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Féminisme et pop culture

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L’injonction à lutter contre l’oppression. J’étais une Manic Pixie Dream Girl – Laurie Penny. Les hommes grandissent en espérant être le héros de leur propre histoire.

J’étais une Manic Pixie Dream Girl – Laurie Penny

Les femmes grandissent en espérant être le second rôle dans celle de quelqu’un d’autre. Les femmes de droite d'Andréa Dworkin. Les femmes de droite d'Andréa Dworkin " Marylin Monroe a écrit, peu avant sa mort (...) : "De quoi ai-je peur ?

Les femmes de droite d'Andréa Dworkin

Pourquoi ai-je si peur ? Est-ce que je pense que je suis incapable de jouer ? Je sais que je suis capable mais j'ai peur. Les vitamines du bonheur — De la bienveillance agressive. Usulmaster - Radio Usul avec Mar_Lard. Sexisme chez les geeks : Pourquoi notre communauté est malade, et comment y remédier. J’aimerais préciser quelque chose.

Sexisme chez les geeks : Pourquoi notre communauté est malade, et comment y remédier

Quand Mar_Lard a publié son article sur Joystick en août dernier sur ce blog, nous avons décidé de publier tous les commentaires afin que tout le monde puisse se rendre compte de la violence des réactions. Je suggère à ceux qui voudraient réitérer ce genre d’exploits (histoire de contribuer à la démonstration de Mar_Lard, merci les mecs) de lire la charte de modération désormais en vigueur sur ce blog au lieu de perdre leur temps. [EDIT] Devant le nombre de confusions, 2ème précision: ce blog appartient à AC Husson mais l’auteure de cette contribution est Mar_Lard. Si vous voulez la contacter par mail, je transmettrai. Attention, cet article inclut de nombreux exemples susceptibles de choquer : images d’une grande violence ou sexuellement explicites, insultes et propos à caractère fortement sexiste/homophobe/raciste, menaces de violences sexuelles et autres.

Joystick : apologie du viol et culture du machisme. Retour de Mar_Lard, pour un coup de gueule contre Joystick, un magazine de référence sur les jeux vidéo.

Joystick : apologie du viol et culture du machisme

(TRIGGER WARNING : Cet article contient des références explicites au viol et aux agressions sexuelles.) EDIT: le magazine Joystick a publié une réponse sur sa page Facebook. Laissez-moi vous conter une histoire. Hier, alors qu’en route pour visiter sa Mère-Grand elle attendait innocemment son train, la douce et pure @NeukdeSogoul s’aventura dans la forêt obscure du kiosque à journaux. Au lieu de se diriger immédiatement vers le rayon Féminins comme une bonne petite fille, elle s’est égarée du coté des magazines de jeux vidéo, la vilaine. Et elle fut édifiée. Comme elle sait que je kiffe la misogynie et encore plus dans mes jeux vidéo, elle m’a signalé le dossier en question. Donc on va en parler. Non, aujourd’hui on cause du climat toxique soigneusement perpétué par l’industrie, la presse et les communautés du jeu vidéo pour exclure nos vagins crados de leur joyeux petit club macho. C'est toi l'champion, Gaston !

Nous avons profité du long week-end pour revoir "La Belle et la Bête" de Disney.

C'est toi l'champion, Gaston !

C'est un film que j'aime bien depuis sa sortie, quand j'étais une petite fille (les mauvaises langues diront que j'ai pas beaucoup grandi depuis...). Mon hobbit l'aime bien aussi, vu qu'il aime bien les trucs de fille en général. Le personnage de Belle change un peu des princesses Disney. Intouchables (2011) : L’intouchable domination masculine. Si le racisme de ce film et la représentation qu’il donne des rapports entre les classes ont pu être l’objet de critiques de la part de la presse française (Libération notamment), son sexisme structurant a quant à lui été systématiquement ignoré alors qu’il est pourtant à bien des égards le moteur de la narration.

Intouchables (2011) : L’intouchable domination masculine

En effet, Intouchables nous conte l’histoire de deux hommes que tout oppose : l’un est tétraplégique, l’autre est valide et sportif ; l’un est blanc, l’autre est noir ; l’un est riche, l’autre est pauvre ; l’un loge dans un hôtel particulier à Paris, l’autre est un jeune des banlieues qui a fait de la prison ; l’un écoute de la musique classique, l’autre Earth, Wind and Fire, etc.

Nouveaux pères (I), de « Monstres et Cie » à « Moi, Moche et Méchant » : apprendre à être doux. Depuis le début des années 2000, la figure du « nouveau père » est de plus en plus présente dans les médias.

Nouveaux pères (I), de « Monstres et Cie » à « Moi, Moche et Méchant » : apprendre à être doux

Contrairement à l’« ancien », ce père « moderne » est plus impliqué dans la relation qu’il a avec ses enfants et s’investit plus dans l’accomplissement des charges parentales. Malheureusement, comme le montrent deux études récentes (menées en France et aux États-Unis)[1], cette transformation des représentations de la paternité est loin de se traduire par une révolution dans les faits. Le partage égalitaire des tâches est loin d’être atteint, le sous-investissement paternel étant encore largement la règle. Il n’empêche que ce progrès notable dans les représentations mérite tout de même qu’on s’y attarde. On se concentrera ici sur l’évolution de ces représentations dans le cinéma d’animation. Examinons maintenant en détails comment ces différents films ont réagi à cette évolution des mentalités concernant la paternité en divisant notre étude en quatre chapitres :