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Les hommes en changement. Pas facile d'être macho. Un homme, un vrai, ça se construit, ce n'est pas juste un acquis de naissance, lit-on sur le Time Magazine. La masculinité est un statut social, quelque chose que les hommes conquièrent... mais qui peut aussi facilement se perdre. Les hommes sont ainsi contraints de prouver continuellement leur masculinité à travers leurs actions. Dans la société contemporaine, ça ne passe plus par la lutte contre le mammouth, mais par la protection de sa famille, ou le rapport d'un salaire conséquent. Mais il suffit d'un seul faux-pas pour perdre la masculinité. C'est ce qui explique pourquoi les hommes sont si sensibles à cette question.

Les femmes n'ont pas le même problème: la féminité est perçue comme quelque chose d'inné, d'immuable. Dans une série d'études, les psychologues Jennifer K. «Le genre est social, explique, sur Science Daily, Jennifer K. Dans leurs études, Bosson et son équipe ont forcé certains hommes à se comporter d'une façon «féminine». Slate.fr Partagez cet article. Masculinités. Tant bien que mâles. "Les hommes surjouent la virilité que l'on attend d'eux" Fort, musclé, sportif, protecteur, courageux... Les stéréotypes ont la vie dure, et pas seulement pour les femmes. Dans nos sociétés occidentales, c'est le mâle viril qui continue d'être érigé en modèle. Des préjugés battus en brèche par les féministes, mais aussi par quelques hommes, de plus en plus nombreux, qui veulent lutter contre les caricatures.

Leur dernier combat en date: la prostitution. Non, tous les hommes n'ont pas une "sexualité de prédateur", explique Grégoire Théry, secrétaire général du Nid, dont le mouvement est partenaire d'une campagne de sensibilisation inversant les rôles traditionnels. Le combat des pro-féministes n'est pas nouveau. "Nous bénéficions de privilèges, qu'on le veuille ou non" Leur démarche consiste à déconstruire les "archétypes masculins", précise Monique Dental, animatrice du Réseau Féministe "Ruptures".

Ceux qui s'affirmaient "contre la virilité obligatoire" ont aujourd'hui des héritiers: les pro-féministes. S'émanciper des stéréotypes. Sexualité : une virilité fragilisée ? © Jupiter Au lit aussi, les hommes ont perdu leurs repères. Face à des femmes plus expertes et plus exigeantes, ils s’angoissent. Leur crainte : ne pas être à la hauteur ou devenir des « hommes-objets »… Hélène Fresnel Toutes les conditions étaient réunies. L’aventure de ce couple de trentenaires amoureux est singulière, mais symptomatique d’une nouvelle fragilité masculine. Un pénis surinvesti (1.) « Quelques conséquences psychiques de la différence anatomique entre les sexes », in La Vie sexuelle de Sigmund Freud (PUF, 2002). Une situation d’autant plus difficile à vivre que l’homme est obnubilé par son sexe et par le rapport sexuel. Pourtant, se souvient-il, blessé, « il y a quelques mois, je me suis retrouvé au lit avec une vieille copine qui venait de se faire quitter par son compagnon.

Homme / Femme : comprendre et dépasser les clichés. Premier constat : une majorité de femmes s’est déplacée ! Sur la trentaine de participants, plutôt jeunes – entre 20 et 35 ans – on ne compte que cinq hommes. D’emblée, Christine Détrez précise qu’il ne faut pas se leurrer : acquis du féminisme ou pas, les stéréotypes ont la vie dure !

Pourtant, contrairement aux idées reçues, les femmes n’en sont pas les seules victimes… Selon la sociologue, pour comprendre leur persistance, il faut commencer par revenir sur une notion méconnue et souvent mal interprétée : le genre. Sexe biologique, sexe social Apparues dans les années 1970 aux États-Unis et portées par le courant féministe, les gender studies – ou « études de genre » – ont avancé l’idée de la construction sociale de la différence des sexes. Afin de situer le débat dans l’actualité française, Christine Détrez évoque le scandale déclenché dans certains milieux par la tentative d’introduction du genre dans les manuels scolaires de SVT, en 2011.

