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Google rolls out Eddystone, an open-source iBeacon rival. Apple's iBeacons are about to face a new wave of competition. Google just unveiled a new platform for bluetooth beacons, along with a new set of tools for developers who want to build apps on top of the service. BLE (bluetooth low energy) beacons are small battery-powered devices that use bluetooth technology to trigger actions when a compatible smartphone or tablet is nearby. Retailers, for example, often use beacons to notify customers about new deals when they enter a store while event organizers may use them to surface information to attendees about places and people nearby.

The biggest piece of Google's beacon updates is the addition of Eddystone: a new beacon format that is open source and cross platform, which means it will work across iOS, Android and any device that supports BLE beacons. Eddystone also includes a way for beacons to communicate privately with select individuals Eddystone also includes a way for beacons to communicate privately with select individuals. How digital marketing operations can transform business. Marketing operations is certainly not the sexiest part of marketing, but it is becoming the most important one. With businesses unable to keep pace with evolving consumer behavior and the marketing landscape, the pressure is on to put marketing operations—skilled people, efficient processes, and supportive technology—in a position to enable brands to not just connect with customers but also shape their interactions.

When done well, we’ve seen marketing operations provide a 15 to 25 percent improvement in marketing effectiveness, as measured by return on investment and customer-engagement metrics. Yet achieving that level of improvement is elusive for many. While marketers are embarking on a wide array of “digital transformations” to reshape their operations and business models, many of these efforts are stymied by marketing’s difficulty in delivering on its aspirations. Five steps to bring marketing operations into the digital era 1. 2. What happens when customers have a bad experience? Cracking the digital-shopper genome. An airline sends a regular customer an e-mail about a special promotion on flights from New York City to exotic Caribbean destinations. The company had noticed she’d recently browsed vacation sites. The interested shopper eagerly clicks, landing on a page that shows all the airline’s flights from all the cities it serves to all its destinations.

By the time our erstwhile traveler has waded through this screen to find flights from John F. Kennedy International Airport and LaGuardia Airport, she’s no longer seeing palm trees in her head—she’s seeing red. This is the fault line of the modern digital-shopping experience, where reality falls far short of the promise of receiving what you want, when you want it. It doesn’t have to be this way. Of course, we’re not suggesting that cracking the shopper genome is easy. Mapping the digital shopper’s DNA Customer decision journey captures customer behavioral pathways and attitudes at each stage of a purchase journey. Technology People. L'ubérisation, ce tsunami qui va déchirer notre économie.

Pour Bruno Teboul, directeur de l’innovation, de la recherche et du développement du cabinet de conseil en nouvelles technologies Keyrus et auteur de « Ubérisation = économie déchirée ? », l'invasion des Airbnb, Uber... et autres trublions de la nouvelle économie numérique n'aboutira qu'à détruire plus de valeur qu'elle n'en créera. Cet enseignant-chercheur à l’Université Paris-Dauphine redoute l'avènement d'une société totalement précarisée. Entretien. Capital.fr : Maurice Lévy, patron de Publicis a été le premier a parlé de phénomène d’"ubérisation" de l’économie. Capital.fr : Faut-il vraiment s’inquiéter de la place que prennent ces nouveaux barbares du numérique dans notre économie ? Capital.fr : C’est-à-dire…Bruno Teboul : La généralisation de ces plateformes low-cost et tout ce qui va s’en suivre, comprenez l’algorithmisation de l’économie, la robotisation, le développement de l’intelligence artificielle forte vont rebattre toutes les cartes.

Les entreprises misent sur le marketing mobile... Comment optimiser les campagnes digitales des marques ? Comment améliorer les initiatives marketing mobile ? Comment mesurer l’efficacité des actions cross-canal ? Pour la quatrième année, Valtech et Adobe ont dévoilé le baromètre Marketing Digital 2015. Premier enseignement de cette étude, réalisée auprès de plus de 300 directeurs et responsables marketing : si le budget consacré au marketing digital progresse légèrement (+ 3% d’augmentation par rapport au budget marketing global entre 2014 et 2015), les applis mobiles constituent le premier domaine d’investissements devant l’e-commerce, le brand et content management, le social media et le data marketing. ROI et data, clés d'amélioration des dispositifs marketing En tête des indicateurs, le ROI* permet d’établir en priorité un tableau de bord, puis des études d’impact afin d’améliorer les dispositifs initiaux, des préconisations qui rentrent ensuite dans les logiques d’investissements des marques.

