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Jonglage

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Besson à l'AFP: 8.030 Roumains et Bulgares reconduits depuis le 1er janvier. Une tache de honte sur notre drapeau. Hortefeux jongle avec les chiffres des policiers et des gendarmes - Les décodeurs - Blog LeMonde.fr. Hortefeux : Il y a plus de policiers et de gendarmes aujourd'hui que sous la gauche Ce qu'il a dit Dans un entretien au Monde, le ministre de l'intérieur affirme qu'"il y a aujourd'hui plus de policiers et gendarmes que lorsque la gauche était au pouvoir. On comptait 143 258 policiers en 2001, aujourd'hui ils sont 145 100". Le Parti socialiste a accusé le ministre de "mensonges" et de "manipulation". "Brice Hortefeux ment et il le sait. (...) En réalité, les personnels dits actifs, hors adjoints de sécurité, sont 117 925, soit exactement 10 891 de moins qu'en 2002 ! " Pourquoi c'est (plutôt) faux 1 - Les effectifs sont inférieurs à ceux de 2001 Si l'on fait le compte des gendarmes et des policiers en 2001 et en 2010, on obtient : 129 884 policiers et 95 182 gendarmes, soit un total de 225 066 personnels actifs pour 2001 135 221 policiers et 82 558 gendarmes, soit un total de 217 779 personnels actifs pour 2010 Il faut toutefois faire deux remarques.

Nabil Wakim. Quelques vérités sur l'insécurité. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Lionel Jospin, ancien premier ministre Depuis huit ans, je me suis gardé d'engager des polémiques contre le pouvoir. Ce n'était pas pour moi une bonne manière de participer au débat politique. Mais j'ai dû répliquer plusieurs fois à des attaques. La droite, en effet, n'a pas fait preuve de la même réserve. Les dirigeants de l'Etat comme les chevau-légers de la majorité ont tenté avec constance de disqualifier l'action conduite par mon gouvernement de 1997 à 2002. En vérité, leur ferions-nous de l'ombre ? Le dernier exemple en est donné par un texte, signé dans Le Monde [daté du vendredi 20août] par quelques élus de la majorité en soutien aux égarements de M. La première tient en cette phrase: "L'insécurité n'est pas un fantasme des Français, comme le pensait le gouvernement de Lionel Jospin.

" Certes, nous n'avons pas pu endiguer la montée déjà ancienne des actes de délinquance. Le pouvoir n'a pas tiré les leçons des émeutes urbaines de 2005.