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Accueil. Location entre particuliers, quelles sont les limites de la concurrence déloyale ? Jestcocke, Uber, blablacar, e-loue… on ne compte plus le nombre d’intermédiaires on line à s’être engouffrés dans la brèche de « l’économie de partage », autrement dit du commerce entre particuliers. Sur le papier, ce sont des modèles innovants et tout le monde y gagne. Qu’il y ait de la destruction de valeur et des perdants parmi les professionnels installés émeut peu, c’est la rançon de l’innovation et le début des bouleversements que va provoquer l’économie numérique.

Loin de me désintéresser du sort de ceux qui n’évoluent pas dans la sphère du tourisme, je suis évidemment beaucoup plus attentive à ce qui se passe dans mon secteur, et plus particulièrement le meublé touristique. Bien sûr la location entre particuliers ne date pas d’hier (l’association Gîtes de France, pionnière du genre date du début des années 50), mais ce qui est nouveau, c’est le niveau quasi industriel dans lequel elle s’est engagée, depuis le développement d’Internet. Communiqué AXA Protection Juridique Baromètre les Français et les risques liés à la consommation collaborative* 5 juillet 2016 à 09h14min par TH - Mots clés : économie collaborative - (note moyenne pondérée par le nombre de votes) Contenu copié-collé du communiqué de presse officiel de son émetteur qui en assume l'entière responsabilité.

TendanceHotellerie n'approuve ni ne désapprouve ce communiqué. Avec l’été les Français sont plus nombreux à être tentés par la consommation collaborative, mais ils restent encore attentistes : 21% déclarent avoir été confrontés à un litige. Louer son appartement pour les vacances ou échanger sa maison, opter pour le co-voiturage ou louer la voiture d’un particulier, échanger des services (bricolage, jardinage, etc.) ... la consommation collaborative n’a jamais été aussi tendance. Mais dans les faits, elle reste plus évoquée que pratiquée : seuls 22% des Français y ont déjà eu recours. Même si la peur des litiges demeure un frein important, ils feront preuve de plus d’audace cet été, surtout les jeunes. Top 4 des pratiques qui laissent les Français encore perplexes. Hébergement : l’économie collaborative fait des petits.

L’économie du partage, la consommation collaborative, le marché entre particuliers, voilà autant d’appellations qui définissent l’idée de la location de biens et de services entre individus. Une étude d’Euromonitor International dresse le portrait de ce phénomène dans l’industrie touristique. La prolifération des réseaux de partage touche de nombreux domaines, mais tout particulièrement les services touristiques. L’hébergement, le transport, la restauration et même les activités à destination font l’objet d’un marché entre particuliers.

La location de propriétés pour de courtes durées représente des revenus de 38,7 milliards de dollars américains et devrait atteindre 46 milliards d’ici 2018, soit une croissance anticipée de 19% en 3 ans. La génération Y est friande de cette nouvelle économie, mais l’engouement rejoint d’autres segments de clientèle. Des joueurs qui dérangent Mais Airbnb vient de remporter une première victoire dans sa ville natale, San Francisco. Durée de location: Airbnb fixe des limites. Les limites du système AirBnb à Barcelone. Certains habitants n’ont pas besoin d’être connecté pour savoir qu’il y a des appartements proposés sur AirBnb à Barcelone, dans leur immeuble. Tout ce qu’ils ont à faire est d’écouter. Écouter l’agitation la nuit dans le bâtiment, les claquements de porte, les bruits de marche et le bavardage en langues étrangères.

Ecouter les gens qui boivent sur leurs terrasses très tard en semaine, lorsque les résidents, qui ont un emploi sont endormis. Tout ce que vous avez à faire est de rester devant la porte d’entrée de l’immeuble pour repérer les trois ou quatre touristes qui vont inévitablement être là à essayer de comprendre comment obtenir l’accès à leur appartement, en appuyant sur tous les les touches d’interphone et en regardant leurs téléphones pour trouver des indices. Ou bien observer les tas d’ordures dans les parties communes, qui ont été stockés par des gens qui ne savent pas trouver les bacs.