L'infographie Marketing Digital 2015. Le «swipe», balayer pour mieux surfer. Illustration EROIQ, Agence conseil en UX management & UX designCompte Twitter : @eroiqSite : www.eroiq.com Le clic, un mode de navigation ringard? Sans aller jusque-là, on constate un engouement récent pour une manière alternative de circuler sur l’internet mobile: le «swipe».

Issu de l’anglais to swipe - qui signifie glisser - ce mode d'interaction n’est pas nouveau. Il permet depuis l’avènement du support tactile de passer d’une page à l’autre, en glissant son doigt sur l'écran. Il vient compléter le «scroll» - faire défiler du contenu sur une même page -, navigation plus traditionnelle sur ordinateur comme sur mobile. «Aujourd'hui, on est de moins en moins dans les boutons, qui viennent encombrer les contenus, mais de plus en plus dans le geste», explique Vincent Pillet, cofondateur de Useradgents, agence de conseil en marketing mobile. A gauche pour jeter, à droite pour conserver Emules de Tinder Valeur d'usage Intuitif et engageant. Commerce prédictif : Big Data, la nouvelle... Les données, une richesse insuffisamment exploitée par les entreprises "Les enseignes disposent aujourd’hui de volumes de données croissants de tous types : données structurées (CRM, fichiers excel, etc.) ou non structurées (réseaux sociaux, avis consommateurs, etc.) avec des consommateurs de plus en plus ouverts et disposés à fournir des informations personnelles.

Une étude menée par IBV Retail en 2013, révèle d’ailleurs que 90% des gens sont prêts à fournir des informations et à passer jusqu’à 20 minutes pour remplir un formulaire*, à condition qu’ils bénéficient d’un vrai service à valeur ajoutée. Qui n’a jamais donné son numéro de téléphone portable afin d’être averti de l’heure d’une livraison ? Bien que ce ne soit pas le genre d’information que l’on divulgue de prime abord. Or, elles permettent d’avoir un point de contact supplémentaire avec le client. Malheureusement, ces données restent encore trop souvent inexploitées à l’heure actuelle. Analyser mais surtout exploiter ! Pourquoi le "social gaming" affole les marques. Alors que Facebook compte chaque mois 260 millions de joueurs dans le monde et que certains jeux comme Jelly Glutton et Candy Crush attirent plus d'audience que des "prime times" TV, il y a de quoi faire frémir les plus grands annonceurs du marché. En France le nombre de joueurs a triplé en dix ans jusqu'à atteindre 71,2% de la population en 2014, tous jeux confondus (TNS Sofres).

Face à ces chiffres, les marques sont alors toujours plus nombreuses à intégrer une dimension « ludocrative » dans leur stratégie de communication. De l'achat d'espace "in-app" en passant par le développement de leurs propres jeux, elles utilisent le "social gaming" comme un nouveau média à part entière. Un business model gagnant/gagnant pour les publicitaires et les joueurs Les jeux mobiles et online représenteront 60 Milliards de dollars de revenus en 2017*, soit 60% des revenus de l'industrie software du jeu vidéo, selon le Global Games Investment Review 2014, édité par Digi-Capital. Grande distribution : la Data en tête de gondole - Influencia. S'il est un secteur qui travaillait sur la data bien avant que ce mot ne devienne un élément clé du vocabulaire de la technique et du marketing, c’est bien la grande distribution ! L’analyse plus ou moins élaborée du ticket de caisse a de longue date permis d’identifier les habitudes de consommation, les produits préférés, les associations de produits au sein du panier d’achat, d’en déduire la composition du foyer… Pionniers d’une utilisation plus « moderne » de ces données dans segmentation de leurs clients par centre d’intérêt et affinités de produits, des distributeurs anglo-saxons comme Wal-Mart ou Tesco ont ouvert les yeux du secteur sur les leviers de différenciation et de gestion de la relation client qu’offrait la data.

