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Méthodes de datation

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Datation. Méthodes de datation. Méthode de datation. Comment dater un fossile, un objet ?

Méthode de datation

Les méthodes de datation Les méthodes de datation permettent de situer dans le temps un objet, des restes fossiles, et d'estimer une date la plus précise possible. Si le Carbone 14 est la méthode qui vient à l'esprit instantanément, ce n'est qu'une méthode parmi les autres. Suivant l'objet à dater, le contexte de sa découverte, la matière et la quantité que l'on peut prélever, plusieurs techniques peuvent être déployées. Chaque méthode de datation est généralement dédiée à l'étude d'un type de matériaux, par exemples : le bois de construction pour la dendrochronologie, les restes organiques (bois, os) pour la méthode C14 ou la lave pour la méthode Potassium-Argon. Datation relative La stratigraphie, méthode géologique Cette méthode repose sur l'étude des strates (couches) qui se superposent au fur et à mesure du temps. Datation objective ou absolue Le Carbone 14 : Potassium-Argon (K-Ar) et Argon-Argon (Ar-Ar): La thermoluminescence 3/ Autres méthodes.

Les techniques de datation. Les grands types de méthodes de datation On dénombre deux grands types de méthodes de datation : les méthodes de datation absolue ou objective, et les méthodes de datation relative.

Les techniques de datation

Les premières donnent la date de l’échantillon sans avoir besoin de tenir compte du contexte (qui intervient alors dans l’interprétation des résultats). Les secondes en revanche se basent avant tout sur des analyses comparatives, soit par rapport au contexte de découverte, soit par rapport à un corpus Corpus Un corpus est un ensemble de documents, artistiques ou non (textes, images, vidéos, etc.), regroupés dans une optique précise. de référence ; elles peuvent aussi se fonder sur une analyse globale du matériel trouvé sur le site en prenant en compte l’évolution de ce matériel en fonction des couches stratigraphiques.

Datation par le carbone 14. Le domaine d'utilisation de cette méthode correspond à des âges absolus de quelques centaines d'années jusqu'à, et au plus, 50 000 ans[1].

Datation par le carbone 14

L'application de cette méthode à des événements anciens, tout particulièrement lorsque leur âge dépasse 6 000 ans (préhistoriques), a permis de les dater beaucoup plus précisément qu'auparavant. Elle a ainsi apporté un progrès significatif en archéologie et en paléontologie. Historique[modifier | modifier le code] En 1950, Willard Frank Libby réalise la première datation au carbone 14. L'appellation BP (Before Present) prend alors tout son sens : c'est l'histoire avant 1950. En 1960, il reçoit le prix Nobel de chimie pour le développement de cette méthode (cf. article sur le chercheur pour l'histoire de cette découverte). Principe[modifier | modifier le code] Définition : La datation au carbone 14 sur Archeologia.be. Définition La datation par le radiocarbone est aujourd'hui la méthode de datation absolue la plus couramment utilisée en archéologie et son principe est désormais bien connu de tous.

Définition : La datation au carbone 14 sur Archeologia.be

C'est pour cette raison que nous ne ferons ici qu'un bref rappel. Cette méthode repose donc sur le cycle de vie d'un des isotopes du carbone: le carbone 14 dit radiocarbone. Cet isotope naît dans la haute atmosphère par l'interaction des rayons cosmiques sur l'azote 14. Le carbone 14 se transforme en gaz carbonique CO2 et que tous les êtres vivants, végétaux et animaux, respirent. Bref historique C'est Willard Frank Libby, un physicien et chimiste américain, qui a la primauté de la découverte qu'il publie en 1946. Datation par le couple rubidium-strontium. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Datation par le couple rubidium-strontium

La datation par le couple rubidium-strontium est une technique de datation de la formation d'une roche basée sur la mesure de la présence du rubidium et de strontium dans la roche. Description de la technique [ modifier ] Le rubidium (Rb) et le strontium (Sr) sont deux éléments chimiques existant le plus souvent à l'état de traces dans les roches. Ils se substituent en partie au potassium pour le rubidium et au calcium pour le strontium. Ainsi les minéraux riches en potassium sont généralement riches en rubidium et ceux riches en calcium présentent souvent des teneurs élevées en strontium. Ces deux éléments existent dans la nature sous la forme de plusieurs isotopes , deux pour le rubidium, 85 Rb et 87 Rb et quatre pour le strontium, 84 Sr, 86 Sr , 87 Sr et 88 Sr .

Notons dès à présent que 87 Rb et 87 Sr sont deux isobares , c'est-à-dire deux espèces atomiques ayant le même nombre de masse mais différant par leurs nombres de protons. .