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Alicia1912

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Réchauffement : les 10 points marquants du rapport du GIEC. Les experts du climat ont publié, dimanche, le troisième volet de leur cinquième rapport sur les mesures pour limiter le réchauffement de la planète. Synthèse de ces travaux colossaux. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Une compilation de près de 20 000 études et projections scientifiques par plus de 800 chercheurs. Voilà la somme que représente le cinquième rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) qui vient d'être intégralement achevé et s'avère bien plus alarmant que la précédente édition, en 2007.

Après un premier volet qui concernait l'état des connaissances scientifiques sur le réchauffement, publié fin septembre 2013, et un deuxième sur l'impact et l'adaptation du changement climatique en cours sur les sociétés et écosystèmes, fin mars, la troisième partie a été révélée, dimanche 13 avril, et concerne cette fois les mesures d'atténuation de ce dérèglement climatique. Jusqu'à 4,8 °C d'augmentation de la température d'ici à 2100.

Climat : les deux tiers du chemin vers un réchauffement de 2 °C ont été parcourus. Magnétosphère. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La magnétosphère est la région entourant un objet céleste dans laquelle les phénomènes physiques sont dominés ou organisés par son champ magnétique[1] . La magnétosphère terrestre est située au-delà de l'ionosphère, c'est-à-dire au-dessus de 800 à 1 000 km d'altitude. S'il n'y avait pas de vent solaire, le spectre magnétique de la Terre serait semblable à celui d'un aimant droit isolé. En réalité, la magnétosphère agit comme un écran et protège la surface terrestre des excès du vent solaire, nocif pour les poumons. Elle s'oppose au vent solaire comme une culée de pont dévie le courant d'une rivière. Vue artistique de la magnétosphère déviant le vent solaire (l'échelle n'est pas respectée) Histoire du concept[modifier | modifier le code] La magnétosphère de la Terre a été découverte en 1958 par la sonde Explorer 1 durant les recherches de l'année géophysique internationale (IGY, International Geophysical Year).

Atlas mondial des émissions de CO2. Comment expliquer que l'Antarctique gèle un peu plus chaque année? Dans le cadre de l'opération "Le Climat et Moi", vous nous avez posé vos questions sur le climat. L'un ou l'une d'entre vous s'est demandé comment expliquer que l'Antarctique, comme le prouvent les photos de la NASA, gèle un peu plus chaque année ? Avant de répondre à cette question qui peut paraître paradoxale au premier abord.

Commençons par préciser de quoi on parle. Car quand on dit que l'Antarctique gèle un peu plus chaque année, on ne parle pas du continent couvert de glace mais bien de l'océan austral qui l'entoure. Pôle Sud, Pôle Nord de quoi perdre la boussole La situation n'a rien à voir avec celle de l'arctique: 14 millions de kilomètres carrés en hiver, 7 millions en été.

Réchauffement global de la planète et banquise en extension, un paradoxe? Des vents violents mais aussi un océan plus chaud L'autre explication, c'est que les plateformes de glaces flottantes fondent au contact des eaux de plus en plus chaudes de l'océan. COP21 - Conférence des Nations unies sur les changements climatiques. Glaciation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Représentation artistique de l'englacement lors du Dernier Maximum Glaciaire (DMG) selon Ice age terrestrial carbon changes revisited de Thomas J. Crowley[1]. Historique des recherches sur les glaciations[modifier | modifier le code] Cycles Glaciaires-Interglaciaires du Pléistocène illustrés par les variations du carbone atmosphérique mesurées dans les carottages glaciaires (subdivisions nord-américaines et européennes et tentative de corrélations) Les glaciations ont d'abord été mises en évidence grâce à leurs manifestations géomorphologiques (moraines, blocs erratiques) dans les vallées alpines à la fin du XIXe siècle.

La glaciation de Würm, manifestation locale de la dernière période glaciaire, a été définie par Albrecht Penck et Eduard Brückner au début du XXe siècle[2], qui lui ont donné le nom d'un tributaire du Danube, la Würm[3], comme les glaciations alpines précédentes (Riss, Mindel, Günz, Donau). La Tamise gelée en 1677.