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Wittgenstein Philosophie analytique. XXe SIÈCLE Logicien autrichien naturalisé britannique Philosophie du langage Philosophie analytique.

Wittgenstein Philosophie analytique

Tractatus logico-philosophicus. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Tractatus logico-philosophicus

Le Tractatus logico-philosophicus est une œuvre de Ludwig Wittgenstein. Elle a d'abord paru en allemand en 1921[1] sous le titre Logisch-Philosophische Abhandlung, puis, sur les suggestions de George Edward Moore[2], en anglais, un an plus tard avec le titre latin actuel. Le Tractatus logico-philosophicus: théorie de l’image. Les réflexions sur le langage du jeune philosophe autrichien Ludwig Wittgenstein (1889-1951), élève de Russell à Cambridge, et bon connaisseur des œuvres de Frege, sont synthétisées dans un petit livre de quelques quatre-vingt pages, le Tractatus logico-philosophicus (1922).

Le Tractatus logico-philosophicus: théorie de l’image

Le but principal du Tractatus est de répondre à la question: en quoi les propositions de la logique se distinguent-elles de toutes les autres propositions du langage? Pour répondre à cette question, Wittgenstein formule une théorie générale du langage, dans laquelle il s'agit de saisir «l'essence de la proposition» (1914-1916: 22.1.1915), c'est-à-dire des énoncés déclaratifs. Il est d'accord avec Russell sur la conception d'une proposition simple telle qu'une structure relationnelle (de type Rabc), qui asserte que certains objets (a, b, c) ont entre eux une relation R: par exemple que a se trouve entre b et c. Jeu de langage. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jeu de langage

Le jeu de langage est un concept majeur de la philosophie de Ludwig Wittgenstein. Développé dans la partie dite post-Tractatus de son œuvre, le concept est l'un des plus célèbres de la pensée wittgensteinienne. Il est défini la première fois dans Cahier bleu en 1934, mais reçoit par la suite d'autres explicitations. Les jeux de langage. Wittgenstein Dans leur acception tardive (à partir des Investigations philosophiques), les jeux de langage de Wittgenstein constituent des notions de première importance pour la réflexion sur les signes dans la mesure où ils recouvrent l’entier des pratiques sémiotiques.

Les jeux de langage

Ils sont à concevoir comme les paramètres conceptuels partagés qui permettent le repérage ou la production des signes, ainsi que l’établissement des relations de signification et de représentation. On présente ici trois notions interdépendantes : les jeux de langage (pratiques sémiotiques – qui, malgré le terme « langage », ne se limitent pas au langage verbal), les coups dans les jeux de langage (actions concrètes accomplies au sein d’un jeu de langage donné et matière première de la réflexion sémiotique) et la grammaire des jeux de langage (architecture conceptuelle qui conditionne l’usage des signes). « Commander, et agir d’après des commandements.

Décrire un objet d’après son aspect, ou d’après des mesures prises. Investigations philosophiques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Investigations philosophiques

Investigations philosophiques (Philosophische Untersuchungen) est un ouvrage de Ludwig Wittgenstein publié à titre posthume en 1953. C'est un des textes de cette époque qui exprime le mieux la pensée viennoise[1]. L'auteur travailla sur ce livre pendant de nombreuses années, et il fut « terminé » vers 1949. Wittgenstein, en philosophe moderniste. Dans un petit article de Philosophy and Literature (1993:Oct), Michael Fischer par ailleurs l’auteur d’un livre sur Stanley Cavell intitulé Stanley Cavell and Literary Skepticism (1989) attire l’attention sur l’importance d’un "Wittgenstein moderniste" dès Must We Mean What We Say ?.

Wittgenstein, en philosophe moderniste

De fait c’est en prenant acte de l’inadaptation de nos catégories sur toute une avant-scène esthétique et avant-gardiste américaine que Stanley Cavell entre en philosophie avec ces essais rassemblés sous le titre Must We Mean What We Say ?. L’ensemble de ces essais est porté par l’effort personnel d’un philosophe, qui est aussi un artiste (il a fait des études de musique) pour trouver un accès philosophique à Wittgenstein comme passeur d’un moment "moderniste". Sur le premier point, l’article de Michael Fischer est éclairant. Mais quant au second point qu’en est-il ? En quoi le projet de cette théorie critique peut-elle encore nous intéresser ? Que nous aura appris le temps ? Que nous apprendra le temps ?