Un sujet tabou ? D’ordinaire peu loquaces sur leurs activités, beaucoup de distributeurs deviennent étrangement muets dès lors qu’il s’agit d’aborder leur approche de la data. Relation client ou course à la promo ? Le CRM toujours d’actualité Relevant data. Les 6 défis du retail pour 2015 [Etude] Cylande, éditeur de progiciels dédiés au retail, a missionné IDC pour prendre le pouls du retail français quant aux défis de demain. Les résultats se décomposent en deux parties, avec des enjeux stratégiques et des enjeux techniques.

Les défis stratégiques du retail français : la data, l’omnicanal, et la supply chain Le commerce a été chamboulé par la montée des acteurs du e-commerce. On annonçait même un temps la mort prochaine du point de vente. Le constat aujourd’hui est tout autre, le magasin reste toujours plébiscité par les consommateurs, mais ce dernier doit absolument se renouveler et s’adapter aux nouveaux modes de consommation que le digital a généré. La data représente un axe stratégique pour le retail, particulièrement son utilisation et sa sécurisation. Autre sujet stratégique : l’omnicanalité. 86% des enseignes interrogées estiment qu’il est stratégique pour elles de centraliser la gestion des points de vente en temps réel et d’intégrer l’approche omnicanal. Les 4 grandes forces de la disruption du commerce - Viuz. Credits Shutterstock LDprod Dans son dernier rapport “Total Retail” réalisé auprès de 19.000 shoppers dans le monde PWC analyse les grandes grandes forces à l’oeuvre dans le monde du commerce.

Plus que jamais, la réussite du “Total Retail” impose aux distributeurs et aux enseignes de réfléchir au delà des canaux traditionnels. Synthèse en 4 points : 1- La mutation du magasin Puissant, résilient et adaptable. Malgré la progression des achats en ligne, le parcours d’achat reste centré sur le magasin grâce aux vertus d’immédiateté et de contact physique avec le produit. 36% des personnes interrogées achètent en magasin physique une fois par semaine contre 20% sur PC, 11% sur smartphone et 10% sur tablettes. Un chiffre marquant : selon l’étude, 67% préfèrent les retours en magasin pour les produits achetés en ligne. Pour PWC, l’effet ROPO -Research Online Buy Offline à 70% et le ROPO inversé à 68%- s’équilibrent. Les prochaines révolutions toucheront l’expérience “In Store”. Comment les technologies transforment le... Le consommateur de 2015 exige des marques de l’omni-canal et du multi-écran, lui qui aujourd’hui utilise en moyenne 5 appareils connectés au quotidien (2,8 en 2014).

Pour guider les marques dans ce nouveau parcours d’achat, DigitasLBi lance, pour la 4ème année consécutive en France, une enquête mondiale sur 17 pays : Australie, Belgique, Chine, Danemark, Dubaï, France, Allemagne, Hong-Kong, Inde, Italie, Japon, Pays-Bas, Singapour, Espagne, Suède, UK et USA. L'étude révèle les dernières tendances et les habitudes consommateurs qui transformeront comment, pourquoi et où nous achetons. 1. Le nouveau consommateur connecté : En plus des ordinateurs, smartphones, tablettes et TV connectées, le consommateur s’empare aujourd’hui des objets connectés, avec 17% des consommateurs dans le monde à les utiliser (17% en France également). 2. 3. Personnalisation, facteur clé 4. 5. Pas de gadget mais des services 6. 7. 8. Etude menée par l’IFOP. Grande distribution : une belle leçon de repositionnement d'enseigne. Digital Retail: les 5 tendances qui font la différence - Influencia. Outside matters Les marques l’ont désormais compris: c’est depuis la rue qu’elles vont à la rencontre de leurs consommateurs.

Rien ne sert d’attendre que le client se décide à passer la porte, il faut aujourd’hui savoir séduire de l’extérieur. Les écrans multimédias permettent de présenter une expérience grand écran hors norme, loin de passer inaperçue. Un terrain de jeu qui reste à se développer en Europe. Full immersion display De plus en plus de flagship stores proposent une escalade du « Wouah Effect » via des écrans géants installés au cœur des points de vente comme chez Burberry à Londres. Les concepts stores ou pop-up stores entièrement basés sur les technologies numériques – comme le Audi City lancé début 2014 à Berlin – font leur apparition et ont pour objectif de renforcer l’expérience des points de vente traditionnels. Give choice Gamification Inévitablement, on ne pouvait parler de révolution digitale en magasin sans parler de gamification.

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