion de coût d’un stock est plus « étendue » que celle d’un prix d’achat : en effet, contrairement au prix d’achat, il comprend tous les coûts d’acquisition, de transformation et également tous autres coûts supportés pour amener les stocks à l’endroit et dans l’état où ils se trouvent. 2. Coût d’acquisition = prix d’achat + frais accessoires d’achat A. B. 3. A. B. C. Les travaux d'inventaire en comptabilité. Lorsqu’une entreprise approche de sa date de clôture, elle doit organiser des travaux d’inventaire comptables. Ces derniers doivent être correctement préparés et suivent une démarche quasi-universelle. Compta-Facile vous apporte ses conseils sur l’organisation des travaux d’inventaire en comptabilité, également appelés travaux de clôture de l’exercice.

La préparation des travaux d’inventaire comptables Avant de se lancer dans la démarche des travaux d’inventaire, il convient d’avoir saisi l’ensemble des pièces justificatives de l’exercice comptable (saisie des factures d’achat, des factures de ventes, comptabilisation des charges de personnel, comptabilisation des déclarations de T.V.A). Voici nos conseils à ce niveau : Le premier contrôle à effectuer à ce stade est de rapprocher les sommes figurant sur les balances auxiliaires et grands-livres auxiliaires (clients et fournisseurs) avec celles figurant sur la balance générale (compte 411 et 401).

La mise en oeuvre des travaux d’inventaire. Contrôle fiscal : au 1er janvier 2014, vous aurez l'obligation de présenter une comptabilité informatisée. Cette nouvelle disposition est issue de la 3e loi de finances rectificatives pour 2012 (loi 2012-1510 du 29 décembre 2012). La copie des fichiers que vous devrez remettre au contrôleur devra être conforme aux normes fixées par l'arrêté du 29 juillet 2013. Cette obligation s’appliquera dès le début des opérations de contrôle. A compter du 1er janvier 2014, vous devrez donc mettre à la disposition du vérificateur toutes les données, les traitements et la documentation lui permettant d'effectuer ces investigations par la voie informatique.

Compte tenu de la complexité technique de ces normes, vous devez donc vous rapprocher au plus vite de votre éditeur de logiciels comptables afin de déterminer, en pratique, comment satisfaire à cette obligation. En cas de refus de transmettre les fichiers dématérialisés de la comptabilité, vous pourrez être taxé d'office car cela caractérise une opposition à contrôle fiscal. Sophie Valazza, juriste.