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OFFICES DE TOURISME

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Les touristes en Office de Tourisme : savons-nous ce qu’ils attendent ? Les études sur les comportements des touristes sont nombreuses : comment réservent-ils leurs séjours ? Sur quels sites se rendent-ils ? Restent-ils connectés pendant leurs vacances ? Vous l’aurez compris, l’information ne manque pas ! Mais, dans le cadre de mon mémoire et de mon stage avec Mathieu Daubon à OTF, lorsqu’il a fallu creuser sur les comportements et les attentes des touristes en Offices de Tourisme, les choses se sont un peu compliquées… Est-ce que les touristes réservent leurs séjours sur le site d’un Office de Tourisme ? Alors ni une ni deux, j’ai pris mon ordinateur et j’ai rédigé un questionnaire sur Google Form, divisé en trois parties : la préparation du séjour, la période sur place et l’Office de Tourisme. Vous voulez en savoir davantage ? Concrètement, qu’attendent-ils ?

Au moment de la réservation, 78% des répondants affirment réserver sur un site de voyages comme Booking, Airbnb ou Expedia alors que 14% le font sur le site d’un Office de Tourisme. Et leurs attentes ? Quel avenir pour l'office de tourisme pour éviter l'uberisation et/ou la kodakisation ? Chers lecteurs. Durant ce mois d’août, la rédaction du blog est en vacances. Nous en profitons pour vous faire redécouvrir des articles qui ont été publié durant ces 12 derniers mois. Ce post de Paul Fabing a été publié le 13 avril 2016 Je fais suite à mes articles « Ô fils de tourisme, ne vois-tu rien venir ? » de mai 2015 et « L’expérience touristique est-elle plus complexe que le Go ?

» du 16 mars dernier pour essayer de réfléchir à cette question lancinante et véritablement existentielle : quel avenir pour l’office de tourisme ? Et pour l’illustrer j’ai trouvé cette photo parlante : un ciel obscurci de nombreux nuages mais avec une éclaircie potentielle. En effet, dans le premier article en mai 2015 je posais déjà le constat d’une valeur ajoutée de l’office de tourisme s’étiolant progressivement en raison de la position intenable face aux intérêts contradictoires des 3 « clients » : les touristes, les prestataires et les élus. L’uberisation On en connaît la recette : La Kodakisation.