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Dexia

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Avant-première du film "Dexia, démocratie confisquée" ! ZINTV vous invite à l’avant-première du film "Dexia, démocratie confisquée", un film réalisé par Valentin Fayet et produit par ZINTV, avec le soutien du CADTM, d’Attac Bruxelles 2 et d’Attac Liège, et de nombreux contributeurs (les CoPeC). Evènement Facebook : Synopsis Nous savons que le monde de la politique et de la finance font bon ménage.

Qui se ressemble s’assemble, comme dit le dicton. Mais qu’en est-il de la souveraineté populaire ? Ce film, qui aurait pu s’intituler Dexia quand tu nous tiens... ou Dexia ne meurt jamais, met en image cette incroyable histoire et ouvre le débat sur l’état de notre démocratie, sa définition, son respect (ou non respect), sa nécessité voire sa pertinence aujourd’hui. Souvenons-nous... En décembre 2011, ATTAC et le CADTM introduisaient un recours en justice contre l’État Belge. La branche saine de Dexia est depuis devenue Belfius. Trailer du film "Dexia, démocratie confisquée"

Cyberaction Les salaires des dirigeants de Dexia doivent être revus à la baisse. Cette cyberaction est maintenant terminée Mise en ligne du 28/01/2014 au 03/03/2014 « Inapproprié », « indécent », « choquant » : les réactions se multiplient après la révélation de l\'augmentation du salaire perçu par les trois dirigeants de Dexia, la banque franco-belge en cours de démantèlement. Bilan de la cyberaction : Sous la pression, Dexia réduit les salaires de ses diri Présentation de la cyberaction : Selon le Journal du dimanche du 19 janvier cité par Le Monde, le directeur financier Pierre Vergnes, le responsable des risques Marc Brugière et le secrétaire général Johan Bohets – nommés à la mi-décembre au comité de direction de la banque – ont vu leur rémunération passer de 340 000 euros à 450 000 euros, soit une hausse de plus de 30 %, au 1er janvier.

Le groupe socialiste à l'Assemblée a également réagi, se disant « profondément choqué par ce comportement. Cyberaction Les salaires des dirigeants de Dexia doivent être revus à la baisse. Sauvée par l'Etat, Dexia augmente trois dirigeants de 30% Piscine intérieure, sauna, hammam et salle de sport. Le luxueux château Saint-Just, dans l'Oise, a accueilli jeudi et vendredi 70 cadres de Dexia pour un "séminaire stratégique".

Deux jours et une nuit en pension complète pour un coût d'environ 20.000 euros. La banque a mis les moyens pour introniser les trois nouveaux dirigeants nommés mi-décembre. Mais elle a oublié de dire que leurs salaires avaient été augmentés de 30%! Pierre Vergnes et Marc Brugière remplacent Philippe Rucheton — qui partira en mars — et Claude Piret, en cours de négociation pour quitter la banque. En interne, ces augmentations font grincer des dents. Chez Dexia, les effectifs sont tombés à 1.300 personnes contre 22.000 il y a trois ans. Matthieu Pechberty - Le Journal du Dimanche. Le CADTM et ATTAC France soutiennent les collectivités publiques en procès contre Dexia et exigent la mise en faillite de la « bad bank »

Dexia Crédit Local (DCL) fait l’objet en France d’au moins 80 plaintes intentées par les collectivités locales. En cause, ses prêts « toxiques » reposant sur des indices plus spéculatifs les uns que les autres : la parité entre l’euro et le franc suisse, mais aussi le yen, le dollar, l’inflation, les indices de la courbe des swaps SwapSwaps Vient d’un mot anglais qui signifie « échange ». Un swap est donc un échange entre deux parties. Dans le domaine financier, il s’agit d’un échange de flux financiers : par exemple, j’échange un taux d’intérêt à court terme contre un taux à long terme moyennant une rémunération. Les swaps permettent de transférer certains risques afin de les sortir du bilan de la banque ou des autres sociétés financières qui les utilisent. Ces produits dérivés sont très utilisés dans le montage de produits dits structurés., jusqu’’au cours du pétrole ! 4 moyens d’analyse Les termes du contrat : termes abusifs, taux usuraires... Le coût de Dexia intégré dans le déficit de la France.

