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Objets de culte juif

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Bimah. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bimah

Bimah de la synagogue italienne de Padoue. Éphod. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Éphod

Gartl. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Gartl

Hanoukkia. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. la Hanoukkia (chandelier à 8 branches +1) ne doit pas être confondue avec la Menorah (chandelier à 7 branches) Une hanoukkia Loubavitch géante en forme de Y pour une cérémonie publique.

Hanoukkia

Hanoukkia traditionnelle polonaise avec des lampes à huile. Hanoukkia moderne avec lampes à huile. Houmach. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Houmach

Kippa. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Kippa

La kippa,(kɪˈpɑ; hébreu : כִּפָּה ou כִּיפָּה; pluriel: kippot כִּפוֹת ou כִּיפּוֹת), est le terme hébraïque d'une « calotte », également appelée yarmoulke (aˈjɑrməlkə ou ˈjɑːməkə du yiddish : יאַרמולקע ), ou parfois kapele (yiddish : קאפעלע ) portée traditionnellement par les Juifs pratiquants. Les kippa dans les sources juives[modifier | modifier le code] Dans la Bible hébraïque[modifier | modifier le code] Cependant, cette injonction ne concerne pas tous les Juifs et la Torah écrite ne donne aucune autre instruction concernant cette obligation.

Lampe de Chabbat. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Lampe de Chabbat

Description[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] Cette lampe apparaît dès le Moyen Âge, mais l’apogée de son utilisation se situe au XIXe siècle et on la rencontre dans tous les pays qui bordent le Rhin. Lampe éternelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Lampe éternelle

Une lampe éternelle est une lampe qui brûle continument dans les lieux de culte juifs ou chrétiens. Comme souvent dans la filiation entre les religions juive et chrétienne, les chrétiens ont gardé le symbole en en changeant quelque peu la signification. La tradition juive[modifier | modifier le code] La lampe éternelle (en hébreu ner tamid (נר תמיד)) brûle dans toutes les synagogues comme elle brûlait dans le Temple de Jérusalem, car il est dit dans Exode 27:20-21 : « Pour toi, tu ordonneras aux enfants d'Israël de te choisir une huile pure d'olives concassées, pour le luminaire, afin d'alimenter les lampes en permanence. Menorah. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. la Menorah (chandelier à 7 branches) ne doit pas être confondue avec la Hanoukkia (chandelier à 8 branches +1) la menorah en Y dessinée par Maimonide La forme de la menorah, telle qu'elle est représentée sur l'Arc de Titus, ou encore sur la mosaïque de la synagogue "Shalom Al Yisrael" de Jéricho (Ve siècle), est inspirée d'une variété de sauge très aromatique de la famille de la menthe qui pousse en Judée, la "SALVIA PALESTINAE" appelée aussi sauge d'israël.

Menorah

La description biblique qui se trouve en Exode 25:31-36, utilise des termes botaniques tels que : branches, fleurs, pétales, calices, ... Mezouzah. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mezouzah

Mezouzah d'une synagogue de Vienne. Une pratique hébraïque[modifier | modifier le code] Une mezouzah samaritaine. Une mezouzah moderne à Haïfa. La prescription d'écrire « ces choses que je vous prescris en ce jour » aux poteaux des portes a pour base deux passages du Deutéronome (versets 6:4-9 et versets 11:13-21). La prescription du Deutéronome a été diversement interprétée par différents courants mosaïques : les Samaritains gravent les passages bibliques au-dessus de leur porte d'entrée, tandis que les Juifs (rabbanites) les tracent sur un parchemin, écrit selon des règles scrupuleusement établies et suivies, et l'appliquent aux linteaux de l'ensemble des pièces habitables munies d'une porte. Parokhet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Il est richement brodé et son ornementation comporte souvent une couronne (keter torah). Il est ôté durant Tisha Beav en commémoration de la destruction du Temple de Salomon. Portail de la culture juive et du judaïsme. Phylactère. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Téfiline (phylactères) du bras et de la tête. Exemple d’utilisation de phylactères dans une gravure satirique de James Gillray, en 1791. Depuis le XVIIIe siècle, la parole a été illustrée à l’aide de rubans, drapeaux, rouleaux, ou de feuilles de papier. Le terme phylactère se rapporte à des éléments divers dans les religions de l’Égypte antique et judéo-chrétiennes, l'art médiéval et la bande dessinée. L’étymologie du mot est grecque et son usage a deux origines : dans un contexte chrétien et médiéval, il dérive du latin tardif phylacterium (« talisman », « châsse », « reliquaire »), dérivé du grec ancien φυλακτήριον (« ce qui sert à garder », puis plus tard « amulette », « charme »)[1], lui même issu de φυλάσσειν (« protéger », « garder du mal »).

Sefer Torah. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Sefer Torah (en hébreu: ספר תורה - « livre [de] Torah » ou plus exactement rouleau de Torah (pluriel : Sifrei Torah) est une copie manuscrite de la Torah (ou Pentateuque), le livre le plus saint et révéré du judaïsme. Les conditions standard dans lesquelles il est réalisé sont extrêmement strictes et uniquement livrées à des scribes professionnels (Sofrim).

Une fois réalisé, il est entreposé dans l'endroit le plus saint de la synagogue, l'Aron Kodesh (« Arche sainte », en référence à l'Arche d'alliance), une armoire généralement ornée de tentures brodées, ou une section orientée vers Jérusalem, qui est la direction vers laquelle prient les Juifs. Bien que traité avec révérence, la sainteté des Houmashim n'atteint pas celle d'un Sefer Torah, véritable trésor pour la communauté qui en possède un. Talit. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le talit (judéo-araméen : טלית « habit », prononcé talit en hébreu moderne, talith dans certaines communautés séfarades, talèth dans celles d’Afrique du Nord, talis, tolis ou talès en hébreu ashkénaze) est un vêtement à quatre coins propre au judaïsme dont chaque coin est, en vertu de la prescription biblique, pourvu de franges.

L’usage distingue le talit gadol, châle généralement fait de laine dont les juifs adultes s’enveloppent pour la prière, et le talit katan, pièce textile le plus souvent portée au-dessous des vêtements dès le plus jeune âge. Téfiline. Tsitsit. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le tsitsit ou tsitsit (tzitzis ou tsitsis selon la prononciation ashkénaze; hébreu biblique: ציצת; hébreu mishnaïque: ציצית) sont des "franges" ou "tresses" façonnées au coin des vêtements, souvent retrouvées sur les bords du Talit.

Les Juifs observants portent des vêtements munis de tsitsit afin de se conformer à une prescription biblique. Dans le judaïsme orthodoxe, le tsitsit n'est porté que par les personnes mâles. Origine et pratique[modifier | modifier le code] Diverses raisons sont données pour cette prescription, à commencer par la Torah elle-même: "Afin que vous vous rappeliez tous les commandements de Dieu, et les réalisiez, et que vous ne suiviez pas les désirs de vos cœurs et de vos yeux pour vous laisser entraîner à l’infidélité.