background preloader

Etude de prison

Facebook Twitter

La Philosophie dans le boudoir. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Philosophie dans le boudoir

La Philosophie dans le boudoir ou Les instituteurs immoraux est un ouvrage du marquis de Sade, publié en 1795. Le sous-titre est Dialogues destinés à l'éducation des jeunes demoiselles. Résumé[modifier | modifier le code] Étude de l'œuvre[modifier | modifier le code] Un enseignement en alternance[modifier | modifier le code] Le livre n’est pas qu’une longue description de gestes et d’actions. La théorie[modifier | modifier le code] Au-delà de la crudité du texte et de son thème libertin, on y trouve une diatribe philosophique, presque un appel aux armes, mettant en lumière les idées du Marquis par rapport à la liberté, la religion, la monarchie, et les mœurs. La réflexion libertine exposée par Sade part du principe que la Nature régit l’univers et ses composants. . « Puisque nous croyons un culte nécessaire, imitons celui des Romains. » À partir de ce principe, la Société perd évidemment tous ses droits.

Marseille. Aux Baumettes, la vétusté, la crasse, le racket et la violence. Partager JUSTICE - "Si les Baumettes n'ont pas encore explosé, c'est seulement grâce à la Bonne Mère.

Marseille. Aux Baumettes, la vétusté, la crasse, le racket et la violence

" Surveillant au centre pénitentiaire de Marseille, Gérard Migliorini ne voit pas d'autre explication au calme relatif de la prison la plus dégradée de métropole, où s'entassent surtout des petits délinquants et des personnes en attente de jugement. Jeudi 6 novembre, l'établissement a fait l'objet d'une procédure d'urgence lancée par le contrôleur général des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue. Dans une série de recommandations publiées au Journal officiel, le contrôleur des prisons dénonce une "violation grave des droits fondamentaux", une formule qui ne suffit pas à témoigner de l'état "désastreux" des lieux, comme le révèle notre diaporama. En quatre ans, Jean-Marie Delarue et ses équipes ont visité les trois-quarts des 190 prisons françaises. Citadelle de Belle-Île-en-Mer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Citadelle de Belle-Île-en-Mer

La citadelle de Palais, située à Belle-Île-en-Mer, domine la ville de Palais. C'est un fort dominant un havre qui est attestée très anciennement sous le nom de Balaë ou Pallaé, d'origine obscure[2], qui a donné son nom à la ville de Palais (et non du Palais, en raison de cette étymologie). Il a aussi servi de prison aux douze complices de la Voisin, compromise dans l'affaire des poisons, ainsi que du fils de l'homme politique haïtien Placide Toussaint-Louverture.

Abandonné par l'armée, il a été vendu en 1960 et entièrement restauré par deux particulier, M. et Mme André Larquetoux. Histoire[modifier | modifier le code] Fouquet y fit entreprendre par Daigremont d’importants travaux. Vauban, en 1683, les trouve presque finis et conçoit un projet composé d’une puissante enceinte de ville de six bastions, s’appuyant sur une citadelle qui, seule, sera réalisée.

La citadelle s’est construite en cinq étapes : Île du Diable. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Île du Diable

L'île du Diable est l'une des trois îles du Salut, baptisées ainsi par Jean-Baptiste Thibault de Chanvalon (ou Chanvallon) en 1763, en Guyane, lorsqu'il y installe des colons survivants des épidémies qui sévissent sur la côte de Kourou. L'île du Diable aurait été baptisée ainsi par les Indiens galibis, qui ont fait de cet îlot rocheux dépourvu de végétation la résidence de l'Iroucan, c'est-à-dire de l'esprit du mal. Rattachée administrativement à la commune de Kourou, cette petite île rocheuse, longue de 1 200 mètres et large de 400, aujourd'hui recouverte de palmiers, a servi de bagne pour les prisonniers politiques de France et les détenus de droit commun.

Historique[modifier | modifier le code] L'île du Diable. En 1866, il ne reste plus qu'un seul condamné, Tibaldi, envoyé en déportation en 1857 pour complot contre l'empereur. En 1895, la détention d'Alfred Dreyfus lui redonne sa vocation première : un lieu de déportation politique. La 1ère « prison d’été » voit le jour en Hongrie. Le gouvernement hongrois qui vient de faire voter par le parlement un nouveau code pénal beaucoup plus répressif a trouvé une parade à la surpopulation carcérale.

La 1ère « prison d’été » voit le jour en Hongrie

La prison de Vac, 20km au Nord de Budapest Comment mener une politique pénale répressive qui emprisonne pour des délits mineurs tout en réduisant la charge que représentent les détenus pour la société ? Désormais, c’est à la belle saison et dans des prisons dénuées d’électricité que les personnes condamnées à de courtes peines devront payer leur dette à la société. Ce régime « au pain sec et à l’eau » dans des prisons minimalistes, sans lumière ni chauffage, concernera les hommes âgés de moins de 55 ans et condamnés à des peines comprises entre 3 et 6 mois, a précisé l’attaché de presse du service pénitentiaire.

Le premier établissement de ce type a ouvert ses barreaux à Nagyfa, dans le sud du pays. Un « grave problème de surpopulation carcérale » Un nouveau code pénal plus répressif.

Luxieuses prison

Prison asie. Prisons françaises. Prisons américaines.