Ces gens sont en vacances, évidemment. Jean-Samuel Beuscart, Orange Labs, décrypte l’économie collaborative. La consommation collaborative correspond à un ensemble de services en ligne dont la vocation est d'organiser des échanges entre les particuliers autour de plusieurs biens et services. Pour être considérés comme collaboratifs, ces acteurs doivent répondre à trois critères : être au cœur du service d'une plateforme en ligne ; faire de l'intermédiation entre des détenteurs d'offre et des demandeurs ; et une partie de l'offre proposée au moins doit être assurée par des particuliers.

Internet a radicalement changé l'échelle du comportement et l'efficacité de l'économie collaborative. Seulement 15% des individus déclarent toutefois avoir pratiqué le partage d'un usage comme la location d'appartement ou de voiture, signifiant que le secteur a encore un large potentiel de croissance. Si l'économie collaborative apparaît comme plus écologique, et permettant une consommation plus satisfaite et revitalisant le lien social sur le territoire, elle a aussi ses détracteurs. Communiqué AXA Protection Juridique Baromètre les Français et les risques liés à la consommation collaborative* Opitrip, LE comparateur d'offres de tourisme collaboratif.

Le concept initial ? L'objectif d'Opitrip : simplifier la recherche des internautes en regroupant et comparant, sur une seule et même plateforme, l’ensemble des services de tourisme collaboratif (c) Homepage Opitrip.com Opitrip est le premier moteur de recherche dédié à la consommation collaborative sur le marché du voyage. Son objectif : simplifier la recherche des internautes en regroupant et comparant, sur une seule et même plateforme, l’ensemble des services de tourisme collaboratif. L'idée d'Opitrip est née lors de la préparation d'un week-end entre amis. Nous recherchions un logement pouvant accueillir 15 personnes près de la mer dans leSud de la France.

Nous avons alors commencé notre recherche sur un seul site, donc un seul onglet ouvert sur notre navigateur Internet. Mais ne trouvant pas le logement correspondant à notre recherche, nous avons rapidement ouvert plusieurs onglets avec les différents acteurs de la location de logements entre particuliers. Les hôteliers séduits par l’économie collaborative. Les groupes hôteliers perçoivent peu à peu les occasions d’affaires entourant l’économie collaborative : diversification des revenus, nouvelles interactions avec les consommateurs et monétisation plus efficace de leurs services. Ils se rapprochent de ces concurrents ou de ces prestataires de services complémentaires, en tant qu’investisseurs ou partenaires d’affaires.

Une occasion d’affaires pour les hôteliers Autres articles L’économie collaborative répond à une demande difficile à satisfaire pour les grandes entreprises. Rachel Botsman, une spécialiste de ce modèle, les aide à intégrer certains de ses principes dans leurs modèles d’affaires. Rachel Botsman suggère à ses clients de déterminer leur plus grande faiblesse et de la convertir en occasion d’affaires en entrant sur un nouveau marché ou en en créant un. Des investissements stratégiques Des partenariats pour offrir aux clients… Source : ihg.com Source : onepark.fr Source : liquidspace.com. Petite histoire de la consommation collaborative - jestocke.com. Ces derniers mois, nous avons beaucoup entendu parler de « consommation collaborative » ou « économie du partage ». Du financement de projets au secteur de l’alimentation en passant par le transport, les initiatives se multiplient. La presse traditionnelle, les pures players d’information, les blogs, les hommes politiques… certains s’enthousiasment, d’autres s’insurgent.

Quoi qu’il en soit le concept fait jaser ! Mais pourquoi cet emballement soudain pour une tendance jusqu’ici fort discrète ? La naissance du terme « consommation collaborative » C’est en 2007 que ce terme apparaît pour la première fois dans la revue Leisure Report du mois d’avril. ). Technologie et consommation collaborative : une combinaison gagnante L’émergence et surtout la banalisation des nouvelles technologies vont permettre à la consommation collaborative d’exploser ! Différentes formes de consommation collaborative Les précurseurs du mouvement Pourquoi cette explosion de l’économie du partage ?

