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Pierre Teilhard de Chardin - noogénèse et noosphère - science et conscience. Jésuite et paléontologiste français (château de Sarcenat, Puy-de-Dôme, 1881 - New York, 1955). L'œuvre scientifique de Teilhard de Chardin se situe principalement en Asie : découverte du sinanthrope (1929), explorations dans l'Inde, à Java, participation à la Croisière Jaune (1931, etc.).

Ses écrits théologiques et philosophiques, interdits par l'Église de son vivant, ont été diffusés après son mort. Éclairés d'une vision synthétique du déroulement universel de l'évolution, ils mettent en valeur le phénomène de complexification cérébrale du phylum humain, aboutissant au surgissement de la conscience de soi (« pas »de la réflexion), puis à un réseau mondial de communication des pensées humaines, la noosphère, au cœur duquel agit le « Christ Évoluteur » et qui conduit l'humanité de façon immanente et transcendante tout à la fois, vers le « point Oméga » (royaume de Dieu). Evidemment le cerveau de l'Homme est déjà devenu bien équipé. Retrouvez cet article. Noosphère. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec NooSFere. La noosphère, selon la pensée de Vladimir Vernadsky[1] et Pierre Teilhard de Chardin, désigne la « sphère de la pensée humaine[2] ».

Le mot est dérivé des mots grecs νοῦς (noüs, « l'esprit ») et σφαῖρα (sphaira, « sphère»), par analogie lexicale avec « atmosphère » et « biosphère[3] ». Ce néologisme a été introduit en 1922[4] par Teilhard de Chardin dans sa « cosmogénèse»[5]. Une autre possibilité est la première utilisation du terme par Édouard Le Roy qui était, avec Teilhard, auditeur des conférences de Vladimir Vernadsky à la Sorbonne. En 1936, Vernadsky accepte l'idée de noosphère dans une lettre à Boris Leonidovich Lichkov (cependant, il affirme que le concept dérive de Le Roy). Dans la théorie originelle de Vernadsky, la noosphère est la troisième d'une succession de phases de développement de la Terre, après la géosphère (matière inanimée) et la biosphère (la vie biologique) . ↑ Georgy S. Teilhard et le "Phénomène Humain"

Le phénomènehumain. La Vision Systémique de Teilhard de Chardin. Teilhard et Chardin et l'évolutionnisme. Dieu personnel chez Teilhard de Chardin. Balthasar rattache les travaux théologiques de Teilhard de Chardin au mouvement personnaliste [1], mouvement qui fonderait, d’après lui, l’une des grandes orientations de la pensée catholique de la période pré-conciliaire : Si l’on cherche quels mouvements à l’intérieur de l’Église, dans les trente dernières années, ont trouvé un certain écho spontané […] chez les intellectuels, trois mouvements se dégagent : le mouvement biblique, le mouvement liturgique, le mouvement personnaliste. […] Le troisième, qui se rattache à Scheler, était une réaction organique et un effort pour compléter la néoscolastique. [2] La méthode teilhardienne identifie personnalisme et énergétique [5].

Quelques précautions s’imposent avant d’en considérer les enjeux . Il n’est pas certain que les écrits en question soient toujours univoques, et ce ne sera pas dans la méthode qu’apparaîtront les failles mais dans la langue, plus précisément dans la conception du langage elle-même. Démarche inversive : montée de Dieu. Le mythe d’un (certain) teilhardisme par Paul Chauchard. (Revue Teilhard de Chardin. No 15. 15-6-1963) Reprenant les thèses qu’il avait développées en 1959 et s’opposant aux conclusions des RR. PP. Rabut, Daniélou et de Lubac, le R.P. Philippe de la Trinité vient de publier un nouvel article de la revue Divinitas sur Teilhard et le Teilhardisme. Si par teilhardisme, on entendait la doctrine que tirent de Teilhard des disciples ou des admirateurs, on pourrait essayer de séparer Teilhard et le teilhardisme, comme il est facile d’opposer Descartes et ce que l’avenir en a retenu, le cartésianisme, la pensée vivante et l’intention de Saint Thomas et le thomisme scholastique figé qui en est souvent le contrepied.

Le teilhardisme ne serait-il pas en fait le système rigoureusement opposé à la pensée teilhardienne que fabriquent avec une fausse logique certains de ses adversaires dont l’auteur anonyme de l’article de l’Osservatore Romano commentant le Monitum et le R.P. P. Teilhard de Chardin. Création et Evolution Dans le cadre de ce que Teilhard de Chardin appelle : l’axe cosmique d’évolution, Marcel Comby nous livre ici ses réflexions sur les notions de Création et d’Evolution.

Il fait la différence entre Commencement et Origine, Téléonomie et Téléologie et il réfléchit sur les modalités de l’action (...) Le Coeur de la Matière - Teilhard de Chardin Ci-joint deux textes de deux pages qui sont un condensé d’un écrit de Pierre Teilhard de Chardin de 1950 : "Le Coeur de la Matière" Du Big bang à l’émergence de la vie - Thierry Magnin Conférence de Thierry Magin au Colloque Teilhardien d’Assise "L’Activation de l’Energie" de Pierre Teihard de Chardin Le texte intitulé « La Centrologie », sous-titré « Essai d’une dialectique de l’union », date de décembre 1944, et a été écrit à Pékin. Vivre avec Dieu dans un Monde désenchanté Le Rebondissement Humain de l’Evolution Choix de Textes, extraits du Tome V « L’Avenir de l’Homme ». L’Avenir de l’Homme selon Teihard de Chardin. EXTRAITS D'ŒUVRES DE TEILHARD de CHARDIN. L’histoire de l’Univers, extraits de la pensée de Pierre Teilhard de Chardin « Flora AUBIN.

De l'importance de la physique quantique dans la pensée de Teilhard de Chardin. Les deux visions de Teilhard de Chardin. Teilhard de Chardin et C.G. Jung. Le P. Teilhard de Chardin, du premier homme à Dieu. Je viens pour un an. Quand partir ? Teilhard. » Le télégramme est daté de février 1923. Il est destiné au père jésuite Émile Licent, fondateur du musée Hoang-Ho Pai-Ho, à Tianjin, à l’est de Pékin. Ce musée, qui porte le nom des deux fleuves Jaune et Blanc, est consacré à la géologie, la minéralogie, la paléontologie et la botanique. Le 6 avril 1923, le jeune prêtre et scientifique parisien embarque à Marseille, cap sur la Chine, pour la première fois de sa vie. . « Le ciel seul est beau, toujours offert aux yeux » La grande ville portuaire manque de charme, même si le futur président des États-Unis H.

De son côté, Paul Claudel, qui y est consul de 1906 à 1909, est bien plus réservé : « C’est un lieu plutôt sévère qui a le dénuement du désert sans en avoir la grandeur (…). Dès juin 1923, l’initiation du jeune jésuite à l’immensité des steppes mongoles des Ordos – un désert de près de 100 000 km2 – commence. A la recherche des vestiges du premier homme de notre planète Au service de Dieu.