Dexia : la garantie de l'Etat belge contestée en justice. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Jean-Pierre Stroobants ((Bruxelles, correspondant)) Deux députées écologistes belges et diverses associations (dont Attac et le Comité pour l'annulation de la dette du tiers monde) devaient annoncer, jeudi 28 février, à Bruxelles, le dépôt d'une plainte devant le Conseil d'Etat concernant la banque résiduelle franco-belge Dexia. Ils réclament l'annulation de la garantie apportée par l'Etat belge aux créanciers de Dexia Crédit Local (DCL), soit un engagement, pour la Belgique, de 43,7 milliards d'euros, sans compter les intérêts. La France s'est, elle, engagée à hauteur de 38,7 milliards d'euros et le Luxembourg pour 2,55 milliards. Dexia a dû être sauvée trois fois grâce à l'argent public depuis 2008.

La Convention garantie, résultant d'un arrêté de décembre 2012, serait illégale, selon les plaignants, notamment parce que le Conseil d'Etat n'a pas été consulté préalablement. Au quatrième trimestre de 2012, Dexia a encore subi une perte de 475 millions. Dexia. Recours contre la garantie a Dexia. Le poids excessif de ces garanties a d'ailleurs contraint l'actuel Ministre belge des Finances, sous pression des agences de notation, à annoncer le 18 décembre 2011 que les garanties seraient réduites de moitié mais aucune modification de l’arrêté attaqué n'est annoncée.

La violation de la Constitution par cet acte de l'exécutif constitue un des motifs d'annulation puisque les droits du Parlement fédéral ont été manifestement violés. A aucun moment, nos élu-e-s n’ont été consulté-e-s sur l'octroi de ces garanties. En France, une loi a conditionné la délivrance de ces garanties, fixé une franchise de 500 millions d’euros et défini un plafond maximum d’intervention de l’Etat limité à 70% des garanties, contrairement à l'arrêté belge qui offre une garantie aux créanciers sans réelle condition.

Contacts : ATTAC Bruxelles 2 ( ) : Franco Carminati, président, franco.carminati@skynet.be , 00 32 475 723 448. Dexia (1) : Bombe à retardement financière et démocratique. Après avoir sauvé les banques de la faillite, les États ont vu leur dette publique exploser. Les pouvoirs publics sont maintenant sous la pression des marchés financiers et des autorités européennes (et, dans certains cas, du FMI) pour imposer des plans d’austérité afin de trouver les ressources financières nécessaires au remboursement de cette dette. Même si sa situation est moins dramatique que celle de la Grèce, la Belgique ne fait pas exception. Sa situation pourrait même encore se dégrader si la garantie d’État de 54,45 milliards d’euros octroyée en octobre 2011 à certains créanciers de Dexia était activée. C’est pourquoi trois associations (CADTM, Attac Bruxelles 2 et Attac Liège), représentées par les avocats Pierre Robert et Olivier Stein, ont introduit le 23 décembre dernier un recours devant le Conseil d’État afin d’annuler l’arrêté royal octroyant ces garanties [1].

Le 10 octobre 2011, le groupe Dexia tombe en faillite pour la deuxième fois en trois ans. Un montant exorbitant. Dexia : un puits sans fond. Dexia : un puits sans fond. Le recours contre Dexia a besoin de votre soutien #cadtm #attac #dexia #begov #belgique #bruxelles | Occupy Belgium. Dexia : les impayés des collectivités ont bondi depuis la fin 2011. Emprunts toxiques : les collectivités multiplient les recours en justice. Les Islandais du 42 face à Dexia, fleuron de l’industrie bancaire. "Une municipalité est une entreprise" Dit l’ancien maire UMP du bled ! Voilà le coeur du problème et de la vision généralisée désormais de la fonction publique, des fonctionnaires. J’ai fait les frais de cette vision en travaillant en emploi aidé (CAE), bonne et responsable pour travailler 2 ans et demi puis jetée !

C’est annexe dans le marasme ambiant mais c’est une implication et de la dette et de la vision uniquement économique de la gestion des mairies. Quand l’état n’aide plus, on jète. Et que dit ce maire qui s’est planté "faute de savoir" comme il l’admet lui-même, hé bien il faut s’en remettre à nouveau aux marchés, PAYER et reprendre un crédit ailleurs. A quand une reponsabilité judiciaire aussi bien pour les banques qui créent de la misère que pour les élus qui engagent avec légèreté l’avenir des concitoyens ? Et qu’on arrête de nous faire suer avec la fraude du petit travail au noir ou à la CAF. Mais s’il n’y avait que les communes touchées par ces prêts pourris. Env. Spé. - PEND0NS LES BANQUIERS !!!