Pour aller plus loin. Histoire de la Consommation Collaborative. Voila une petite chronologie de la Consommation Collaborative : – 200 000 avant J-C. Gruntd et Krobak, nos ancètres prognates troquaient des peaux de mammouth au paléolithique supérieur, il s’agissait, déjà, de sharing economy (lol). L’économie du partage est donc aussi vieille que le prêt, le troc et tous les échanges que pratiquaient nos ancêtres qui chassaient le gnou au lance pierre. En France, on assiste à l’émergence des Systèmes d’Échanges Locaux, qui sont des réseaux physiques d’échange et de vente de biens et services entre particuliers dans une zone géographique donnée. Limités à une échelle locale, ces système d’échanges ne connaissent pas l’essor escompté.

On commence à réaliser qu’il serait super d’utiliser ce nouveau truc à la mode, Internet, pour faire des échanges de particulier à particulier, à grande échelle. eBay est créé. ZipCar, premier site de partage de voitures entre particuliers apparaît à Boston. Une grave crise économique frappe les États-Unis et l’Europe. Tribune : L’hôtellerie traditionnelle face à la poussée d’Airbnb – Le Quotidien du Tourisme.

Didier Moinel Delalande, directeur de l'hôtel Le Mathurin (4 étoiles) à Paris nous a adressé une tribune consacrée à l'hôtellerie traditionnelle face au développement de l'économie de partage, caractérisée par Airbnb. Entendons-nous, je ne pense pas faire partie de ces hôteliers remontés comme des piles électriques dès qu’on ose mentionner devant eux le terme Airbnb. Ce qu’on a pris coutume d’appeler l’ « économie collaborative » ou « de partage » ou encore l’ « ubérisation de l’économie » a des vertus et d’excellents principes à l’origine.

Il s’agit, par ailleurs, d’une tendance durable pour ne pas dire d’un raz-de-marée qui modifie en profondeur les modèles économiques existants et les mentalités (1). Qui sont ces voyageurs qui réservent sur Airbnb? - Réseau de veille en tourisme. La location de logement de courte durée est devenue un mode d’hébergement de plus en plus utilisé par les voyageurs, popularisé par l’arrivée de nouveaux sites Web tels qu’Airbnb.

Grâce à un sondage effectué aux États-Unis, PhoCusWright a dressé le profil de ces utilisateurs et a établi leurs comportements, tout en les comparant aux autres voyageurs. Méthodologie Le sondage Web a été mené en février et mars 2014 auprès de 1880 Américains ayant réalisé au moins un séjour d’agrément au cours des 12 derniers mois. Pour répondre au sondage, ils devaient avoir réservé un hébergement commercial et planifié eux-mêmes leur voyage. La firme a distingué deux catégories de voyageurs: ceux qui ont loué une chambre, une maison ou un appartement privé, soit les «loueurs» (17%); et ceux qui ont utilisé d’autres modes d’hébergement durant leur séjour, les «non-loueurs» (83%).

Des voyageurs jeunes qui disposent de bons revenus Plusieurs caractéristiques distinguent les loueurs des non-loueurs. Booking, Expedia… les hôteliers sont-ils vraiment perdants ? La guerre est ouverte entre les représentants des hôteliers et les sites de réservation en ligne. Et les premiers ont trouvé un allié de taille : Bercy a assigné Booking.com "à comparaître devant le Tribunal de commerce de Paris", a annoncé mardi le ministère dans un communiqué. La première audience, destinée à fixer le calendrier a eu lieu le jeudi précédent, a précisé à Europe 1 le cabinet d’Arnaud Montebourg.