Explications scientifiques versus sexisme. Sexisme : Les hommes victimes du "plancher de verre" Le « plafond de verre » féminin est aujourd’hui bien connu, et abondamment documenté. Il décrit efficacement l’ensemble des stéréotypes et préjugés qui, de façon visible ou invisible, constituent des barrières efficaces à l’accès des femmes aux postes à responsabilités. Si nombre d'entreprises se sont engagées activement pour faire bouger les lignes de la mixité, en traquant notamment les pratiques discriminatoires et en favorisant l’adoption par les femmes de nouveaux comportements au service de leur performance, force est de constater que l'on assiste, depuis une dizaine d'années, à une relative stagnation des progrès dans l’accès des femmes aux postes à responsabilités.

Impliquer les hommes dans les politiques de mixité Les hommes restent en particulier dans leur grande majorité extérieurs à ce mouvement, quand ils ne voient pas avec suspicion la mise en œuvre de pratiques discriminatoires, fussent-elles positives. Le « présentéisme », obstacle à la mixité en entreprise. A quel point sommes-nous misogynes? Une (magnifique) phrase à méditer... La virilité vraie (Poil à la raie?) Il semble qu'aussi loin que l'on puisse remonter dans l'histoire de la virilité, la crise guette le mâle. Et le concept même de virilité repose sur une angoisse latente, celle de l'impuissance.

Alors qu'elle était autrefois construite avec des muscles, des silences et de la bravoure (et encadrée par un duvet follet), elle dégage aujourd'hui un parfum de phéromones et d'hormones, de séan-ces de culturisme, de dosages savants de stéroïdes et/ou de Viagra, et de salon de toilettage. Ah oui, et l'homme a appris à parler, poil au nez... En fait, le poil — ou son absence — tranche nettement selon la génération à laquelle on prétend appartenir. Cette esthétique revisitée ne date pas d'hier, pourtant. «Si tu épiles ta poitrine, tes jambes et tes bras; si ta verge, après le travail du rasoir, n'est entourée que de poils follets, c'est que Labiénus (qui l'ignore?) Michel Dorais souligne avec justesse que la culture anti-âge est une culture de la haine de soi. JOBLOG Un hôpital tout-compris.

Le mâle est fait. La virilité n’existe pas. Pure invention. Il a fallu que j’arrive à la fin des 1 500 pages de cette très savante somme d’études historiques, que je souffre sous les Grecs, les Spartes et les Romains, traverse sans joie la féodalité et la Renaissance, éprouve quelque espoir avec le réveil des Lumières et de la Révolution française, constate les grandes catastrophes des deux guerres mondiales, pour atteindre, vingt-cinq siècles plus tard, une sorte de happy end : la virilité tant vénérée, toujours incontestée, valeur écrasante pendant ces millénaires, commence à se dégonfler.

En quelques décennies. L’étonnant, c’est que cette croyance en la virilité ait été aussi inébranlable. La virilité n’existe pas. La virilité n’existe pas ? Que voulaient-ils ces «virils» masculins ? Au commencement était… l’homme, l’homme, l’homme et encore l’homme. Sabre. «Sabrer et ne pas se faire sabrer», résume Paul Veyne, spécialiste de la Rome antique, dans le vocabulaire militaro-sexuel de l’époque. Cheval. Dans le coeur des hommes de Serge HEFEZ. De l’intérêt de l’homme à honorer le féminin – par Jacques Ferber « Flora AUBIN.

Pourquoi honorer le féminin quand on est un homme ? Pour être gentil vis à vis des femmes ? Par sentiment de culpabilité vis à vis du déni du féminin dans les siècles passés ? Pour se faire bien voir des femmes ? Parce que cela commence à être dans l’air du temps ? Et pourtant, cette démarche n’est pas du tout évidente ! De ce fait, un homme très yang (c’est-à-dire dont l’esprit est très focalisé sur cette manière « masculine » d’appréhender le monde), aura tendance à voir les femmes comme des objets, des entités désirables dont il faut simplement appuyer sur les bons boutons pour recevoir un peu de plaisir, un peu d’amour. Le yang ne connais pas non plus l’intériorité: tout est du domaine de l’intellect, du savoir, de la raison. Certains hommes se sont rendus compte que le féminin était important et ont développé leur part féminine, mais sans conserver leur puissance yang.

Mais que se passe-t-il dans le domaine sexuel? "Ce que je vis avec Marie est difficile à décrire. Like this: