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Music industry

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Emergenza, le tremplin qui transforme les wannabe rockstars en VRP | Lundi 18 Mars 2013 sur StreetPress.com - Pale Moon. Where is the money ? Si Emergenza n’est pas en mesure de tenir son statut de « tremplin », ni d’assurer toutes ses promesses, c’est que l’entreprise a un gros problème : elle n’aurait pas beaucoup d’argent. Julien Delpy de raconter une de ses prises de bec avec un ingé son : « Il trouvait qu’on ne le payait pas assez. Les gens pensent qu’on a de l’argent parce que notre nom est partout, mais en fait on n’a pas assez de fric. » Voilà qui explique peut-être pourquoi au New Morning et au Gibus, les groupes n’ont même pas le droit à une conso gratuite. Car si la « petite multinationale » a beau être présente sur 3 continents (Canada, Scandinavie, Allemagne, Italie, Japon…), employer 45 personnes et avoir fait jouer plus de 50.000 groupes à travers le monde, elle ne serait pas en bonne santé financière.

Les mauvaises langues sous-entendent que c’est parce que l’équipe dirigeante se gave. Julien Delpy assure, lui, gagner 1.700 euros par mois, et 4.000 euros de primes annuelles. La musique dématérialisée compense enfin le recul du disque. Pour la première fois, les ventes de musique dématérialisée (téléchargement et streaming) ont réussi à compenser celles des supports physiques, sur le déclin. Selon l'IFPI, le numérique a crû de 9% en 2012. La progression est timide, mais c'est la tendance qui est intéressante : en 2012, les ventes de musique ont progressé dans le monde de 0,3%, ce qui correspond à 12,5 milliards d'euros de recettes, d'après les chiffres de la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI).

La dernière année de croissance pour le secteur remonte à 1999. Entre temps, le piratage a pris du poids, avant que les acteurs du secteur n'opèrent leur mutation vers le numérique. Alors que les ventes dématérialisées ne parvenaient pas jusqu'à présent à véritablement contrebalancer la perte de vitesse des supports physiques, il semble que les choses commencent à s'équilibrer. Les fruits d'une lente mutation du secteur Mais ces résultats ont été obtenus non sans mal. Branlez vous en silence. J’adore me branler. C’est une façon comme une autre de se faire plaisir, tout seul, sans faire chier personne. Une façon d’avoir une relation sexuelle sans relation. En mode Michel Desjoyaux. En solitaire. Mais à Paris se pratique un onanisme particulier. Dernière autophilie collective en date : Orties. Outre leur tendance commune à faire des jeux de mots à mi-chemin entre Bernard Montiel et Christophe Dechavanne, ces mondains musicaux ont tous la même passion pour ce qu’ils appellent les découvertes (appelé “buzz” par les pauvres et “groupes en développement” par les pros).

C’est présentement le cas d’Orties qui avait atterri à deux reprises dans ma boite email, la dernière fois au début de l’hiver, mais qui tourne sur internet depuis déjà un long moment. Mais tel est le génie d’Orties. Heureusement, fort est à parier que comme la plupart des micro ram dams (je ne sais trop où mettre les S à ces mots qu’on nous invente…) il sera oublié d’ici quelques semaines. The REAL Death Of The Music Industry. BB_Publishing_in_the_digital_era. ALEC EMPIRE’S CLASH MUSIC ARTICLE: DIRECTORS CUT/PIRATE BAY/MUSI. By Alec Empire Let me introduce myself; I am Alec Empire and I was born in West Berlin. I believe that I am the only ‘true’ Berliner in the current music scene. As far as I can tell, all the others claiming Berlin as their home, moved there to boost (or kill?) , their careers. To be honest, I don’t think it matters that much… or shouldn’t in our age. I find myself talking to people from other continents more than those belonging to the so called local scene (I’m not really sure there is one and even if there is I’m not sure it’s what people would like to believe it is).

Whatever, I suppose we all gain from the myth that comes with Berlin. But it’s not about local scenes or absorbing something intangible from the air in Berlin. Click here for ABC clip Please excuse my English. I am used to change. Click here for deleted scene clip Where I come from, the majority is a potential threat to the individual. Watch clipwatch next clip here But I believe things are really changing.

Www.eyho-blog.com. Highrize. Blog up musique. Quels revenus les labels indépendants tirent-ils du téléchargement ? Quel est le différentiel avec ce que perçoivent les majors ? Peut-on parler de distorsion de concurrence ? Une gestion collective du téléchargement permettrait-elle de rétablir un certain équilibre ? Autant de questions soulevées par la mission Zelnik, auxquelles les relevés de vente que nous nous sommes procurés nous permettent de répondre. David El Sayegh, directeur général du SNEP, conteste dans un e-mail qu’il nous a adressé les chiffres publiés dans nos colonnes sur les revenus que les labels indépendants tirent du téléchargement.

"Il y a [dans vos chiffres] une confusion entre la part producteur et distributeur numérique, nous explique-t-il. Ainsi donc, nous n’avions pas tort de dire qu’un petit label indépendant – et nous tenions nos informations de sources directes – touche dans le meilleur des cas 0,40 € par titre téléchargé, ou plus exactement 0,42 €. Disparités Gestion collective ?