Objectif : pousser les centrales de réservation en ligne à revoir certaines clauses des contrats qu’elles proposent aux professionnels de l’hébergement, car ces derniers et Bercy les jugent abusives. Europe 1 a mené l’enquête pour savoir des hôteliers et des sites, qui sont les vrais gagnants de la réservation en ligne. Comment fonctionnent ces sites ? Booking.com, Expedia, Voyages-SNCF, etc. sont à la fois des annuaires, des comparateurs et des moteurs de recherches et des sites de réservations. Les commissions plombent les marges. Un hôtel n’a plus la main sur ses prix. Les hôtels déclarent la guerre à Airbnb. La location de logement entre particulier ne cesse de se développer, un succès qui ne plait pas à tout le monde et pousse les hôtels à entrer en conflit avec les particuliers loueurs d'appartement.

Selon les informations d’Europe 1, les représentants des hôteliers doivent envoyer jeudi un courrier à Manuel Valls pour dénoncer les pratiques de ceux qui proposent aux touristes de louer un appartement ou une chambre à la nuitée. Objectif de la manœuvre : rendre cette pratique, incarnée par le mastodonte Airbnb, moins intéressante pour ramener les clients vers les hôtels. L’hôtellerie dénonce une concurrence déloyale. Si les professionnels du tourisme réclament des mesures fortes au gouvernement, c’est parce qu’ils estiment ne pas lutter à armes égales contre un système qui ne cesse de se développer. Le système en question, c’est l’offre de location entre particuliers proposée par des entreprises comme Airbnb, Housetrip, Homelidays, etc. L’Umih invoque l’argument de l’emploi. Quelle sera la place de Airbnb dans l'industrie hôtelière en 2020. Certains hôteliers gardent un oeil sur la menace que pèse Airbnb et suggèrent que la plate-forme de réservation n’a pas eu encore d’impact sur leurs propres entreprises.

Selon de nouvelles projections de Euromonitor International, un cabinet d’études basé à Londres, Airbnb sera la deuxième plus grande société hôtelière au monde en 2020 en termes de ventes totales de chambres. Airbnb se verra éclipsé de la première place par la fusion de Marriott et Starwood, et enregistrera près de 40 milliards de dollars de vente par an sur le marché de la location d’hébergement d’ici 2020. À lire : 12,3 milliards de dollars de réservations en 2016 pour Airbnb Beaucoup de choses peuvent se produire d’ici 2020 qui pourront modifier ces projections ou complètement les réfuter, en particulier du côté de Airbnb.

. « Si Airbnb continue à soutenir et à augmenter la quantité d’entreprises commerciales offrant des logements sur sa plate-forme, les législateurs sont susceptibles de taper fort sur la société. Deloitte tendances tourisme hotellerie 2016. Sondage.hotels.airbnb.coach .omnium. Hôtel. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot hostellerie ou hôtellerie, durant le Moyen Âge, désigne une partie d'un monastère ouvert au public, réservée à l'accueil et à l'hébergement des hôtes occasionnels, les pèlerins et les étrangers[2],[3]. Au cours de la période, ils se laïcisent (XIIIe siècle), puis désignent un établissement plus « rustique » qu'un hôtel (XVIe siècle-XIXe siècle)[2]. L'historien du tourisme, Marc Boyer, indique dans Le tourisme de l'an 2000, que la Grande Encyclopédie du XVIIIe siècle, ne définit pas Hôtel mais seulement l'Hôtellerie pour désigner une « maison où les voyageurs sont logés et nourris pour leur argent »[4].

Rappelant que hôtel est une forme abrégée de Hôtellerie[4]. Le mot pourtant va s'imposer, écartant ostellerie, prenant le pas sur l'auberge qui devient rurale, et reléguant l'hôtellerie à un usage limité au secteur professionnel[4]. Histoire[modifier | modifier le code] Hostellerie à Lyon en 1517. Hébergement[modifier | modifier le code] Airbnb. Airbnb et les frontières de l’économie collaborative. Rencontre avec Brian Chesky, cofondateur d'Airbnb. AirBnB n'affecterait pas l'industrie hôtelière.

Impact

Consommation collaborative. Pas d'impact d'Airbnb sur l’activité hôtelière française - Hébergement sur Le Quotidien du Tourisme.