De la philosophie comme thérapie linguistique à la poésie. Une remarque du début des années 1930 énonce qu’« en vérité la philosophie devrait être écrite seulement comme une composition poétique » (« …philosophy ought really to be written only as a poetic composition. ») Pour contribuer à faire sens de cette indication mon examen portera sur le langage qui du début à la fin a été le sujet d’étude de Wittgenstein.

De la philosophie comme thérapie linguistique à la poésie

Dans De la certitude [Dorénavant DLC] les « jeux de langage » et les « formes de vie » qui après le Tractatus sont devenus les thèmes de ses réflexions, seront décrits ainsi :« Le jeu de langage est pour ainsi dire quelque chose d’imprévisible. J’entends par là qu’il n’est pas fondé. Ni raisonnable. WITTGENSTEIN / "Ne pensez pas mais voyez" Voici du matériau pour un commentaire de Wittgenstien et de l'école analytique qui contr son gré il a produit.

WITTGENSTEIN / "Ne pensez pas mais voyez"

Pour Wittgenstein, il faut décrire les objets et de là dire les faits qui constitue le monde de chacun, mais pour lui il n'y a pas à expliquer. Wittgenstein reste un positiviste non au sens quantique (lignée Bohr-Feynmann-Hawking) mais au sens classique (Comte-Planck-Schrödinger-Bitbol), pour qui importe la mesure. La comprehension est laissée de côté ou revient à l'art et à la littérature que Wittgenstien plaçait au dessus de la philosophie. Même si Wittgenstien ne réduisait pas la pensée à le philosophie, il faisait de celle-ci la discipline capable, à partir des erreurs de Frege et Russell, de former un discours logiquement énoncé et ainsi extirpant toute équivoque du langage, ce qui exactement à l'opposé de la pensée-poésie qui constitue la philosophie synthétique et non analytique. . « Ne pensez pas, mais voyez ! 1°) Le Tractatus Quelques thèse du tractatus : Tout.

La pensée: nécessaire ou superflue? Wittgenstein Remarques sur les couleurs, et psaume 139 « Garder l'inaccompli. Le «second»Wittgenstein. L’intérieur comme enjeu. Sciences et philosophie. "Si la philosophie est une tentative pour proposer une organisation d'ensemble du vécu qui donne signification aux expériences individuées et finies, elle ne peut être confondue avec les entreprises de la science qui édifie des systèmes symboliques plus ou moins abstraits permettant de décrire et de manipuler par fragments ce vécu en en dessinant des modèles avec une efficacité prodigieuse mais au prix d'une objectivation et d'une localisation réductrices.

Sciences et philosophie

Les concepts et les arguments proprement philosophiques qui concourent de façon essentielle à l'organisation signifiante de l'expérience produisent (...)une connaissance,quoique sans objet,qui s'exprime dans un métalangage,relativement aux langages de premier ordre que sont les symbolismes de la science ou ceux. Émerveillement et sécurité. 1. Le miracle selon Wittgenstein. « L’éthique, si elle existe, est surnaturelle », affirme Wittgenstein dans sa Conférence sur l’Éthique, prononcée à Cambridge en 1930. Dans tout ce qui advient au monde et qui peut être décrit par des propositions, nous ne trouvons nulle trace du sens de la vie. Toutefois, il ne fait pas de doute que la recherche d’un tel sens constitue une expérience des plus intense. À tel point que, concernant l’éthique, on pourrait même parler d’expérience surnaturelle.

Le vrai miracle n’est pas un fait prodigieux, défiant les lois physiques et contredisant les expectatives psychologiques. « Imaginez le cas où soudain une tête de lion pousserait sur les épaules de l’un d’entre vous, qui se mettrait à rugir. Wittgenstein et Turing : règles et contradiction (I. Anderson, A. R. (dir.), 1964, Minds and Machines, Englewood Cliffs NJ, Prentice Hall. Arrington, R. L., 1969, « Wittgenstein on Contradiction », Southern Journal of Philosophy, vol. 7, 37-43. Baker, G., 1981, « Following Wittgenstein : Some Signposts for Philosophical Investigations §§ 143-242 », dans S.

Bernays, P., 1935, « Sur le platonisme dans les mathématiques », L’enseignement mathématique, vol. 34, 52-69. Boolos, G., J. Carpenter, B. Wittgenstein et Turing : règles et contradiction (II. Anderson, A.