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Sémio. Sources doc SIC et sémio. Sociologie. Reel vs virtuel. Philo. Victimes du clic, nous sommes devenus des « prolétaires affectifs » du web. Par Barbara Chazelle, France Télévisions, MédiaLab et Prospective La circulation numérique de nos émotions est un élément essentiel de l’économie du web social.

Victimes du clic, nous sommes devenus des « prolétaires affectifs » du web

Nos interactions en ligne deviennent les ressorts d’un « capitalisme numérique affectif » dont nous sommes les travailleurs bénévoles, promesse d’une meilleure expérience en ligne mise à part. Mais à qui profitent nos affects et comment sont-ils exploités ? Les enseignants-chercheurs Camille Alloing et Julien Pierre analysent et critiquent ce phénomène dans leur ouvrage « Le web affectif, une économie numérique des émotions » (INA Editions). Emotions, affects : quelles sont leur valeur économique ?

L’identité au temps de la postmodernité : de l’usage du concept d’ « hybridité » Résumé : La prise en compte et le développement des questions liées à des communautés souvent stigmatisées en raison de leur ethnie, leur genre ou leur sexualité coïncident avec un temps appelé « postmodernité ».

L’identité au temps de la postmodernité : de l’usage du concept d’ « hybridité »

Ce terme, utilisé dès les années 50 dans le monde anglo-saxon, s’est popularisé dans les années 80 après la publication d’un essai de Jean-François Lyotard, intitulé La condition postmoderne. Rapport sur le savoir (1979). Les sciences humaines et sociales à l’ère du numérique : approches critiques. La revue Socio lance un appel à contributions sur la thématique « Les sciences humaines et sociales à l’ère du numérique : approches critiques ».

Les sciences humaines et sociales à l’ère du numérique : approches critiques

Le dossier est coordonné par Dana Diminescu et Michel Wieviorka. Les intentions de contributions (titre, résumé de deux pages et bibliographie) doivent être envoyés à Socioavant le 31 octobre 2013. Les articles devront être remis pour le 31 janvier 2014. Malgré – ou peut-être grâce à – une position de marginalité institutionnelle, une délimitation disciplinaire incertaine, et un intitulé dont la définition est souvent contestée, les « humanités numériques » (digital humanities) suscitent aujourd’hui un enthousiasme certain.

Ces questionnements ont donné lieu à la publication d’un certain nombre de « manifestes », dessinant un programme militant de « refondation » des sciences humaines et sociales pour tenir compte de ces bouleversements4. La revue Socio souhaite prendre part à ce débat, en adoptant une posture explicitement réflexive. Qu’est-ce que la Serendépité – Interview Henri Kaufman. Henri Kaufman nous parle de Serendépité en amont de la sortie de son futur livre pour les enfants : « Les aventures de Mister Serendépity ».

Qu’est-ce que la Serendépité – Interview Henri Kaufman

Ce livre va sortir un livre à la fois en version papier classique, mais aussi numérique afin de donner plus d’interactivité : - Des Textes lus par la petite fille d’Henry - Des Animations - Des Vidéos - … Ce projet est un exemple de Serendépité, car justement il a rencontré l’illustratrice par hasard dans le train ! Qu’est-ce que la Serendépité (ou Serendipty en anglais) c’est « trouver ce que l’on ne cherche pas ». Ce sont des découvertes, des rencontres, des faits, qui sont dus au hasard mais qui sont exploités correctement grâce à l’intelligence humaine (cela peut être aussi des erreurs initiales qui permettent aussi de trouver une vraie solution).

Culture libre : artistes, nous aurons besoin de vous… – Page 42. Il y a de l’eau dans le gaz entre la création artistique et internet : chasse au piratage, fermeture des forums, projets de durcissement du droit d’auteur en France comme à Bruxelles… Avec l’indéfectible soutien de la politique, l’industrie culturelle regagne peu à peu le terrain qu’elle avait cédé et entend bien l’étendre encore, menaçant chaque jour davantage l’idée même d’une culture librement partagée.

Culture libre : artistes, nous aurons besoin de vous… – Page 42

La question dépasse largement le cadre du piratage : ce sont deux projets de société, radicalement opposés, qui s’affrontent sur le terrain de la création, d’internet et des libertés individuelles. D’un côté les industries culturelles – aidées par l’écrasante majorité du personnel politique qui n’entend que la sauvegarde d’intérêts économiques pourtant de plus en plus concentrés – qui se cachent derrière la protection des artistes pour satisfaire leur soif de contrôle des flux et verrouiller leurs sources de revenus.

Contre le storytelling de l’industrie, il faut agir. 3 février 2015. Mes Datas et Moi : l'Observatoire. [suite du 1er épisode consacré à la description des phénomènes d'hyper-communication & d'hyper-connexion numérique] Le développement psychologique des êtres humains explique en partie la difficulté que les plus jeunes d’entre eux peuvent éprouver à contrôler leur engouement pour le numérique.

Mes Datas et Moi : l'Observatoire

Pourtant, alors qu’ils traversent une période délicate de mutation psychique et physique, enfants et adolescents figurent parmi les populations les plus ciblées par les concepteurs et les publicitaires. Les « Millenials » ou génération Z sont en effet considérés comme des personnalités plus adaptables et plus habiles que leurs aînés dans le maniement de ces nouveaux outils. Des « Millenials » pas si à l’aise avec le numérique Contrairement aux apparences, plusieurs études révèlent que la jeune génération est pour une bonne part déstabilisée voire sérieusement perturbée par ses pratiques numériques, notamment s'agissant de sa scolarité.

Notre cerveau, première victime consentante.